Chapitre 72 - Impatience

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Il colle ensuite ses lèvres sur les miennes, et m'embrasse passionnément. Il réveille immédiatement l'excitation qui brûle en moi, il m'attrape ensuite ma lèvre inférieure et la mord délicatement. Avec sa main il me caresse d'abord le visage, puis il les descend sur mes épaules et les dirige ensuite vers le nœud qui noue mon kimono. Il stoppe tout ce qu'il fais quand il le défait et écarte le tissus de devant, il découvre que je suis nu et cela l'excite au plus au point.

- Heu... ! En effet le repas peut attendre !

Puis tout accélère, il fait tomber le kimono de mes épaules, je me retrouve ainsi nu devant lui, uniquement avec mes chaussures encore aux pieds. Il me saisit ensuite les jambes et les enroule autour de lui en me portant, il reprend son assaut de baisers et je me laisse faire complètement. Il me pose et m'allonge ensuite sur la chaise longue à coté de la piscine et se place au dessus de moi. Florian prolonge ensuite ses baisers en descendant sur mon menton, dans mon cou puis il descend petit à petit.

Il arrive à ma poitrine et en agace le bout de mes pointes avec ses doigts, puis il prend chacun à son tour dans sa bouche mes tétons déjà très durci. Il continu de titiller une de mes pointes avec sa main mais descend sa bouche jusqu'à mon nombril qu'il mord avec toute ses dents.

J'aurais sûrement une marque demain mais je m'en fiche, seul compte le moment présent et toutes les choses qu'il peut me faire rien qu'avec ses doigts et sa langue. Il dirige justement sa langue plus bas, me soulève une jambe et y passe la langue dessus, au niveau de mes cuisses, il fait pareil à l'autre sans pour autant s'approcher trop près de mon sexe.

Il me fait languir, je bous d'impatience et il le sait, ça l'amuse de me voir aussi pressé de le sentir entre mes cuisses. C'est lui qui maîtrise les choses, alors qu'au début c'est moi qui étais parti pour le rendre dingue, je me suis fait prendre à mon propre piège. Il continue ce petit jeu jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. Il ne lui en a fallut pas plus pour qu'il aille écraser sa bouche entre mes jambes, il me lèche avec rapidité ce qui me vaut quelques gémissements incontrôlés, il attrape entre ses dents mon clitoris qu'il mordille tout en continuant à me malaxer et me pincer le bout des seins. Je suis en train de bouillir, mon corps nu étalé sur la chaise longue sur laquelle j'ai bronzé cet après midi, la petite brise du soir qui me donne quelques frissons, et Florian allongé presque à mes pieds en plein cunnilingus passionné.

Puis toujours cette peur de se faire surprendre, si jamais quelqu'un revenait de la soirée plus tôt et nous surprenait dans cette position complètement érotique voire même pornographique. Flo décide ensuite de ne se consacrer qu'à ma chatte déjà très mouillé, il arrête de jouer avec la pointe de mes seins et descend ses doigts jusqu'à en glisser deux en moi. Leur assaut me fait gigoter, c'est trop bon, surtout quand il accélère le rythme tout en continuant à me lécher mon clitoris. Il en insère ensuite trois, et multiplie les vas et vient. Je n'en peux plus je vais exploser, la combinaison doigts-langue est un supplice. Et quand je le vois observer ma réaction à la dérobée, je ne peux plus me retenir, je jouis fort ! Si bien qu'il est obligé de plaquer sa main sur ma bouche pour ne pas alerter les voisins.

Je tremble encore mais je ne veux pas arrêter pour autant, j'ai envie de le sentir tout entier en moi, pas seulement ses doigts. Ainsi je remonte sa tête vers moi, descend son short jusqu'à se qu'il le pousse avec les pieds et l'écarte, pour qu'il n'y est plus de barrière entre nous. Nous ne sommes plus que deux corps nu, l'un sur l'autre prêt à se faire mutuellement plaisir. Je l'embrasse sauvagement et insère ma langue, je m'amuse avec la sienne, je lui tire ensuite un peu sur les cheveux ce qui lui vaut quelques grognements. Avec une de mes mains, je descends jusqu'à son entrejambe et prend son pénis entre mes doigts, je le dirige ensuite jusqu'à ma fente, avec quelques à coups il est en moi. Nous bougeons à l'unisson, la sensation peau contre peau est sensationnelle, surtout lorsque aucun vêtements ne nous sépare. Il poursuit ses à coups, et j'essaye de bouger mes hanches pour garder le rythme, c'est exquis. Il me prévient qu'il ne va plus tenir bien longtemps, je lui dis alors d'y aller fort et aussi vite qu'il le peut.

C'est ce qu'il fait, il me prend violemment et s'enfonce davantage en moi en m'écartant une jambe, et il accélère ses mouvements de façon plus intense. Mes seins gigotent en même temps que ses assauts, je ne suis plus qu'à quelques coups pour me faire posséder entièrement. Il garde le rythme et finit en m'assénant trois derniers coups puissants, au point de faire bouger la chaise longue sur sa longueur. Il jouit et se déverse complètement en moi, mon orgasme est encore une fois prééminent et nous limitons nos cris en collant nos bouche l'une contre l'autre.

Encore éreinter de nos récents ébats, nous finissons par nous lever. Mes jambes ne me tiennent plus et mon corps est endolori. Je remets mon kimono et me dirige à table. Florian se rhabille lui aussi et me rejoint pour s'attabler, il me regarde encore avec désir, ses lèvres sont toutes enflées. Il me parle enfin :

- C'est indéniable, tu sais vraiment y faire.

- Tu ne regrette donc pas ta soirée avec la Charlène ?

- Pourquoi quand tu parle d'une fille que je connais tu rajoute toujours « la » devant ?

Comme avant - Tome 1 (TERMINÉE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant