Lui, les patrons et moi

Chapitre 46

-  David je suis devant Chopard, je dois trouvé un cadeau pour Stéphan son père et sa mère, si tu me plantes je te tue.

- Candice respire.

- comment tu peux me mander de respirer, je dois rencontrer les parents de Stéphan, David je ne veux pas y aller dis je en faisant les cent pas dans la rue.

- retourne toi et raccroche.

Je me retourne et raccroche lorsque j'ai aperçu David au bout de la rue. Enfin, il décide de se pointer j'allais me transformé en statue de glace. Lorsqu'il arrive près de moi il me dévisage de la tête jusqu'au pied.

- tu pense aller dans les Hamptons habillé comme ça? au fait joli chaussure.

- merci  dis je avant d'entrer dans la boutique.

Pour la mère de Stéphan j'avais pensé lui offrir un collier mais en réfléchissant bien je crois qu'elle peut s'offrir tous les colliers du monde. La seule grande idée que j'avais après ça c'était de lui offrir un exemplaire de vogue, c'est banale elle peut déjà avoir un exemplaire, elle pourrait prendre pour une folle.

Bon respire Candice, qu'est ce que les riches n'ont pas ?

- Candice c'est de la perte de temps, tu penses vraiment gaspiller ton premier salaire dans un collier alors qu'elle peut s'offrir la boutique.

C'est vrai, c'est pas trop logique. Je dois me concentrer pour trouver quelque chose qui peut empêcher à la mère de Stéphan de ne pas me détester.

- j'apporte quoi?

- pour la mère de Stéphan je m'en occupe je travaille sur des nouveaux projets et je venais de finir avec ma première création unique, je te la donne.

Je saute dans ces bras, David est vraiment mon ange gardien il sauve ma vie encore une fois.

- maintenant il reste son père.

- des cravates.

Vu l'expression qui avait sur le visage de David j'ai tout de suite compris que j'avais dit une bêtise.

- Candice un train t'as roulé dessus?
  et Stéphan tu lui donnes quoi pour Noël?

- des cravates.

Je suis nulle j'ai rien pu trouver d'autre, la semaine à été bouleversante, j'entre à peine de Los Angeles, j'ai du passé la semaine à passer des auditions.

- t'es vraiment nulle, tu dois lui donner quelque chose à moins de 20 dollars, sinon il te le rendra.

C'est vrai il a raison, David est comme mon second cerveau. Je suis en manque de caféine, je prends la main de David pour sortir du magasin. On se pose dans le Starbucks pour discuter de mes stratégies pour gagnée l'amour de la mère de Stéphan. On était entrain de rire  à gorge déployée quand mon téléphone sonne.

- salut mon amour, ca va?

- oui et toi

- ça va dis je en buvant mon café.

- tu me manques, j'ai tellement envie de déjeuné avec toi mais je suis coincé au bureau, t'as déjà fait tes valises?

- non, est ce que je suis obligée de venir? Stéphan tu peux bien allé sans moi

- Candice c'est important pour moi que t'y viennes.

- j'ai aussi pensé apporter un petit cadeau pour tes parents t'en pense de quoi?

- c'est pas nécessaire, je passerai te prendre vers 5 heures, je t'aime.

- je t'aime.

Je range mon téléphone et me retourne vers David.

- Joyeux Noël dit il en déposant un enveloppe devant moi.

Je m'empresse de d'ouvrir l'enveloppe, pour voir ce qui avait à l'intérieur.

- ton agent à déjà pris ses 20%

C'est un très, très grand chèque, mais je ne peux pas accepter, je suis son amie, je ne peux pas accepter ce Chèque.

- David c'est gentil mais je ne peux pas accepté.

- Candice tu dois accepter tout ça c'est grâce à toi, tu es celle qui m'a encouragé depuis le lycée et en plus t'es l'image de ma marque tu dois toucher ta part.

- je suis ton amie t'es pas obligé, garde ton chèque, bon allons y, on a des cadeaux à fabriqués.

Je mon pot de café avant de sortir de Starbucks. On a tout de suite pris un taxi pour nous déposé à l'atelier de David qui se trouve entre la troisième et quatrième avenue. David à passer d'une chambre à avoir un atelier de luxe. David me montre la robe qu'il me parlait c'est une vraie masterpiece. On a ensuite cherché les deux autres cadeaux, il est un très grand génie, il mérite tout ce qui lui arrive.

Deux heures avant mon départ on est rentré à la maison pour faire mes valises, et quand à David je lui ai donné une machine a coudre, c'est stupide, mais j'ai pas pu m'en empêché. Stephan est passé le prendre vers les 5 heures.

- qu'est ce que c'est que ses boîtes? Dit il en désignant les deux boîtes avec lesquels j'avais monté dans la voiture

- enfin de compte j'ai décidé d'apporter un cadeau pour ta mère et ton père.

Je n'ai pas envie d'y aller, je ne me sens pas capable de passer 10 jours, avec la mère de Stéphan, Rodrigo, enfin tous les descendants de Od'j.

- ce n'étais pas nécessaire.

- si j'arrive les mains vident, ils pourront pensés que je ne suis pas polie dis je avant de poser ma tête sur son torse.

- qu'est ce que tu racontes? ils vont t'adorer, dit il en m'embrassant sur le front.

Il ouvre la bouteille de champagne, remplie deux coupes avant de me dire.

- tu sais pourquoi j'ai préféré qu'on y aille dans une limo?

- non dis je en prenant la coupe qu'il me tendait.

Quelque soit la raison pour laquelle il décide d'y aller en limo, ça m'arrange. J'enlève mon manteau et mes gants juste pour me rendre à l'aise. Je m'allonge sur le siège de la voiture, dépose ma tête sur sa jambe. Il se penche sur moi pour m'embrasser.

- tu penses à quoi?  dit il en me caressant les cheveux.

- à rien, on arrivera dans combien de temps?

- 2 heures dit il en m'embrassant

- 2 heures? Dis je en coupant notre baiser

Je vais passer deux heures dans une voiture, les Hamptons ça se trouve aussi loin ? Il se penche vers  moi, m'embrasse avec passion et force comme si on s'embrassait pour la dernière fois.

Il défait sa cravate avant de tirer sur la fermeture éclaire de ma robe qui se trouvait sur le côté droit. Je me rassois enlève ma robe avant de commencer à déboutonner la chemise de Stéphan.Sans perdre trop de temp je plaque ma bouche sur celui de Stéphan. Il m'assoit sur sa jambe tout en me caressant la jambe. Il fait tomber l'une des bretelles de mon soutient gorge avant de me déposer sur le siège.

C'est la première fois que je fait l'amour dans une voiture après tout, il y'a un commencement à tout.