Lui, les patrons et moi

Chapitre 37

Je sens quelqu'un me mettre quelque chose sur le dos, et quand je me retourne je remarque Stéphan qui me mettait son costume sur le dos, je dois avouer que j'avais froid.

- merci dis je en me retournant vers la vue.

- je savais que j'allais te trouver là, tu aimes les vues surprenantes.

Je lui sourit et me concentre sur la vue. D'un coup je sens une des mais de Stéphan sur la mienne ce qui me rend chaud d'un coup. Jaime pas être en contact avec Stéphan et tout a l'heure quand on dansait j'ai sentie quelque chose me rapprochait de lui. D'un coup je me retourne et lui donne face

Je baisse soudainement les yeux en remarquant que Stéphan ne m'avait pas lâcher des yeux.

Non Candice tu ne peux pas, c'est Stéphan Od'j, il peut être très beau dans ce smoking, résiste.

Je sens Stéphan se rapprocher encore plus, et nos lèvres étaient à quelques mini mètres d'entrer en contact et je commence à devenir encore en plus chaude

Sans même hésiter je me jette à ses lèvres, j'entoure mes bras autour de son cou pendant que sa main s'enroule à ma taille. Ses lèvres sont tellement sensuelles que je l'embrasse sans même m'arrêter.

Non Candice, tu ne peux pas c'est Stéphan Od'j.

Je m'arrête soudainement, enlève mes bras autour de son cou et me retourne. J'essaie de respirer normalement alors que mon cœur n'arrêtait pas de batter à 100 km/h.

- je ne peux pas Stéphan, on ne peut pas dis je en me retournant.

- Pourquoi dit il en faisant un pas vers moi.

Je recule d'un pas, alors qu'il marchait à petit pas vers moi.

- pourquoi Candice?

- parce que t'es Stéphan, (je m'arrête avant de continuer). T'es Stéphan Od'j, on ne peut pas.

Il sourit un peu avant de reprendre.

- alors je veux bien m'empêcher d'être Stéphan Od'j pour ce soir. Qu'est ce que t'en dit ? dit-il en me caressant le visage.

D'un coup il m'embrasse tout en caressant ma jambe, lorsqu'il avait mit fin au baiser j'avais envie de m'enfuir avec lui. Je ne pensais pas dire ça un jour mais j'ai envie de Stéphan, je veux le sortir contre moi.

- d'accord dis je en le regardant dans les yeux.

- parfait dit il en prenant ma main.

Il sort son téléphone de sa poche, j'étais tellement concentrer à tenir le rythme de ses pas avec mes tallons de 10 centimètres que je n'ai pas prêté attention à ce qu'il disait. On prend des escaliers différents de ceux que j'avais emprunté pour monter et mes chaussures n'arrêtaient pas de prendre avec ma robe.

- Stéphan ralentie tu vas trop vite.

Il s'arrête, me regarde de la tête jusqu'au pied, range son téléphone avant de me mettre sur son dos. Il me porte comme si je n'étais qu'une plume. Je fais 53 kilos, je n'avais jamais pensé que j'étais aussi légère. Une fois qu'on avait finit de prendre des escaliers, on se dirige vers un couloir.