Chapitre 58

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Lorsque je me réveille le lendemain la chambre était baignée par la lumière du soleil. Je me retourne il n'y avait plus de Rodrigo. J'enfile ma robe qui était au pied du lit avant de me diriger vers la vue, je la contemple un instant avant de fermer les rideaux. Encore une fois je me réveille cette putain de migraine. Je me retourne et remarque Rodrigo sur le pas de la porte avec deux tasses a la main; je croyais qu'il était parti. Il a changé de vêtements, il est vêtue une chemise impeccablement manche et avait retrousse les manches et les deux pemiers boutons etaient ouvert sur son torse, un pantalon noir qui lui faisait paraître encore plus sexy.

- café?

Il ne m'a même pas laissé le temps de lui repondre qu'il s'est avancé vers moi et m'a tendu une tasse.

- merci

Je me dirige vers le lit, m'assois sur celui ci , avant de prendre une gorgée de café, je lève les yeux vers lui et il est entrain de faire pareil. Génial j'ai Rodrigo Od'j dans ma chambre, j'ai couché avec lui et j'ai même droit a un café, je devrais en profite et faire un snaps avec lui; en  parlant de ça où est mon téléphone? Hier matin j'ai été réveillé par mon téléphone qui n'arrêtait pas de sonner je suis a cent pour cent sur que je l'avais déposer sur cette table de nuit et elle n'y est pas.

- c'est ca que tu cherches? me demande Rodrigo en sortant mon telephone de sa poche.

Qu'est ce que mon telephone fabrique dans sa poche? Je me lève prend mon telephone et l'ouvre, une fois ouvert des messages commence à defiler sur l'ecran.

- tu devrais rentrer chez toi, ton ami est a deux doigts d'appeler la police, vu que t'es introuvable depuis plus de 24 heures

Attendez Rodrigo Od'j est entrain de me dire ce que je dois faire.

- on a seulement couché ensemble et tu penses que tu peux me dire ce que je dois faire?

- d'accord mais c'est toi qui m'a sauté dessus hier soir, je parie qu'au bout de trois mois il ne te restera que quelque cents sur ton compte.

Il a raison je n'avais pas penser a ça je depose ma tasse avant de me recoucher, je n'ai pas encore cicatriser la blessure de Stephan, je l'aime toujours alors je peux pas m'en aller d'ici, Rodrigo fait pareil et se couche a côté de moi. On est maintenant face a face, je pouvais même entendre les battements de son coeur. J'avais essayer de me retourner mais il retenait mon poignet très fort. Ses yeux marrons, étaient dans mes yeux bleus. On était tellement proche que nos lèvres étaient a quelque mini mètres. Cette fois c'est pas moi qui lui saute dessus mais plutôt lui.

Il m'embrasse avec fougue pendant que je passe la main dans ses cheveux noirs froncés, sa main parcourt le long de ma jambe pour agripper mes fesses a ce moment je me rapelle que j'etais nue sous ma robe. Il me retourne violemment pour me mettre à sa place sans même se préoccuper si j'avais mal où pas tout en m'embrassant, je coupe notre baiser lorsque j'entends le bruit de quelque chose se déchirer. Je baisse les yeux et remarque Rodrigo entrain de déchirer ma robe. C'est du Alexander wang.

- c'est une robe a 900 dollars, dis je en essayant de retenir sa main.

- je te ferai un chèque dit il en élevant le morceau de tissus.

Je suis maintenant nue et Rodrigo ne fait que de regarder mon corps, comme s'il voulait étudier chaque partie de mon corps. J'allais prendre le drap pour me couvrir mais il tient mon poignet.

- ne te caches pas, tu as un très beau corps; je me suis toujours demandé pourquoi Stéphan s'intéressait autant à toi, maintenant je comprends dit il en caressant mon corps avec son index.

Lui, les patrons et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant