Chapitre 64

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- bienvenue, mi casa es su casa.

- wow! Ta maison est magnifique dis je une fois que Rodrigo avait allumé les lumières.

La maison de Rodrigo est absolument à coupé le souffle, je lève les yeux vers le plafond et admire avec insistance le grand chandelier. Rodrigo dépose ma valise au milieu du salon, il enlève ensuite sa veste après avoir dénouer sa cravate. C'était un salon très moderne avec des canapés d'un blanc immaculés, des tableaux de toute sorte, ainsi qu'un grand piano à pied. Je laisse tomber mon sac et mon châle sur l'un des canapés; qui aurait pu dire que Rodrigo sait comment piloter un hélicoptère et qu'il avait une maison dans le New Jersey, je pensais qu'il était plus tôt du genre Manhattan... upper east side.

- je peux avoir un verre d'eau s'il te plaît?

- tout ce que tu voudras dit il en me prenant par la taille pour m'approcher vers lui.!

Il me prend ensuite la main droite pour m'emmener dans la cuisine, qui à tout pour être classée de très très moderne. Je m'assois sur l'un des tabourets et contemple la magnifique cuisine qui avait une baie vitrée qui donnait sur une vue incroyable sur piscine qui était à l'extérieur. Je regarde devant seulement lorsque Rodrigo dépose un verre devant moi.

- merci, alors quand est ce que tu viens ici?

- quand j'ai un peu de temps.

- alors qui vit ici quand tu n'es pas là?

- personne, des gens pour viennent 3 fois par semaine pour faire le menage.

Je bois mon verre d'un seul coup avant de me rendre compte que j'avais faim.

- Rodrigo est ce que tu peux commander des pizzas? je ne sais pas quelque chose du genre, dis je en me levant.

- Candice on est au milieu de nul part, il n'ya pas de pizzeria ou quelque chose de ce genre dans les environs. 

Je le savais on est à New Jersey, à quoi est ce que je m'attendais? Je suis déjà venue camper dans ce state quand j'étais au lycée... même plus que deux fois... et à chaque fois on voulait partir le plus vite possible vu qu'il n'y avait pas de réseau. En parlant de réseau... est ce qu'il y'a de réseau ici? Je sors mon téléphone de ma poche, j'avais raison il n'y a pas de réseau ici...Génial.

- Rodrigo il n'ya pas de réseaux ici?

- je sais dit il en se versant un verre de vin, il y a du réseau dans ma chambre, et tu peux utiliser le wifi.

- et je suis censée manger quoi? Ton enfant est censé manger quoi?

- vous n'aurez qu'à utiliser le réfrigérateur et le four dit il avant de sortir de la pièce.

A 11 heures du soir, coincée au New Jersey, et je dois me faire à manger. J'ouvre le réfrigérateur et remarque qu'il était bien rempli, je croyais que Rodrigo n'habitait pas ici. Comment se fait-il que son réfrigérateur soit aussi rempli?

Je prends un yogourt ainsi qu'une canette de jus de fruit avant decider d'aller rejoindre Rodrigo au salon qui était assis sur le canapé avec des documents en main.

- je croyais que tu venais souvent ici, comment se fait-il que ton réfrigérateur soit aussi rempli?

- ma nouvelle assistante s'en est chargé, disons qu'elle est plus efficace que toi.

Il se lève brusquement sort un document de sa mallette, le dépose sur la petite table du milieu avant de mettre un stylo cartier juste à coté. Ce stylo doit coûter des milliers de dollars.

- on n'est pas marié, on n'est pas non plus un couple alors on doit trouver un terrain d'entente concernant notre enfant.

C'est pour ça qu'il m'a traîné au New Jersey?

- c'est ça que tu entends par parler?

- je veux seulement m'assurer que j'aurai autant droit que toi sur notre enfant.

Je n'avais pas pensé au fait qu'il allait m'offrir un contrat concernant... notre enfant ou du moins MON enfant.

- t'es qu'un égocentrique, je ne signerai pas ce truc parce que tu seras la seule personne qui bénéficieras vraiment de ce contrat.

Pour qui est ce qu'il me prend? J'ai étudié à Columbia, je ne suis pas aussi conne. Je dépose mon yogourt ainsi que la boisson sur la petite table juste pour me mettre à l'aise.

- t'appelle le fait que je veux être sûr que je serai pas exclu de la vie de mon enfant du : égocentrisme, dit il en s'asseyant a côté de moi.

- je ne ferai jamais quelque chose de ce genre Rodrigo, je n'ai jamais connu mon père, je sais ce que ça fait de ne jamais connaître son père.
J'aimerais que mon enfant aie la chance de connaître et être élevé par son père. La seule personne qui cherche a exclure quelqu'un c'est toi, dis je en le regardant droit dans les yeux.

- il n'ya rien dans ce contrat qui t'exclura, j'ai jamais connu ma mère, je n'ai pas l'intention que notre enfant  passe par là; tu as ma parole. Si tu veux prendre ton temps pour le lire c'est d'accord, ce n'est pas urgent,dit il en me caressant le visage.

Rodrigo est homme d'affaire, je sais comment ça marche, pour lui ça ne suffit pas de parler pour établir un terrain d'entente il lui en faut plus. On va être co-parent on doit pouvoir se faire confiance et si pour lui la confiance veut dire griffonné son nom sur un morceau de papier...c'est d'accord. Je prends le document, le feuillette, je prends ensuite le stylo.

- tu ne le lis pas.

- non je te fais confiance, dis je avant de signer la dernière page.

Je lui passe le document et signe à son tour.

- merci dit il avant de m'embrasser.

Une fois qu'il avait mit fin a notre baiser il m'a fallu quelque secondes pour l'embrasser à nouveau. Je passe ma main dans ses cheveux noirs avant de descendre mes caresses sur sa joue gauche pour caresser les deux signes qu'il a sur cette joue; ces signes le rends encore plus sexy. 

- je suis fatiguée, est ce que tu veux bien me montrer ou je vais dormir.

- oui bien sûr dit il en se levant.

Il prend ma valise avant de monter les escaliers, je pouvaient entendre le sonde les talons à chaque fois que je montais une marche, on arrive ensuite dans un couloir un peu noir mais Rodrigo allume la lumière. C'est drôle il dit qu'il vient ici des fois mais il sait avec exactitude ou ce trouve chaque chose. Je le suis au bout du couloir jusqu'à ce qu'il ouvre une double porte noire.

Il allume la lumière avant de déposer ma valise au milieu de la pièce. C'était une chambre avec une décoration unique, les murs, les rideaux du lit à baldaquin,les rideaux de la fenêtre, les canapés_ tout était en noirs, donc j'en déduis que c'est la soit disant chambre de Rodrigo. Des tableaux étaient suspendus à chaque coin de la pièce, des tableaux qui ne repentaient rien de concret, il y avait seulement des jeux de couleurs qui étaient magnifiques.

- installe toi, si tu as besoin de quelque chose fait moi signe.

- d'accord.

Je balaie les yeux du regard encore une fois avant de défaire mes valises; pour ensuite aller prendre une bonne douche... pour enfin me glisser sous les draps.

Lui, les patrons et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant