Professor Styles (en réécriture)

Chapitre 13 - The Breakfast

Oyé oyé braves lecteurs, non je déconne. Donc je suis encore une fois émue de tout vos commentaires, ils sont tous aussi mignons les uns que les autres et mon dieu à chaque fois j'ai du mal à m'en remettre. Pour moi c'est tout nouveau de recevoir de si jolie chose pour mon travail. Oui j'appel ça travail puisque ça prends énormément de temps que se soit au niveau de l'écriture, de la mise en page ou encore de répondre à vos commentaire même si c'est toujours un plaisir.

Je voulais aussi vous remercier pour vos encouragements concernant mon Bac, si avec tout ça je ne l'ai pas alors moi je ne comprends plus rien hein. Mais ça me donne vraiment envie de travailler encore plus parce que je sais désormais que vous croyer en moi et c'est laplus belle chose du monde selon moi. (Sinon j'enverrais une petite lettre d'insultes à l'Education National, soyons fous)

Bref, mille merci, bon courage à vous aussi si vous passez des examens -ou non d'aileurs- et je vous embrasse fort en espérant encore une fois que ce chapitre vous plaira.

Love xx

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«J'avais 13 ans je crois et il pleuvait dehors, je ne pouvais pas aller jouer au foot et je m'ennuyais à mourir. Je suis allé fouiller dans le bureau de mon père, j'ai trouvé un bouquin de Dickens, classique non ? « L e conte de deux citées ».  Il y avait pleins d'annotation dans la marge, elles me permettaient de comprendre les pensées des personnages et que rien n'était écris au hasard, c'est lorsque j'ai terminé le livre que j'ai sus que c'est ce que je voulais faire, je veux dire analyser les bouquins et expliquer mes pensées aux autres. »

La belle brune avait littéralement bus les paroles de son professeur et se cala contre lui posant l'une de ses mains sur sn torse. Apparemment cette histoire lui tenait particulièrement à cœur.

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« C'est beau Harry. Et tu le fait bien ton boulot crois-moi. »

Elle était sincère, la jolie brune adorais ses cours de littérature même si elle laisser pensée tout le contraire.

 « On vas arrêter de faire les sentimentales ok ? Ca ne nous ressemble pas trop je trouve..

- C'est vrai mais j'aime bien savoir des choses comme ça sur toi. »

Dans la pièce, ne régnait que le bruit abrutissant de la télévision et finalement c'était très bien comme ça. Kayla avait toujours la tête posé sur le torse du jeune alors que lui avait entouré les frêles épaules de la jeune femme à l'aide de son bras. Les deux amants finir bientôt par s'endormir, incroyablement sereins et apaisés.

Kayla se réveilla quelques heures plus tard en ayant –très- bien dormis pour une fois. Elle se rendit vite compte qu'elle n'était pas chez elle et se remis la soirée de la veille en tête en passant quelques détails qu'elle aimerait oublier définitivement. Les problèmes qu'elle rencontrait l'avait menée à une vie de débauche et avait bien faillis la mettre en danger. Alors, elle se promit d'arrêter ça. La jolie brune entretenait une relation, purement sexuelle certes, mais stable avec son professeur alors pourquoi vouloir chercher quelques chose d'autre alors qu'il la satisfaisait amplement ? 

Pendant ce moment de réflexion, elle s'était levée, avait enfilée une des célèbres chemises d'Harry sentant le musc et le gingembre. Finalement, Kayla avait rejoins la cuisine pour se préparé un café, elle avait récupéré son paquet de cigarettes dans son sac et s'était assise sur le rebord de la fenêtre  ouverte de la cuisine portant le tube bicolores à ses lèvres. L'une de ses jambes flottait agréablement dans le vide -vers l'intérieur de l'appartement-tendis que l'autre était repliée contre son buste. Elle profitait de se moment de calme.

« Mes chemises te vont décidément beaucoup mieux. »

La jeune fille tourna la tête vers son interlocuteur accoudé à l'encadrement de la porte et souris en comprenant sa phrase.

« Merci, mais personnellement je préfère te les enlevées.

- Tu pourras me les enlevé autant que tu veux –dit-il en s'approchant d'elle- sauf si tu continue à fumer cette merde –continua le bouclé en attrapant la cigarette de la jeune femme- »

Elle ne dit rien face au gâchis qu'il venait de faire, n'ayant pas envie de s'engueuler ce matin après cette nuit presque parfaite. Alors qu'il se calait contre elle,  kayla posa sa tête contre le torse du brun.

« Pourquoi tu n'aime pas que je fume Harry ? Tu crois que je ne t'ai jamais vu avoir envie de me prendre mon paquet pour le détruire sadiquement ? – railla-t-elle-

- Parce que mon père est mort d'un cancer Kayla et que je n'ai certainement pas envie que ça t'arrive. »

Cette phrase lui retourna l'estomac, ses yeux s'étaient ouvert en grand alors qu'elle comprenait désormais sa réaction.

« Je suis désolé, je ne savait pas..

- Je ne comprends pas pourquoi tout le monde s'excuse, ce n'est pas de ta faute, promet moi simplement d'essayer d'arrêter ou du moins d'y songer. »

Kayla acquiesça silencieusement bercer par les battements de cœur d'Harry. Elle se sentait tellement bien à ce moment précis qu'elle aurait aimé y rester pour le reste de sa vie. Cependant Harry stoppa leurs contacte à contre cœur pour aller lui aussi se servir un café.

« Je suis désolé, j'ai du fouiller un peu partout pour pouvoir faire un café.

- Tu as bien fait – buvant une gorger-tu as faim ?

- Oui un peu, mais c'est moi qui m'occupe de tout préparer cette fois !

- Ok très bien, je ne dis pas non –sourit-il en levant les mains-

- J'ai vu que tu avais des œufs, de la farine, du lait, enfin bref tout pour faire des Pancakes, ça te dis ?

- Si ça me dit ? Si je pouvais je t'épouserais sur le champ Kayla, tu me prends par les sentiments là ! »

Elle rit de bon cœur et s'amusa à refouiller toute la cuisine avec l'aide –très tactile- d'Harry- afin de préparer les ingrédients et les ustensiles nécessaires à la préparation. Après avoir mis tout les ingrédients « sec » dans un saladier, et ajouta le lait puis mélangea activement l'appareil. Harry qui observait attentivement le moindre fait et geste de la cuisinière ne put s'empêcher de sourire face à ça. A présent, la brune avait placé les blanc d'œuf dans le bol du batteur avant de mettre la machine en route dans un bruit assourdissant. Elle sentit des mains se posées sur ses hanche et fut contrainte de retenir son souffle.

«  Je comprends mieux pourquoi tu es si douée maintenant, la cuisine est un très bon entrainement –lui avait-il chuchoté à l'oreille en déposant un baiser mouillé dans le coup-

- C'est vrai, et j'ai pu poursuivre tout cet enseignement dans de véritable condition –joua la jeune femme en se retournant toujours prisonnières de bras d'Harry et du plan de travail-

- Oh ! Et que dirais-tu d'aller approfondir tes connaissances en la matière ?

- Je te répondrai « pas maintenant », j'ai un petit-déjeuner à terminer ! »

Elle embrassa ses lèvres et se dégagea de son emprise. Un peu plus et c'est elle qu'il aurait mangé ce matin.