OS Sergio Ramos x Gerard Pique #3

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Je descends de voiture et la verrouille avant de pousser la porte qui me mènera du garage à la maison en elle même. Mes deux fils arrivent, bientôt rejoint par ceux de mon compagnon.

Sergio Jr : T'as été trop fort Papa !

Marco : Le meilleur !

Milan : Plus que tout le monde !


Je souris alors que Sasha pose ses lèvres contre ma joue. Je rapatrie toute la petite tribune vers le salon où le père de deux des enfants est. Il me sourit et se lève. Les deux aînés cachent les yeux de leurs cadets et ferment les leurs. On sourit avant de s'embrasser.

Gerard : Pas trop mal, comme score. Je m'attendais à mieux !

Sergio : Je te rappelle que tu n'as pas mis de but, lors de vos rencontres contre eux l'année dernière, donc tu te calmes. Et si Zinedine n'avait pas fait l'erreur de faire entrer Gareth seulement après presque 70 minutes et, en plus, à la place de Karim, ça aurait été beaucoup plus simple. Mais bon.


Il me sourit alors que Sergio Junior tire sur mon bras. Je baisse la tête.

Sergio Jr : On doit aller faire dodo, nous. Je m'occupe de border Marco.

Milan : Et je m'occupe de Sasha ! Parlez, tous les deux.


On s'accroupis et ils nous font tous un bisou sur la joue avant de monter. Bien évidemment, on vérifie que les deux petits soient bien couché après, mais on laisse les grands faire, comme ça, ils sont fiers d'eux. Je me laisse tomber dans le canapé et Gerard vient s'asseoir à mes côtés.

Sergio : Comment ça va, ta blessure ?

Gerard : J'espère que Ernesto va accepter de me laisser jouer le 20, c'est tout ce que je demande. Si on n'a qu'un seul défenseur central, je ne sais pas comment ça va finir, mais c'est foutu. Nos défenseurs sont bons, là n'est pas le soucis...

Sergio : Mais tu n'as pas confiance en Digne ?


Il soupire et je souris. Il ne lui a jamais fait totalement confiance et je n'ai jamais vraiment compris pourquoi. C'est un bon joueur, pourtant. Polyvalent, il arrive à remonter suffisament pour mettre des buts en dehors des cornes, ce que certains ne sont pas capable de faire.

Sergio : Soit indulgent avec lui. Il fait de son mieux.

Gerard : Comment tu fais pour ne voir que les bons côtés des choses ?

Sergio : Tu crois que mon Club irait aussi loin si j'étais défaitiste ?


Il secoue la tête et je soupire, laissant ma tête tomber sur son épaule.

Gerard : Bah alors ? On est fatigué ?

Sergio : Ce n'est pas parce qu'on a gagné 3-1 que ça a été facile. Heureusement, Zidane a trouvé les mots pour nous remotiver et on a su trouver les espaces.

Gerard : Avoues que Emery a merdé, en contre-partie.

Sergio : Un peu, ouais. J'ai pas compris ses choix de changements.

Gerard : Ce que je n'ai pas compris, c'est le jaune contre Neymar, au début.

Sergio : Il l'a tâclé par derrière. N'importe qui aurait prit un jaune à sa place. Ce que je ne comprends pas, c'est que Lo Celso n'est pas prit de rouge après sa faute sur Toni.


Je me lève et étire mes muscles douloureux. Le match a été rude, contrairement à ce que certains pensent. Je baille et me tourne vers Gerard qui s'est levé. Il embrasse ma joue et nous montons. Je passe vérifier que les deux plus jeunes soient bien couchés avant de rejoindre la chambre conjugal. Quand mon compagnon arrive, il sourit, signe que les deux aînés sont couchés et dorment aussi. Je retire rapidement mes chaussures, chaussettes et mon jean ainsi que mon T-Shirt avant de me laisser tomber dans le lit. Mon petit ami s'allonge à mes côtés et passent ses bras autour de ma taille, embrassant mon épaule.

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