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Leolo (Leo Messi x Paulo Dybala) - Lemon

Paulo Dybala

Leo sort de sa salle de bain, se séchant les cheveux. J'ai déjà préparé l'ordinateur. Il fronce les sourcils et lance la serviette dans un coin avant de se laisser tomber à mes côtés, toujours en caleçon.

Leo : Qu'est-ce que tu fais ?

Paulo : On va regarder le match des autres équipes de notre poule. Et on va supporter la Croatie, tous les deux !

Leo : Pourquoi je les supporterais ? On va être leurs adversaires, bientôt ?

Paulo : Parce que tu es au Barça et que Rakitic joue. Et moi, parce que je suis à la Juve et que Mario joue. Je ne peux pas louper ça !

Leo : OK ! Donc on regarde le match ensemble, hm ?

Paulo : Ouais. Pourquoi ?

Leo : Parce que j'avais autre chose en projet ?

Il pose ses lèvres dans mon cou et je ferme les yeux. Il me fatigue quand il fait ça, nom de dieu. Il finit toujours par me faire craquer. Ses mains se posent sur mes côtes et me poussent à m'allonger. L'une d'elle disparaît - sans doute pour fermer l'ordinateur avant que l'autre ne glisse sous mon t-shirt.

Leo : Tu sais que tu es beaucoup trop habillé, bébé ?

Paulo : Tu sais que si on pète mon ordi, je te tue, chéri ?

Il soupire alors que j'ai rouvert les yeux. Il prend l'appareil et se dirige vers le bureau. Je me lève et me dépêche de retirer mon short et mon t-shirt. Quand il me fait face à nouveau, il sourit.

Leo : Voilà qui est bien mieux !

Il s'approche et tire sur ma cheville, me faisant retomber allongé. Il monte sur moi, sensuellement. Au dessus de la ceinture de mon boxer, sa langue parcoure ma peau. Au niveau de mes tétons, il en prend un en bouche et le mordille alors que le deuxième est pincé par deux de ses doigts. Il relève la tête et nos regards se croisent alors que je me mords la lèvre pour ne pas gémir. 

Leo : Malheureusement, amor, je sais que c'est l'une de tes zones érogènes. Ne te retiens pas. Les autres prévoient toujours des boules Quies.

Il rebaisse la tête et sa langue passe sur le téton qu'il a mordillait. Je gémis et je le sens sourire contre ma peau. Il abandonne mes bouts de chairs pour continuer à monter. Dans ma nuque, il mord et je gémis à nouveau. Il suçote la peau quelques secondes avant de la relâcher.

Leo : Si parfait.

Paulo : Leo...

Ce connard a commencé à se frotter à moi, faisant des mouvements circulaires avec son bassin. Il sourit et pose ses lèvres sur les miennes, avidement. Il mordille ma lèvre et je le laisse avoir accès à ma bouche. Nos langues commencent une danse endiablée alors que ses mouvements se font plus lascifs. Quand on se sépare, sa main glisse sous le seul morceau de tissu qu'il me reste, empoignant mon membre.

Leo : Déjà au garde-à-vous ?

Paulo : Ta gueule et bouge.

Il me fixe deux secondes avant de tirer, vivement sur le boxer que je porte, le faisant disparaître. Sa langue traverse à nouveau mon corps pour rejoindre mon membre. Quand il le prend en bouche, je rejette la tête en arrière sous les sensations. L'une de ses mains glisse entre le matelas et mon dos. Ses vas et viens humides alternent entre rapide et lent alors que l'un de ses doigts titille déjà mon entrée. Mes mains ont glissé dans ses cheveux. Sa main se retire et je grogne. A quoi joue-t-il ? J'entends le bruit d'un bouchon et je comprends qu'il a prévu ça toute la journée. Quand, à nouveau, un doigt titille mon entrée, il est lubrifié. 

Leo Messi

J'insère un premier doigt en lui. Je sais qu'il passe inaperçu tellement il est plongé dans la frustration et le plaisir, selon la vitesse des mouvements de ma bouche. J'entre un deuxième doigt et il se crispe légèrement. J'accélère mes mouvements et il se détend, peu à peu. Je commence des mouvements de ciseau. Quand j'entre le troisième, il le réalise à peine puisque j'ai commencé à creuser les joues pour lui donner plus de sensation. Quand il est assez étiré, je remonte sur son corps et prends ses genoux pour les remonter. Je l'embrasse, retrouvant facilement le lubrifiant. J'en mets sur mon membre avant d'entrer en Paulo, doucement. Il gémit alors que je grogne.

Leo : Tellement étroit, tesoro.

Paulo : Et toi, tellement petit.

Je donne un coup de rein et il envoie sa tête en arrière en gémissant mon prénom. Je souris et recommence à nouveau le même mouvement.

Paulo : Leo, bordel... Accélères.

Je commence mes mouvements de vas et viens alors qu'il gémit de plaisir.

Paulo Dybala

A chaque mouvement, il touche ma prostate. Ses coups de reins sont plus brutaux que d'habitude. Il mitraille ma boule de nerf et, rapidement, je jouis en hurlant son prénom. Il vient rapidement après. Il s'écroule sur moi avant de se décaler.

Leo : Oh putain ! C'était tellement bon.

Paulo : Tu te sens mieux ?

Leo : Désolé, babe.

Je souris et l'embrasse. Il était plus brutal que d'habitude, mais je sais que c'est la frustration et le stress qui ressortent. Il n'a pas mis de but et je sais que ça l'a affreusement frustré. J'attrape des mouchoirs et me nettoie sommairement avant de me glisser dans les bras de mon petit-ami.