Thomas Meunier x Marco Verratti - LEMON

2.2K 83 16
                                    

Commande de MaririnKat

J'ai fais une légère modification, mais je trouve ça encore plus drôle. Normalement, tu verras ce dont je parle.

J'espère qu'il va te plaire.


- - - - - - - - - - - - - - - - -


On est en plein match contre Marseille. La tension est à son comble alors que nous n'en sommes encore qu'au tout début de la seconde mi-temps. Julian met un but et Marco le félicite. L'international allemand laisse sa main glisser le long des fesses de mon petit ami et je serre les dents, allant le féliciter quand même. Lui, je vais le garder à l'œil jusqu'à la fin du match. Il est hors de question que je le perde de vue plus de trente secondes.

Thiago : La jalousie est un vilain défaut !


C'est le seul qui sache pour Marco et moi. En temps que Capitaine, on voulait qu'il soit au courant. Je lui lance un regard noir et il se marre. Il se fout clairement de ma gueule alors que l'allemand continue de tourner autour de Marco en rejoignant le centre du terrain. S'il veut mon point dans la gueule, je peux m'arranger pour que ça arrive maintenant, il n'a qu'à me le dire.


Fin du match


On monte dans le bus, heureux d'avoir gagné contre l'OM. Après le match, Rami a fait son chaud et a voulu taper l'embrouille à quelques joueurs et aux entraîneurs, mais ses coéquipiers l'en ont empêché. Marco s'assoit à côté de moi et me lance un coup d'oeil. j'espère qu'il est prêt, parce que clairement, il va prendre très cher, ce soir.

Thomas : C'est qui dans les chambres adjacentes à la notre ?

Marco : Pourquoi ?

Thomas : C'est qui ?

Marco : D'un côté il y a Dany et Thiago et de l'autre il y a Julian et Donatello !


Je hoche la tête et saisis mon portable. J'écris un SMS à mon capitaine pour le prévenir de prévoir les Boules Quies, ainsi qu'à Kyllian. Pour ce dernier, je lui rajoute de ne rien dire à son coloc et de planquer les boules magiques.


A l'hôtel


Marco sort de la douche, une simple serviette autour de la taille. Parfait ! Il arrange mes affaires en se promenant ainsi. Je pose mes mains sur ses hanches et le rapproche de moi, l'embrassant. Quand on se sépare, il m'interroge du regard.

Thomas : Tu sais, essayer de me rendre jaloux avec Julian n'était pas une si bonne idée que ça, tu sais ?

Marco : Oh aller ! On est juste ami, lui et moi, tu sais ?

Thomas : T'es sûr ? J'aurai pu lui exploser la gueule sur le terrain, mais je me suis dit que ce n'était pas une si bonne idée que ça, que j'avais bien mieux. Dommage qu'il soit dans la chambre juste à côté, parce que je crains qu'il ne puisse malheureusement pas échapper aux délicieux bruits que tu fais quand je te touche.

Marco : Il a des...

Thomas : Avait. Avant que je ne demande à Donatello de mystérieusement les faires disparaître.


Il fronce les sourcils et je glisse ma main dans ma poche, sortant la boîte. Il secoue la tête souriant.

Thomas : Maintenant... Que dirais-tu de retirer ce truc qui couvre la partie de ton anatomie que je préfère.


Il la laisse tomber et je le fais tomber sur le lit, me retrouvant au dessus de lui. Mes mains passent sur son corps. J'évite, avec sournoiserie, la partie qu'il veut absolument que je touche. Ma langue trace le chemin entre sa mâchoire et son oreille. Son lobe d'oreille se retrouve bloqué entre mes dents et il gémit. C'est l'un de ses points sensibles et je sais. L'une de mes mains remontent ses côtes et mes doigts trouvent son têtons que je commence à faire rouler entre mes doigts. Il gémit à nouveau, un peu plus fort.

Marco : Je devrais dire à Julian de me tourner autour plus souvent, si je suis punis de cette façon à chaque fois.

Thomas : C'est pas une punition. Je veux juste qu'il comprenne à qui tu appartiens !


Ma langue descend pour rejoindre son autre téton et il gémit violemment alors que je ne l'ai qu'à peine touché. Il est tellement réceptif que s'en ai jouissif. Parlant de ça, mon membre commence déjà à pulser dans mon pantalon et je sens le membre de mon petit ami se dresser également. Ma bouche reprend son chemin vers le sud de l'anatomie de mon petit ami. Quand ma langue passe sur son sexe, il donne un coup de reins dans le vide.

Thomas : Doucement, mon ange. Je te rappelle que tu seras en dessous, ce soir. Je veux que tout l'hôtel t'entendre hurler et qu'ils comprennent qui te fait sentir aussi bien.


Je commence les coups de langue tout en déboutonnant mon jean que je vire rapidement à l'autre bout de la chambre. Marco se mord la lèvre pour ne pas montrer son désir et le faire entendre.

Thomas : Bébé, ne retiens pas tes gémissements où je vais devoir te torturer délicieusement encore plus longtemps.


Il lâche sa lèvre rougie et je recommence mes coups de langue, retirant mon boxer. On est presque à égalité. Je me redresse et retire rapidement mon T-shirt avant d'aller prendre son membre en bouche. Je le vois rejeter la tête en arrière alors que je commence à aller et venir. Il gémit bruyament et lâche des jurons, accompagnés de mon prénom. Je tends trois doigts vers lui et il les prends en bouche, les léchants et les suçants de manière obscène. J'accélère et il lâche mes doigts pour gémir encore plus fort que les autres fois. Je glisse mes doigts jusqu'à son intimité et pousse mon index à l'intérieur. Il ouvre la bouche, comme si l'air lui manquait. Je le laisse s'habituer à la présente d'un doigt avant d'en enfoncer un deuxième. Je continue mes mouvements autour de son membre alors que mes deux doigts commencent à malaxer la boule de nerf que je sais sensible. Il lâche un cri et je lâche son membre, souriant en coin. Je recule mes doigts et revient heurter la boule magique. Il lâche un nouveau cri et j'en fais un jeu, massant doucement sa prostate. Il halète et je décide de faire quelques mouvements de ciseaux pour détendre totalement son entrée.

Quand c'est fait, je commence à m'enfoncer en lui, doucement. Je joue avec son membre, le laissant s'habituer à mon épaisseur qui est, sans vouloir me vanter, bien plus grosse que mes deux simples doigts. Il commence, rapidement à faire des mouvements avec ses hanches et je sais que c'est le signal. Je commence à le pilonner, sauvagement. Bien que je sois attentif à son bien-être, ce soir, ce n'est pas pour être doux que je couche avec lui, c'est pour faire comprendre au monde entier que je suis l'homme qui comble Marco Verratti. Je trouve l'angle parfait, martelant sa protaste avec violence. Il hurle mon nom à de nombreuses reprises, hurlant également son bonheur et son bien-être. Le lit tape contre le mur, violemment. Je sais que c'est la chambre de Draxler qui est derrière le mur, alors je donne tout ce que j'ai. Quand Marco vient, s'est dans un énième hurlement. Ses sphinctères se resserants autour de ma queue me procurent une telle sensation que je jouis en lui. Je m'écroule et mordille la peau de son cou. Mon oeuvre n'est pas encore terminé. Je laisse un suçon vient visible et me décale, souriant. Un sourire niais a pris place sur les lèvres de mon petit ami.


Lendemain


On monte dans le bus pour retourner au centre d'entraînement d'où on pourra retourner chez nous. Les gars me lancent des regards avec des sourires en coin. Quand je passe à côté de Draxler, il me lance un regard noir.

Thomas : Tu penses pouvoir rivaliser ?

✔️ OS [Footballeurs]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant