✔️ OS [Footballeurs]

Florian Thauvin x Djibril Sidibé - Lemon

Alors ça fait un moment que j'ai pas fait de lemon, il me semble. Je suis sûrement un peu rouillée mdr ! L'idée de ce couple vient de Malec-Larry28, comme à chaque fois que j'ai une nouvelle idée de couple. Pour info : j'suis en plein révision et l'OS a été écrit entre deux révisions, à la BU alors s'il est court ou pas terrible, c'est normal et je m'en excuse. En vrai, j'sais même pas combien de mot il fait, cet OS ! Bref ! J'espère qu'il vous plaira quand même.

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Florian Thauvin

J'entre dans la chambre de Djibril et lance mon portable sur son lit. Il l'attrape et le regarde avant de relever la tête vers moi, sourcils froncés. Et voilà qu'il va faire l'innocent, en plus ! Je le déteste tellement.

Djibril : Et ? C'est une photo que Anto a posté et alors ?

Flo : Alors ? Regardes où sont tes mains, pauvre idiot !

Il regarde la photo à nouveau et relève la tête. Il se lève de son lit et s'approche de moi, posant ses mains sur mes hanches. Je tourne la tête vers un mur, mais il embrasse mes cheveux. Ses lèvres glissent près de mon oreille.

Djibril : Il y a quoique ce soit que je puisse faire pour me faire pardonner ?

L'une de ses mains glissent sous mon haut et je ferme les yeux. Je sais qu'il va réussir à me faire craquer, si je ne m'éloigne pas de lui, mais je n'y arrive pas. A chaque fois, c'est comme s'il était un aimant et que j'étais le métal qu'il attire. Je suis incapable de partir.

Djibril : Allez, bébé, fais pas la gueule ! Je sais que tu en as envie.

Il tire sur mes hanches, faisant se rencontrer nos bassins. Je serre les dents pour ne pas laisser un gémissement passer la barrière de mes lèvres. Sa main glisse vers mon membre que je sais déjà tendu. Il l'a forcément senti au travers de son pantalon. Ses mains baissent, vivement, mon bas et mon boxer.

Flo : C'est dingue d'être obsédé à ce point.

Il ne répond pas, affichant un sourire mystérieux. Il se laisse tomber et sa langue passe sur mon membre en érection. Putain, il sait tellement bien s'y prendre ! Je lâche un gémissement alors que sa bouche se faire sur mon gland. Ce mec est dingue. Totalement. Et je suis complètement dingue de lui, de sa bouche, de ses mains sur mon corps. Ses mains sont sur mes fesses alors que les miennes ont glissés sur sa tête. Les sensations se décuplent alors que je sens l'orgasme approcher. Il se relève et je grogne de frustration. A quoi, il joue, bordel ? Il nous retourne et me pousse sur le lit, montant à califourchon sur moi. Il se penche et m'embrasse avant de suivre la ligne de ma mâchoire pour aller jusqu'à mon lobe d'oreille qu'il suce quelque secondes avant de s'en éloigner. Son souffle chaud frappe contre mon oreille.

Djibril : Je vais te faire voir les étoiles, bébé. Sur le ventre.

Il se redresse et j'obéis, me retournant sur le ventre. Il ricane.

Djibril : Ils savent, tes coéquipiers marseillais que tu te retournes aussi facilement ?

Je sais que ses mots devraient me blesser ou que je devrais me sentir insulter, comme s'il me traitait de pute, mais ça ne fait qu'agrandir mon envie et mon besoin de le sentir en moi. Sa langue passe sur chacune de mes épaules avant de suivre ma colonne vertébrale. Je gémis quand sa langue commence à titiller mon intimité. Mon corps tente d'aller à la rencontre de sa langue, mais ses mains plaquent mes hanches contre le matelas. Quand un doigt s'insinue dans mon intimité, je me crispe à la légère douleur. On a beau faire ça régulièrement, ça me fait toujours un peu mal au début. Un deuxième doigts s'insinue rapidement aux côtés du premier et Djibril commence des mouvements de ciseaux. Un troisième doigts ne tarde pas à rejoindre les deux déjà présents, mais je le sens à peine, plongé dans le plaisir du moment. Quand les doigts de mon petit ami touche ma prostate, je ne peux retenir le cri d'extase qui sort de ma bouche. Je l'entends ricaner.

Flo : Vas-y, putain ! J'suis prêt, c'est bon, arrêtes de jouer.

Djibril : C'est pas comme ça qu'on demande, mon ange.

Flo : J't'en prie, Djibril, putain ! On sait tous les deux que tu ne rêves que d'une chose, c'est de me baiser, alors fais-le !

Djibril : T'es sûr ? J'veux pas te faire mal, mon coeur.

Flo : Putain, tu y vas où je vais demander à Raphaël ?

Ses doigts quittent mon antre et je grogne à la sensation de perte. Il entre en moi d'un seul coups, me faisant lâcher un hurlement qui mêle plaisir et douleur. Son torse touche bientôt mon dos et son souffle s'écrase à nouveau contre mon oreille.

Djibril : Ne parles plus jamais de lui alors qu'on est au lit, bébé. Tu sais que ça m'irrite plus qu'autre chose quand tu fais ça.

Flo : Au moins, après, tu te bouges et tu me baises pour de vrai.

Il commence ses coups de reins, mitraillant ma prostate alors que je commence, déjà, à voir les étoiles, comme il me l'a promis tout à l'heure. Il a tellement l'habitude de me baiser qu'il connaît l'angle parfait pour frapper ma boule de plaisir à chaque vas à viens. Les draps frottent sur mon membre qui ne demande qu'une chose : la délivrance. Elle vient rapidement. Je jouis sur les draps et Djibril en moi. Il s'écrase sur le lit, à côté de moi, et m'emporte de son côté pour éviter que je reste dans mon propre sperme.

Flo : J'crois que t'as plus qu'à changé les draps.

Djibril : Les femmes de ménages vont être ravies en voyant ça.

Flo : T'es con !

Djibril : Le con t'aime comme un dingue.

Flo : C'est étrangement réciproque.

Je l'embrasse et pose ma tête dans son cou, fermant les yeux. Il m'a épuisé.