ABDOUL BACHIR : je la dit SALAM HALEY KOUM , elle ne répond pas
Moi : Dougueul mo gueune sa khoulé bou reuye bi melni loye (entre au lieu de me regarder avec tes gros yeux qui ressemblent à ceux d'un hibou). Ce crétin me sourit puis m'adressé des mots qui m'ont mis dans une salle état.
BACHIR : ya mole def sa taille basse bou tingue at sa dague bou bakhe (c'est toi qui est belle avec ce taille basse séré que tu as porté qui met en vas tes formes).
Moi : CHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIPE
Je lui fais entrer dans notre simple salon ou se trouvait trois fauteuils une télévision faisant l'hypocrite devant mes grands-parents en lui disant de s'assoir accompagné de petit sourire, je lui servis de l'eau en m'enge nouant. De dos à papi et à mamie je lui regardais de travers, ce Salo me renvoie aussi des sourires en disant merci puis je suis sortie du salon en continuant de vaguer à mes prés occupations. Vers 13H, je dresse une nappe blanche ou se dépose le grand plat de thiébou dieune bou khonque bou ame diagua (riz au poisson rouge avec une sauce de bouette de poisson) et dis autres de venir manger. ABDOUL BACHIR savourait le repas en faisant des compliments, prés avoir fini de manger et de débarrasser je les sers le ataya (thé). Mes grands-parents entre dans leur chambre puis me laisse toute seule avec ce grincheux, ce dernier se lève de sa place pour venir s'assoir à mes côté. Ce qui me fait le plus de mal c'est le fait qu'il tente de m'embrasser, je me lève d'un coup et lui jette en pleine figure nianke fayda soudone beuye thiatale loma démale nobaneté at sa morome (tu n'en pas de vergogne va chercher une fille de ton génération si tu avais des enfants j'aurais l'âge de ta benjamine).
BACHIR : je me suis déplacé pour être près d'elle afin d'embrasser ses lèvres pulpeuses et rose, elle se lève et m'insulte. Je me retenais de la frapper elle avait touché mon égaux ainsi me suis plus déterminée à faire d'elle ma femme juste pour lui faire savoir qu'on ne se fout pas de ma gueule. Je la dit dama laye taque, gaye dialle sama guinawe, di dokhe si lima nékhe, tek si nobema ba doffe (je t'épouserais, tu te coucheras derrière moi, tu feras tout ce qui me plait pour couronner le tout tu tomberas folle amoureuse de moi) puis je la dit de se préparer. Je reviens la chercher vers 20H et je suis parti sans se retourner.
BACHIR : je me suis déplacé pour être près d'elle afin d'embrasser ses lèvres pulpeuses et rose, elle se lève et m'insulte. Je me retenais de la frapper elle avait touché mon égaux ainsi me suis plus déterminée à faire d'elle ma femme juste pour lui faire savoir qu'on ne se fout pas de ma gueule. Je la dit dama laye taque, gaye dialle sama guinawe, di dokhe si lima nékhe, tek si nobema ba doffe (je t'épouserais, tu te coucheras derrière moi, tu feras tout ce qui me plait pour couronner le tout tu tomberas folle amoureuse de moi) puis je la dit de se préparer. Je reviens la chercher vers 20H et je suis parti sans se retourner.
Il sort en me laissant planter là comme une moins que rien quelques munîtes après je le vois en Compagni de mes vieux j'ai vu qu'il leur donnait de l'argent je dirais même beaucoup d'argent. Mon grand-père me dit que tu as intérêt à te préparer bo amé kouleu beugue take yaw mou aye gafe bi do dawe ba dé (si tu as un homme qui veut t'épouser toi qui porte la poisse, tu dois courir derrière lui).
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CHRONIQUE d'AÏSSATOU
Non-FictionIl s'agit d'une jeune fille AÏSSATOU une orpheline de mère vivant avec ses grands parents maternels. Son grand père lui feras vivre le calvaire et obligera á se mari avec son pire ennemi.Ce dernier fera voir toutes les couleurs à la jeune fille...