CHRONIQUE d'AÏSSATOU

Partie sans titre 32

nous saluons la secrétaire avant de partir elle est très simpat en plus elle est mariée et mère de deux mignons bbs donc je n'est pas à m'inquiéter je vais plus tôt me rapprocher d'elle bref je prend son numéro devant mon mari qui ne fait que de me regarder mo yaye di dama changé di  dans la voiture je lui fais de petits bisoux dans sa main que je tenais et carrassais parfois ses cuisses je sais ce que  vous dites mais suis obligée j'ai un mari à récupérer en plus de cela je dois tomber enceinte le plus vIte que possible  car je sais qu'en ce moment que mon homme rêve d'avoir des enfants tout ce que je souhaite est qu'Allah me donne des jumeaux comme çà je serais sur qu'il ne me quitteras jamais  d'après l'ami de mon mari clément la maitresse de mon mari c'est une femme de vie qui n'a pas le temps d'enfanté cela est un un avantage pour moi.

Arrivée à la maison, j'ai mis une robe légère pour cuisiner mais votre pote n'étais pas du même avis il m'a ordonné de ne pas cuisiner puisqu'il n''a pas faim  car lui il doit rattraper le temps perdu avec sa femme c'est à dire moi . Nous sommes restés presque toute la journée à faire ce que vous savait je dirais même tout le weekend à le faire pour manger on a été obliger de commander Puisque monsieur ne voulait as me laissé reposé n se este qu'une seule petite minute je vous jure qu'il est dingue.

Moi: BACHIR aujourd'hui c'est lundi levé toi du lit tu dois aller au travail tu contuniras ce que tu as commencé ce Soir a thia diogueule guawe  NDIAWE FARA MA NDIAWE KHORE BOROE MAMOU  DIARAF YI AT CHEF DE CANTON YI BOROME KHOLOU YOUROUSSE BI.

ABDOUL BACHIR NDIAW : merci pour ses compliments ma douce en parlant de travail j'ai pris mon congé donc je reste à la maison avec toi mieux on  va chez mes parents tu la bien cherché n'est ce pas tu m'interdisais de de te toucher légui tu n'a qu'à assumer les conséquences de tes actes un moi sans de toucher YA SOKHORE DOME.

Moi: bayile liguaye wakhe nétali histoire lolou yé fitnala et tu toi tu sais qu'une femme n'est pas toujours mature il faut que passe l'éponge et tu me comprennes mon papouni oh l il n'est pas du tout content il déteste ce non oh! il va me tuer,il m'a coursait et m'a attrapé.

BACHIR: en me mettant à ses pieds AISSATOU je ne t'avais pas dis de ne plus jamais m'appeler par ce nom je vais te pincer les fesses puis ton châtiment sera de repassé au lit .

Moi: Ma bagne youye dama sonne 

Bachir: En dagua sonne khara ma gneuwe wo ya Awa guané dagua sonne.

Moi: Wa nopina sonouma bilaye sonouma NDIAW FARRA  defma loula nékhe wanté boule wo reck sama yaye.

BACHIR: Kone dofo j'aime quand tu es respectueuse et obéissante.