Ousmane Hanne: je viens de l'hôpital, les examens médicaux que j'ai fait montre qu'il ne me reste plus beaucoup de temps. Oui vous avez bien entendu je vais bien tôt mourir. J'ai un cancer des poumons makhala dama gniémé wone tokhe cigarette at bone ( dans ma jeunesse j'ai toujours aimé fumé du chiavre indien et de la cigarette). Me voilà aujourd'hui condamné à la mort avant que celà n'arrive je compte réparer mes erreurs surtout l'injustice que j'ai fait face à Awa Ndiaye et Aïssatou. J'ai été faible de suivre ma femme dans sa folie. Et j'avoue que je n'ai jamais aimé ni apprécié la petite Aïssatou à sa naissance car je croyais qu'elle était ma petite fille et s'est en la donnant naissance que ma fille est morte. Ma haine à plus augmenter lorsque j'ai su qu'elle est la fille biologique de Awa Ndiaye, l'ex meilleure et la rivale de ma fille. Wolof Ndiaye néna reuthiou dina féke dieuf wesse ( le proverbe wolof dit nous regrettons ton nos mauvais actes trop tard) . A cette state où nous sommes dieuf wessa goule ( le regré n'est pas encore tard, je peux me rattraper) . Je veux être quitte avec ma conscience s'il faut que je dénonce ma femme et Nabou Diagne ainsi que moi à la police, je n'hésiterai pas à le faire. Nous avons tous commis des actes illégaux que ça soit dans le passé où dans le présent. Je vais de ce pads aller voir mon ami Elhadj Malicke Ndiaw et Awa Ndiaye. Je sais d'avance que l'acceuil ne sera pas bonne.
Clément Mendy: je suis chez moi j'attends mon ami nous devons trouver un plan pour sortir Bachir de ce pétrin. Il est notre ami et nous ne pouvons pas l'abandonner et sa femme cette Aïssatou elle est la douceur, la bauté proprement dit, l'élégance au sens propre du mot, sa personnalité refléte la gentillesse, l'amour. Je l'aime tout cour. Je sais ce que vous pensez de moi en ce moment mais détrompez vous je l'aime mais en tant que fille. Elle me rappelle ma première fille qui aurait le même âge que Aïssatou si elle avait survécu à cette accident où c'est moi qui conduisait le moto. Je m'en veux énormément et si je pouvais revenir en arrière ce jour là je ne serai jamais sorti avec ma petite Jeanne. Je n'arrête pas de me culpabiliser même si ma femme Léontine essaye de me faire croire le contraire aka gueume Yallah ( c'est une croyante). C'est pour cette raison que je protége et prend soin de Aïssatou je vois un elle ma fille. Et temps que je serais vivant personne ne l'a fera du mal Nabou Diagne ne pert rien en attendre elle aura sa dose. En attendant que je vais me servir du visky 🍷 pour avoir les idées claires et préparer un plan diabolique contre cette garce de Nabou Diagne.
Nabou Diagne : je viens tout juste d'arriver j'ai passé toute la journée à faire les magasins pour mon homme mataye nope Bachir koumou nékhoule matale sa bakéne (j'aimr Bachir et je m'en moque de l'avis des gens si celà ne vous plaît pas mordez vous le nez) . Je vais me préparer mane il sera là d'ici quelques heures. Je vais prendre un bon bain 🛀 moussant. Après je vais voir ce qu'à préparer la cette idiote de servante.
Moi: le détective vient de m'annoncer que Bachir sera là d'ici quelques jours je suis déjà prête pour accueillir mon mari taye Nabou Diagne doumala maye nada té loma maye ma yobou Dembalé Counda ( aujourd'hui Nabou Diagne, je ne vais rien t'offrir tout ce que tu me donnera je vais l'emmener à la maison familiale Dembalé counda). Assé parlé, la je vais ouvrir la porte quelqu'un vient de sonner heureusement que dans cette maison il n'y pas de gardien qui pourrait faire foirer mon plan. Ho ! Mon Dieu, il est si mignon, mon visage m'avait manqué, son sourire qui laisse apparaître ses chaussettes, sa barbe. Bilaye j'aime mon mari.
Bachir: raclement de gorge heumm mademoiselle pouvait vous me laissez passer et l'on petit sourire dragueur. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais cette fille son regard m'intrigue. Elle me rappelle quelqu'un mais je ne sais pas qui. Elle se pousse et me laisse passer. Je crois que je vais aller voir ma Nabou au lieu de m'attarder à matter cette gamine. Je m'apprête à monter les escaliers quand je l'entends m'appeler.
Elle: Monsieur Ndiaw attendezBachir: oui mademoiselle en me tournant pour la faire fasse.
Moi: je me suis dépêchée d'aller chercher le vert d'eau que j'avais posé dans la cuisine pour lui. Aujourd'hui à l'absence de la voleuse de mari je me suis rendue chez Claude mendy le père de clément. Il m'a donné une petite bouteille que je dois mélanger avec de l'eau et le faire boire à Bachir dés son arrivée. Je lui tends le vert d'eau.
Bachir: Excusez moi mademoiselle je n'ai pas soif mais merci camment .
Moi: mais buvez en un peu li sougniou adala borome kheur bou drogué voyage dagniou KO Warra térou at dokhe mou nane ( celà fait partie de notre tradition si le mari revient d'un voyage on doit l'accueillir avec une verre d'eau pour qu'il se rafraîchit) . En faisait une air de fillette triste.
Bachir: La petite à raison sur ce point sauf que c'est ma femme qui dois le faire pas elle mais je vais boire son eau avec ses yeux doux qu'elle me fait fait pas d'autre choix que de boire que je fais d'un trait. Elle me sourit et me dis de la suivre chose que je fais sans pipé mot. Elle me conduit dans sa chambre où je pose ma valise.
Moi: J'ai réussi à faire boir à mon mari cette eau je lui avais fait couler un bain que je lui dis d'aller prendre j'en profite pour cacher sa valise avant que la sorcière ne vienne par ici.
Nabou Diagne : je suis déjà prête pour accueillir Bachir mais il n'est toujours pas là et celà fait une heure que je patiente. J'ai appelé son assistant qui affirme leur retour. J'ai tenté de le joindre mais son téléphone est éteint.je vais voir la versants pour lui demander si quelqu'un n'avait pas sonné mais elle dis qu'elle n'a rien entendu. Elle me parlait de par la salle de bain vu que j'entendais des bruit. Bon je m'en fou de sa vie à elle kawe kawe la ( c'est une villageoise) . En m'addressant à elle mange le poulet mon mari ne rentrera sûrement pas aujourd'hui moi j'ai pas faim le poisson braisé met le dans le micro onde je le mangerai demain. Je file dans ma chambre et bois des cachets pour dormir jusqu'à petit matin sans être dérangé même si il y avait un tremblement de terre je ne le saurai pas avec ces cachets.
Moi: J'ai attendu qu'elle monte pour aller prendre le dîné que j'ai fait pour mon mari je l'ai sorti ses vêtements de rechange que j'ai poser sur le lit. J'ai fit de allers retours pour tout amener. Au deuxième monsieur était déjà prêt .en addressant à lui Sangue bi ma tathieu rére bi légui ni wala ( est ce que je peux servir le dîné tout de suite ou après) .
Bachir : Oui tu peux j'ai un faim de loup 🐺.
Moi: Tes désirs son des ordres lathi Ndiaw Ma Ndiaw khor feuri Ndiaw Ma Ndiaw khor borome mamou diarafe yi, chef de Canton tu Ndaye dji rewe yi at ilimane yi ( je chantais les louanges de ses enceintres). Après avoir dîné je lui sert du jus de jinjinbre et en profite pour aller dans la salle de bain et me préparer . Je suis ressortie de la douce comme çà.Mo qui thiorokhane di ( il s'est mis à toussé) makhala dafa tide di (c'est l'effet de la surprise, je suis belle et sexy mes amours je sais), les garçons je suis déjà la femme de quelqu'un. Et c'est un péché de regarder la femme d'autui 😉🤗.Je me presssite au près de lui et lui temps une verre d'eau qu'il boit sans me quitter des yeux. Ho ! La nuit s'annonce bien mes amours 😜 taye dara dou yombou loufi nara léwette louné pobar at binégare laye done khana dou sokhor na si diégue bou ndawe ( rien ne sera facile aujourd'hui tout ce qui sera fade se sera du poivre et du vinaigre).on se regardait,on arrêtait pas de se fixer. Il m'a embrassé et j'ai pas tarder à y répondre.
Bachir: je suis comme hypnotisé devant son magnifique corps. Je l'ai embrassé et elle m'a répondu aussitôt. Je cherche accé plus loin, nos langues se mélanger. Avec ses main qu'elle a passé derrière mon nuque en me caressant tantôt la tête tantôt les époles de même que sa partie intime n'arrent rien du tout. Je l'a souléve et l'installe au milieu du lit pour débuter une très longue et mouvementée nuit.
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CHRONIQUE d'AÏSSATOU
Phi Hư CấuIl s'agit d'une jeune fille AÏSSATOU une orpheline de mère vivant avec ses grands parents maternels. Son grand père lui feras vivre le calvaire et obligera á se mari avec son pire ennemi.Ce dernier fera voir toutes les couleurs à la jeune fille...