CHRONIQUE d'AÏSSATOU

Parie 45

Moi: je suis à  mon  neuvième  mois de grossesse où j'étais souvent malade avec mes sauts d'humeurs heureusement que j'ai un mari compréhensif. Bref mon accouchement est prévu dans deux jours dans un clinique ho les hôpitaux  publics sénégalais rares sont ce qui prennent soin de leur malades avec  ses charges femmes impolies au lieu d'aider la femme à  accoucher elles vont se maître à la stresser d'avantage avec leur parole crus si tu ne parvients à pousser pour faire  sortir la tête  du bébé ou si tu cris beaucoup elles vont te dire de ne pas les timpaniser car au moment  où tu faisais l'amour c'est bon pour toi donc ne les agasse pas avec tes cris.  Pour m'épargner tout celà je préfère accoucher dans un clinique. Et je vous le conseille mes amours si vous en avez  les moyens au cas contraire la grossesse dure  mois il faut épargné même si c'est 100fr par jours pour préparer son accouchement mes Soeurs.
J'étais assise dans le jardin pour prendre de l'aire soudain j'ai senti de l'eau qui coulait au niveau de mon entre jambe. J'avais commencé à paniquer et j'ai crié le nom de ma mére et de mon mari pour qu'il viennent à mon secour yaye yaye boye Ya Awa Abdoul Bachir Ndiaw kaye léne dimbalima (maman Abdoul Bachir Ndiaw venaient m'aider). Wouye filama yalllah done kharé dékété weussine nila maté ( ho je crois que c'est que Dieu m'attend pour me faire payer mes mauvaises actes. Je ne savais pas que l'acouchement faisait aussi mal).

Bachir: Ma princesse m'appelle par mon nom complet qu quand elle est fâchée ou quand elle ne vas pas bien. Je l'entends crié au secours je me presse de descendre des escaliers en vitesse pour aller la rejoindre dans le jardin où je trouve sa mère. Je la prends dans mes bras comme un bébé 👶 et la conduit à la  clinique heureusement que ma mère et sa grand mère sont sorti faire j'en sais quoi sinon elle nous aurait attardé.
Je conduisais à vrai dire je n'étais pas du tout concentré je regardais de temps en temps les sièges arrière où étaient Aïssatou et sa mére qui l'a disais de pronom l'un des 99noms d'Allah Yallah tiff.
Je vous passe  le trajet je suis dans la salle d'accouchement avec ma princesse  car j'étais autorisé  à assister à  l'accouchement .
Elle criait le nom d'Allah  Yallah tiff pour implorer le bon Dieu de l'aider à accoucher et qu'elle soit seinnne et sauve avec nos enfants. Je tenais sa main très fort je la vois en sueur et en l'arme,les sages femmes la disent de pousser  de plus en plus après 3h de travail elle venait de donner naissance à deux de nos filles. Il ne restait q'une seule mais la femme était trop faible et elle commençait à fermer les 👀 yeux petit à petit .je vois une sage femme qui la dit de ne pas s'endormir car c'est pas bon pour elle. J'étais paniqué mes larme sortaient sans que je  m'en rends compte. Je ne supporterai pas de perdre ma femme. Je serre très fort sa ✋ main en la disant qu'ellz n'a pas le droit de me laisser seule avec nos deux bébés et son devoir en tan qu'épouse est de rester près de moi.

Ya Awa : Bachir est dans la salle de travail avec ma fille ma raison d'être. J'ai appelé ma mère et la belle mère de ma fille qui étaient sortie faire des achats  et mon père pou qu'il soit la aussi. Je faisais les cent pads avec mon chapelet à la main en faisant des prières pour que Aïssatou et mes petites filles soient seinnnes et sauves. Je vois une sage femme qui sort de la femme avec un air qui ne dit rien de bon, je l'intercepte pour lui demander des nouvelles mais sa réponses me laisse glisser sur le carrelage froid. Elle vient de m'annoncer que ma fille  ma Aïssatou n'allait pas bien et il faut prier pour qu'elle ouvre les yeux. Au même moment arrive mes parents et les beaux parents de ma fille j'étais inconsolable. Je viens de trouver min enfant je ne veux pas la perdre.

Moi: Je suis comment vous dire faible j'ai fermé les yeux mais j'entends la sage femme et mon mari me dire de ne pas fermer les yeux surtout Bachir qui me défend de ne pas le laisser seule avec nos deux boudchous.  Je pris Allah au fond de moi d'exaucer les vœux de mon  époux.en disant même si les sons ne  pouvait pas sortir je le disais intérieurement Allah gnieuwale  té boule yoné aye Y'a Maloukoul Moulke je vous demande la force d'accoucher et de lutter contre la mort pour pour survivre .

Bachir : je vois ma femme qui réouvre ses yeux et me serre à son tour la main très fort je sais qu'elle est faible mais elle continuait de pousser au bout de quelques minutes est née la petite dernière. J'ai embrassé ma reine devant toutes les sages femmes leur présence m'importais peu. Je la remerciais de m'avoir donné trois petites princesses.
J'étais obligé de sortir de la salle  pour qu'elle et les bébés soient nétoyées et transférées dans une autre salle  je suis marié annoncé la bonne nouvelle à ma belle mère mais j'ai trouvé  le vieux insolent de grand père de ma femme,mes parents et sa grand-mère. Ces derniers avaient une salle tête à ma venu.Je l'ai annoncela bonne nouvelle,j'étais content et fier de d'avoir trois enfants le même jour. Bilaye guor yomboul témane  gueume nani guorla téksi piire nak (il n'est pas accordé à tous hommes d'être puissant mais moi je sais que je suis un homme et plus important je suis puissant ) .