CONSOMMATION DU Mariage

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ABDOUL BACHIR DIAW : Je suis revenu de la voiture, je vois AISSATOU qui se fait insulter par son grand-père au même moment où je voulais réagir ma femme s'est retournée pour prendre la fuite. J'ai saisi sa main et l'amenais dans la voiture pour l'épargner d'être témoin de toutes les choses dont je vais devoir dire à son papi. J'ai retrouvé ce vieux pervers que j'ai balancé YAW PERE OUSMANE YAW NITTE GUA KI SA SEUTTE LA ATTE NOUMOU MEUNETI MEL WANTEI LI DIAKHA LOUMA DAKHETEI YAW SA BOPE DO EXEMPLE DAGUA FATTEI BALA POLICE BEITEI SI CLANDO BI MANE GUA WO MA WAWOULA WANTEI SAMA DIARBARE BOKO BAYI WOULE NALA SIWALE(père OUSMANE est ce que tu es un humain celle que tu traites de ces noms d'oiseaux c'est ta petite fille qu'elle soit ses défauts, elle est ton sang mais venant de toi ça ne me surprend pas puisque tu as été surpris dans un hôtel clandestin c'est moi qui t'as fait sortir de ce pétrin. Tu as intérêt à ma femme la paix sinon, je me ferais le plaisir de dévoiler tout ce que tu caches). Je n'ai même pas attendu sa réponse que je suis parti.

Dans la voiture, AISSATOU pleurait toujours, je ne sais pas pourquoi mais j'ai mal en la voyant dans cette état. Nous sommes dans ma maison, je la fais monter dans notre chambre. Je m'assois à ces côtés, la tenir la main, la consolé en lui essuyant les larmes. J'étais surprise car madame s'est collée à moi puis ma embrassé, nos baisers devenaient de plus en plus intenses. Je viens de reprendre mes esprits, je me suis détaché d'elle puisqu'elle est inconscient en plus je la connais elle me traitera demain de violeur.

CHRONIQUE d'AÏSSATOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant