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Moi: Attendez ne partez pas monsieur. 

Grand père :conscience mane khalé bi safouma daffa dothie trop maye wakhe mouye téwaté daye dème kaye bako guélawame nagou. Ne le retient pas. Laisse le partir comme il l'a bien dire, il ne veut pas nous déranger d'avantage autant plus qu'il a peut être d'autres choses plus importantes à faire que de chercher comment résoudre tes problèmes de famille ma petite fille.

Sidiky: Rien n'est plus important dans ce monde que ma seule et unique fille m'aime si celà vous paraît impossible. Doré avant, Aïssatou passe avant tout même avant mes société papa. Je fais exprès de l'appeler papa pour l'énerver vu qu'il veut semer la zizanie entre moi et ma fille que je viens à peine de connaître son existence. Si, elle veut que je reste, je n'y trouve pas d'inconvénients. Je sais que mon aide n'est pas d'une très grande importance mais je peux cammeme vous donnez mon avis aux décisions que vous allez prendre comme le dit vous les wolofs (khel dou doye) on en toujours besoins de conseil. Si le bonheur de ma fille dépendait de ma vie je vous assure que je la lui donnerai pour qu'elle soit heureuse éternellement avec son mari et mes petites filles.

Grand père : Merci pour ton beau discours mais on pas besoin de tes conseils. On sais tous que tu parle de la sorte pour avoir l'estime de ma petite fille.

Awa Ndiaye: Haye papa li kéne douko wakhe guor.

Grand père: yaw nopil kone ki guor la  et puis jeune homme ne m'appelait pas papa je ne suis pas votre père.

Beau père : ndiaye depuis lors je n'ai pipè mot mais ta fille a raison. Tu vois cet homme, il est correcte si c'était un autre il allait de casser tes dents tangue déréte bakhoul ( ce n'est pas bon d'être nerveux)

Sidiky: Je sais que vous m'en voulez papa mais là il ne s'agit pas de moi plutôt de notre raison d'être tous qui est Aïssatou, elle passe même avant nos différents. En plus nous avons tous besoin de conseils nul n'est sage nite kou doul dioume amoule. Je me suis mis en jenoux devant lui je demande votre pardon et je répéterai tout mes erreurs. Je sais que ce n'est pas le moment mais j'en profite pour vous demandez la main de votre fille  Awa Ndiaye.

Moi : J'avoue que ses propos toucher je suis tellement heureuse au fond de moi.j'ai toujours rêvé d'avoir un père qui se préoccupe de mon bien être  mais n'empêche je suis toujours un peu remonté contre lui. Grand père si tu m'aime un tout petit peu laisse le assisté à ce réunion familiale. En plus,il n'est pas un étranger c'est mon géniteur après tout. Pour ce qui est de sa demande en mariage pour maman tu dois l'accepter en plus ça saute à des centaines de kilomètres que maman est toujours amoureuse de lui sinon elle serait mariée depuis longtemps. Je n'ai pas envie que mes enfants vivent la même situation que moi c'est à dire de grandir sans leur deux grand parents.

Grand père:  Tu t'entends parler Aïssatou même si je lui accorde la main de ta mère. Il ne  vit pas au Sénégal encore moins à  Dakar. Et je n'ai pas envi que ta mère reste loin de nous.

Sidiky: celà n'est pas un problème papa étant donné que je réside maintenant à Dakar. Je n'ai plus rien qui me retient au  Mali à part certains de mes entreprises et je peux toujours y aller une fois de temps en temps pour voir leurs évolutions. J'ai des hommes capables de les gérés. De même le seul oncle qui me reste vit au Sénégal depuis des années. Conscience mon père nak amato nak  laye  maye ma guoné gui ndiaye.

Moi: je vois mon grand père qui ne parle toujours pas. Il est surpris par la détermination de mon père. Je sais maintenant d'où je tiens ma tenance. Je prend l'initiative de prendre la décision pour lui même si je sais qu'il me prendra la tête pour un moment mais nak mounouma méré après tout je suis sa seule et unique petite fille et héritière. Je vous l'ai pas dis mais mon grand père est riche avec un grand R.  Bref, grand père ne parle pas car il est ému par vos mots et il est sera très ravi de vous donnez en mariage ma maman d'amour aujourd'hui après la prière de takhoussane.
Il me fusil avec ses regards mais je n'en fait pas de cas .
- bref, je suis venu pour vous dire que bachir retrouve peu à peu sa mémoire  bientôt il sera de retour parmi nous. Le problème le plus urgent c'est que nous vient de dire grand père Ousmane trouver un moyen pour sauver la vie de mes filles en pleurant pour annuler le sort de leur à jeter satou. Je ne supporterai pas de leur perdre mes larmes sortent de plus en plus sans que je suis les retenir. Je  ne souhaite à personne cette sensation, cette peur qu'on ressent en fase de perdre son enfant. Je me laisse tomber  sur le carrelage car je ne tient plus debout sur mes jambes.

CHRONIQUE d'AÏSSATOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant