Flash-back
Aïssatou : Bachir pourquoi tu m'évites je sais que j'ai tord de juger ma mère mais ce n'est pas une raison de l'ignorer tu oublies que je suis enceinte de toi. Nous sommes un couple nos différents nous sommes censé les règles sans en arrivée a cette stade. Si je t'ai fait du tord j'implore ton pardon et te demande d'arrêter de rentrer à des heures tardives.Bachir : c'est de ça que tu voulais me parler si tu n'as rien d'autres à y ajouté je te dits bonne journée suis pas d'humeur à écouter tes gamineries ce dont que tu dois faire c'est d'aller demandé pardon a ta mère ou lieu de me tympaniser . Moi je vais au travail je m'en bât que tu sois enceinte ou pas et pour finir je rentre quand je veux. C'est pas à toi de l'établir mon horaire.
Aïssatou: Bachir c'est à moi que tu parles de sorte OK comme tu veux so wathiatone doma fi féke reck mou nékhe ( il arrivera que tu descendants du travail et que tu ne me retrouveras pas dans la maison). En ce moment là , je te donnerai l'opportunité de te foutre de ma grossesse et l'honneur de rentrer quand tu veux puisque tu seras seul toute ta vie. Je déguerpis de la chambre en prenant bien le soin de rouler mes fesses et lui lance tu ne verras jamais tes filles.
Bachir : Wallaye cette fille est folle comme si j'allais croire qu'elle s'en ira de la maison avec ses menaces à deux balles. Je prends mon sac et sort de la maison le boulot m'attend. Mais attendez,elle a bien dit mes filles donc elle accouchera inchallah de petites Ndiaw. Wallaye je suis content elle vient de rendre ma journée excellente sans le savoir. J'ai toujours aimé avoir des filles car je ne veux pas d'un fils qui auras mes habitudes vu que je n'ai pas été un bon garçon.
Fin du flashback
Abdoul Bachir Ndia : cette sanglée a bien exécuté ses menaces. Jamais,je n'aurai dû la dire ces choses par ma faute j'ai perdu ma femme et mes enfants. Je suis là en tournant en rond je prend mes clefs de voiture et sort de la maison comme un fou . Je Brûle les feux de toute façon au Sénégal rare sont certains policiers qui contrôle les routes la nuit et même si on m'arrête j'ai assé de connaissance pour ne pas être suivi par des amendes ou être emprisonné fi môme bras long reck et connaissance do tardé féne. Bref, je suis chez mes parents. Je suis sûr qu'elle est là vu qu'elle ne retournerait jamais chez Ousmane Hanne après avoir connu la vérité qu'il lui a caché sur ses origine et elle ne sera pas aussi chez YA AWA vu qu'elles sont end froid. Apres les nombres salams je demande a mes parents si ma femme est dans la chambre ou j'occupais avant. Ils me répondenr par la négation la je suis perdu .Et me pire c'est qu'elle n'a pas d'amies au bon sent peut être ma petite princesse ça l'apprendra à me marier avec quel qu'une de mon âge dans ma prochaine vie. Je me mets à pensée à nos dernières discutés et les menaces qu'elle me faisait guor la dé santé tite na magui melni kou touke si neine ( je suis un homme mais la j'ai vraiment peur c'est comme si je m'étais assis sur un oeuf ).Soudain ,il me vient une idée je ne sais pas si elle est bonne ou pas mais je vais devoir aller dans cette maison je sais que j'aurais des problèmes avec ce vieux mais je m'en fou qui ne tente rien n'a rien .Et pour retrouver ma femme enceinte je suis capable de tout, je dis bien tout je vais de ce pas y aller laissant mon père et ma mère qui m'accuse d'avoir pousser ma femme à quitté le domicile conjugal.
Avez vous l'idée de l'endroit ou parle Bachir et de quel vieux parle t- il?
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CHRONIQUE d'AÏSSATOU
Non-FictionIl s'agit d'une jeune fille AÏSSATOU une orpheline de mère vivant avec ses grands parents maternels. Son grand père lui feras vivre le calvaire et obligera á se mari avec son pire ennemi.Ce dernier fera voir toutes les couleurs à la jeune fille...