Moi: Me voilà en sous vétement dans la maison de la maitresse de mon mari avec lui la vie est pleine de surprise. Je m'approche de lui, l'embrassais fougueusement en un point que j'ai perdu mon souffle. Ses lévres m'avaient manqué. Je me 1 califorche sur lui pour mieu savourer le gout de ses lévres ainsi auguement son plaisir. La façon dont qu'il caresse mes fesses me font ressentir des papillons au niveau du ventre. Je prends l'initiative de le désabiller en levant sa chemise tout en continuant de l'embrasser de même que son pantalon et son caleçon. J'ai toujours été contre la félation . Bachir me le reprochait souvent comme on dit toute régle à des exceptions. Aujourd'hui je tranchirai ce barriére pour faire plaisir à mon mari. Je me redressse et part prendre du cristalle que je met dans ma bouche sous ses yeux interrogateur que je ne prette pas attention.
Je saisi son zizi avec délicatesse que introduit dans ma bouche en y faisant de petits tours avec ma langue pour poursuivre avec des vas et viens. Ses yeux sont restées fermer et il émetait des gémissement avec sa voix rauque sous l'efffet du mente des cristalles. Au moment ou j'ai su qu'il allait venir j'ai du retiré son zizi de ma bouche. Je me vois pas à avaler sa semance. Je me bascule sur le lit en écartant mes jambes où il s'accroupit un long moment à faire ce que vous savait. Pour tout vous dire il m'a amené au 7 ciel avec trois ranounes et trois orgasmes. Nous sommes restés la affalés dans le lit. Bachir m'attire vers lui en m'en cerclant de ses bras protecteurs pour une nuit apaisée.
Bachir: Ma langue fait des merveilles, je la vois se cabranler et bouger dans tous les sens sous l'effet de mes coups de langues en me supliant de la prendre. J'aime la façon dont elle frémit. Je n'en fait pas un cas, je continu mon exploit après des munites de tortures je décide de me plier à ses désirs et passé à l'acte. Même si elle n'est pas vierge, je la trouve cammem très étroite. Nous voilà essouflés je l'attire dans mes bras pour dormir. Bizarement, je ne regrette pas d'avoir tromper Nabou. Hoo ! Je commence à bailler je crois que je vais rejointre cette petite dans led bras de morphé. Elle dort profondément j'ai tué la fille d'autrui.
Moi: Heureuselent que mon réveille a sonné ä temps. Je fais de petits bisous à Bachir sur son coup pour le réveiller. Il ouvre petit à petit les yeux et me renverse sur le côté pour se mettre entre mes jambes pour une sport matinale. Aprés jouissance j'ai du le préparé son bain et lui sortir des vêtement qu'il mettra. J'en trofite pour aller me laver dans l'autre salle de bain et faire mes grandes ablutions. Aprés avoir finis j'enfile les habits que j'ai emporté avec moi et rejoindre min mari. Je le retrouve habillê et tout beau. Je renge bien sa valise et l'embrasse. J'ai pas envie de le laisser partir maus je n'ai pas d'autre choix je regrettte de ne pas mettre toute la poudre dans sa nuriture. Je lui souhette de passé une bonne journée et en profite pour lui donner rendez vous ce soir.
Bachir: Je m'apprette à aller rejoindre la chambre de Nabou et faire semblant d'arriver du voyage à cette heure. Avant de sortir de sa chambre la petite m'embrasse langoureusement et me donne rendez vous ce soir. J'aime son audace. Je lui dis aussi à ce soir pour une nouvelle aventure. A peine que je suis entré dans la chambre qu'elle m'agresse.
Nabou Ndiagne: Yaw (toi) Bachir fo nékone boule aute laye (où étais ti ne cherche pas d'alibi) ,j'ai appelé ton adsistant. Il m'a dit que votre vol avait atterri depuis 17h. Où as tu passais la nuit ? Avec qu'elle pute étais tu hier soir ?
Bachir: Oui je suis revenu de mon voyage hier à 17h et j'ai passé la nuit dehors car tu me soules. Je ne voulais pas voir ta face qui m'ait insupportable. Tu es contente maintenant que tu connais la vérité sur ce je vais me reposer dans l'autre chambre. J'aurai du resté la ou j'ai passé la nuit. En claquant la porte et aller me refugié dans l'autre chambre.
Nabou Ndiagne: Bachir vient de me faire et me rabaisser comme au vieux temps. Je vais défaire sa valise pour y trouver des information et s'il avait repris contact avec sa femme nak non je vais l'enlever cette pensée de ma tête. Mais le féticheur ne m'avait pas dit celà souféké lolou la kone ki khamoule dara heureusement ba fayoumako lépe ( si celà est réel donc su'il ne connait rien heureusement que je ne lui ai pas tout payer). Ho mon Dieu qu'est ce que je viens de voir une string non Bachir n'a pas osé. Je sors de la chambre furieuse pour aller le rejoindre dans l'autre piéce. Il me dous des explications. Entre le voit dormir yaw Bachir hé li lane la yaw louma féke sa valise bi kone yaw ( Bachir toi qu'est ce que cette chose sue j'ai trouvé dans ta valise) tu m'a trompé avec une trainée.
Bachir: yaw Nabou tu es insolente donc tu fuinais dans mes affaires wakaye kouye sételou moye guissse ( tu as cherché tu as trouvé) au passage c'est un string comme tu peux le voir. Et je n'ai pas d'explication à te donner car tu n'es pas ma femme . Cette trainée dont tu parle vaut mille fois mieu que toi car elle ne m'a pas dégouté lorsque je couchais avec elle. Je prends don bras et lui faire sortir de la chambres. J'ai besoin de repos.
Nabou Ndiagne: C'est moi sue tu viens de mettre hors de la chambre tu vas le regretter amérement. Il faut sue je me rends à médina saba chez mon marabout que j'avais délaissé pour le féticheur de Satou. Cette dernière celà fait longtemps que je n'ai pas eu ses nouvelles et se n'est pas un bon signe. Je suis sûr qu'elle prépare quelque chose contre moi. Je reglerai don cas aprés celui de Bachir et de sa trainée qui m'est inconnue.
Voix externe
Si seulement tu savais qui est cette trainée dont tu parle Nabou Ndiagne.
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CHRONIQUE d'AÏSSATOU
Non-FictionIl s'agit d'une jeune fille AÏSSATOU une orpheline de mère vivant avec ses grands parents maternels. Son grand père lui feras vivre le calvaire et obligera á se mari avec son pire ennemi.Ce dernier fera voir toutes les couleurs à la jeune fille...