Des Nuits Sensuelles.

Chapitre 29.

Hope se sentit rougir jusqu'à la racine des cheveux alors que l'homme était ébahi  devant la table dresser. Elle pouvait sentir ses doigts pressés d'avantages son dos. Il la déposa à terre, et releva son visage pour plonger son regard dans le sien.

Elle vit qu'il était en colère et à peine voulut t-elle dire un mot qu'il captura ses lèvres en un baisé fougueux. Elle voulut posé ses mains sur les épaules de l'homme mais il l'en empêcha en lui saisissant les poignets.

_ Désolé... Murmura t-il dans son cou.

Hope frisonna au contact de ses lèvres contre sa peau, elle ignorait pourquoi elle était si sensible à son contact alors que le simple fait d'être près d'un homme avant lui était impossible.

_ Pourquoi ? Lui demanda t-elle alors que les battements de son corps devenait irréguliers.

Il prit son visage en coupe, avant de déclaré :

_ Ne gâchons pas ce magnifique dîner.

Il lui guida jusqu'à la table où il tira sa chaise pour qu'elle s'assoit. Elle le regarda rallumer les chandelles avant qu'il ne prenne place à son tour en face d'elle.

Ricardo était bouleversé, c'était la première fois qu'une femme faisait ainsi un repas pour lui. D'ordinaire c'est lui qui les invitait dans un restaurant chic car les restaurants moderne n'étaient pas selon elle à leur niveau. Hope, elle l'avait surprit plus d'une fois ; malgré son rang social elle faisait peu attention aux apparences.

Assit ainsi au balcon sous le clair de lune, La faible lueur des bougies qui éclairait la table et donnait aux yeux de sa belle un peu plus de charme, il se sentait combler et heureux. Mais une voix au fond de lui, lui criait de faire attention à cette image qui semblait idyllique.

_ Tu comptais gâcher ce dîner ? Lui demanda t-il en plongeant son regard dans le sien.

_ Tu l'as déjà gâché, lui répondit la jeune femme en baissant les yeux.

_ Regarde moi, lui ordonna t-il aussitôt.

Elle leva timidement la tête et il avait l'impression de voir une autre femme. La Hope du bureau était totalement différente de celle qu'il tenait dans ses bras, timide et réserver.

_ Si j'avais su que tu voulais qu'on dîne ensemble j'aurais fait un effort tu en es consciente n'est-ce pas ?

Hope secoua la tête le cœur serré qu'il voit leur relation comme un devoir. Elle espérait qu'il s'implique un peu plus personnellement. Elle n'avait envie de lui forcer à rien.

_ On devrait se dépêcher ça va refroidir, lui fit-elle remarquer pour changer de sujet.

Elle s'empressa d'ouvrir les couverts et il lui saisit le bras avant qu'elle n'ait pu se rassoir. Elle se figea et posa ses yeux sur sa main comme si c'était la première fois qu'il la touchait.

Il l'observa un instant sans rien dire et elle commença à se sentir gêner. Elle baissa les yeux sans pouvoir soutenir son regard plus longtemps.

_ Si tu m'attrape je ne pourrais pas nous servir, murmura t-elle.

_ Laisse moi faire, lui répondit l'homme en lâchant son bras.

Troublé, elle le laissa faire, en peinant à maîtriser les battements de son cœur lorsqu'il s'était mit derrière elle. Elle ferma les yeux alors que volontairement, il se pencha pour versé le vin dans son verre ce qui lui arracha un frisson qui ne passa pas inaperçu aux yeux de l'homme.

_ Tu as froid ?

Elle secoua négativement la tête et se concentra sur son assiette pour échapper au regard captivant de l'homme qui s'était assit à nouveau.

_ Oh non... Dit-elle alors qu'elle prenait conscience de la quantité de son plat.

_ Qu'est-ce qu'il y a ? Lui demanda l'homme en arquant un sourcil.

_ C'est... Enfin, je... C'est trop.

Elle avait indiquée son plat du regard et un sourire naquit sur les lèvres de l'homme.

_ Tu surveille ta ligne ? Lui demanda t-il.

_ Bien sûr que non ! Répondit-elle presque comme une évidence.

_ Il me semble que tu as perdu du poids, fit-il remarqué.

Il la détailla sérieusement, et s'il ne s'agissait pas d'une remarque, La jeune femme aurait certainement rougit comme une pivoine.

Vexé, Hope s'empara d'une aille de poulet et mordit dedans en défiant l'homme du regard. Il hocha la tête satisfait et s'empara d'un mouchoir pour essuyer sa bouche pleine de sauce tomate. Elle bâtit des cils déstabiliser, tendis que l'homme avait continué de mastiquer l'air détendu.

Dans l'ascenseur, Xandra regardait les étages défilés impatiente que le numéro du sien arrive. Contre elle, Luciana somnolait épuisé par le long voyage. L'ascenseur s'ouvrit enfin et elle s'empressa d'en sortir accompagner de l'assistant qui tirait leurs affaires. Elle leva les yeux pour regarder le numéro de la porte devant pour ainsi trouver son chemin mais il n'y en avait pas.

_ Suivez-moi, lui dit l'assistant comme s'il avait lu en elle. 

Il s'engagea dans le couloir et c'est en silence qu'elle le suivit en prenant sa fille dans ses bras.

_ votre chambre c'est bien le numéro deux cent trois non ?

Elle hocha la tête et il lui indiqua la porte. Elle l'ouvrit et ses apaiser qu'elle découvrit une somptueuse chambre blanche, jusqu'au meuble.
Elle déposa Luciana sur l'immense lit à la baldaquin et remercia l'assistant qui s'en allait après avoir décharger ses affaires.

Elle alla rejoindre sa fille épuisé elle aussi par le voyage.

_ Maman où est papa ?

Elle caressa la chevelure soyeuse de sa fille qui luttait contre le sommeil.

_ Tu le verras demain, ma puce. Dors.

Elle lui donna un doux baiser sur la tête avant elle aussi de sombrer dans un profond sommeil.

Luca s'approcha de la réceptionniste qui depuis quelque minutes n'arrêtait pas de lui faire les yeux doux. Mais malheureusement pour elle il ne venait pas pour lui faire la cour mais pour avoir des informations sur la femme qui venait de disparaître dans l'ascenseur avec fillette.

_ Bonsoir...

La voix sensuelle avec laquelle elle avait dit ce mot lui donna un haut le coeur alors qu'elle mastiquait son chewing-gum avec sensualité.

_ Pourrais-je avoir des informations ? Lui demanda t-il s'en même faire attention à sa haute poitrine exposait fièrement.

_ Que voulez-vous savoir ? Lui demanda t-elle.

_ La femme qui vient juste de s'en aller qui est-ce ?

Il la vit se contracter.

_ Désolé mais l'identité des clients est confidentiel monsieur, lui répondit-elle désolé.

Alors qu'il faisait demi tour, elle ajouta :

_ Mais on peut s'arranger si c'est important.

Elle accentua ses mots par un clin d'œil final. Luca lui foudroya du regard et ses écarlate et complètement honteuse qu'il la laissa.