Le Roi Du Désert (Deux Naufragés De L'amour )

Chapitre 15

De retour dans leur résidence, Mohammed et Sahara préparèrent rapidement leurs bagages et pris contact avec un jet privé pour quitter le pays.

_ Ma fille, crois moi. Cette humiliation que le roi et la reine nous ont fait vivre aujourd'hui ne restera pas impunie.

_ Comment faire père ? Ils ont le soutien du peuple et de tous les nobles et les cheikhs.

_ Oui mais j'ai des hommes digne de confiance sous mes ordres.

_ Que comptes-tu faire père ?

Il embrassa sa fille sur sa tempe avant de la rassurer.

_ Rien de vraiment banal. Leur faire juste comprendre qu'on ne s'en prend pas impunément à moi et à ma fille. 

_ Expliques moi veux-tu! S'impatienta cette dernière.

Son père braqua son regard dans le sien avant de lui dire.

_ Pas maintenant mon ange. Dans l'avion. Maintenant allons-y avant qu'ils ne nous reprennent.

Sa fille prit peur.

_ Mais en quittant le pays sans avoir exécuter leurs ordres. Ne serions-nous pas des fugitifs ?

_ Si mais nous avons assez pour vivre ailleurs et au moins là bas même si Jabbar nous retrouve, sa puissance et sa notoriété ne seront pas les mêmes qu'ici. 

_ Où allons nous?

_ En Angleterre. J'ai une deuxième résidence que jai faite construire récemment. Ils ne le savent pas.

_ D'accord .

_ Mais dis moi ma fille. L'aimes tu encore ?

Elle regarda son père puis baissa le regard.

_ Oui. Si tu savais.

Il la prit dans ses bras puis déclara. 

_ Ne t'inquiètes pas. Il sera à toi?

_ Vraiment? Répondit-elle les yeux brillants d'espoir.

_ Oui mon ange. Maintenant allons-y.

Puis ils embarquèrent dans une voiture qui les conduiront à l'aéroport privé afin de quitter le territoire.

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Le lendemain de la réunion, la reine adressa une lettre à Sahara lui faisant part de l'orphelinat Charity où elle irait faire sa punition. Elle précisa à cette dernière qu'elle devra suivre à la lettre le programme ainsi que le planning qu'on lui imposerait et aussi qu'elle devra fournir à la reine un rapport journalier par email des activités qu'elle aura effectuer envers les enfants en lui rappelant de ce présenter là bas le lundi même qui viendra. Jabbar lui prit contact avec la banque pour prendre connaissance de la richesse de l'ancien Cheikh pour lui retirer la moitié de ses biens afin d'en faire don aux œuvres caritatives dont sa femme s'occupe, mais ce dernier eu la surprise d'apprendre que Mohammed avait déjà pris la liberté de retirer une forte somme d'argent pour le cacher au roi. En colère par cet acte, ce dernier pris la décision d'aller le trouver à son domicile mais eut la surprise d'apprendre que ce dernier et sa fille étaient tous les deux partis en voyage à l'étranger la veille au soir.

Il alla prévenir sa femme de la situation et la retrouva étendue sur leur lit.

_ Habibti tout va bien ?

Elle lui souria pour le rassurer.

_ Oui je voulais juste me reposer un peu. As-tu quelque chose à me dire ?

_ Oui. Nos chers amis se sont fait la malle.

Elle fronça les sourcils.

_ Comment ça ?

_ Il s'avère que Mohammed et Sahara sont tous les deux partis hier soir à l'étranger.

Elle fut choquée par la nouvelle.

_ Réellement ? Et que a-t-on faire?

_ Rien pour l'instant. Voyons la suite des choses. Puis pour l'instant j'ai une idée en tête.

_ Et laquelle ? Demanda son épouse soudainement très intéressée.

_ Toi et moi. Quelques gardes et partons à la tente.

Elle se redressa de joie avant d'embrasser son mari.

_ Je suis prête dans 30 minutes!

Puis elle se dirigea vers le dressings et prépara rapidement deux valises pour eux. Il s'amusa de la voir excitée par l'idée.

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Les voici donc partis pour la tente avec une dizaines de gardes qui camperont aux alentours. Une fois arrivée Mirý se précipita dans la tente pour se préparer un bain chaud car elle était fatiguée de la semaine et de ses nausées causées par la grossesse. Pendant que son mari parlait aux gardes, elle se dénuda et plongea dans le grand bassin de marbre blanc offensé dans le sable. Elle s'allongea et ferma les yeux avant de sentir des doigts parcourir les formes de son visage et de sourire.

_ Rejoins-moi tu veux bien? Lui fut-elle sans prendre la peine d'ouvrir ses yeux.

Son mari suite à son invitation retira tous ses vêtements avant de plonger à son tour dans l'eau chaude et de la couvrir de son corps imposant. Elle ouvrit enfin les yeux avant de se perdre dans ceux de son mari. Elle entoura son cou de ses frêles bras avant de poser ses lèvres sur les siennes.
Ils échangèrent un baiser des plus torrides avant de se séparer à bout souffle. Elle pouvait lire dans les yeux de son époux le désir qu'elle lui inspirait et sûrement qu'il pouvait voir la même chose dans les siens. Sans quitter le regard de sa femme, Jabbar la porta hors de l'eau avant de les envelopper dans une grosse serviette et de les sécher pour na déposer délicatement sur les draps et de commencer à couvrir son corps brûlant de baiser. De fil en aiguille, leur étreinte devient de plus en plus passionnante. Jabbar se redressa assez juste pour écarter les jambes de sa femme afin de pouvoir les embrasser jusqu'à son sexe qu'il prit à pleine bouche sous les gémissements approbateurs de cette dernière. Après l'avoir déguster, il se releva et l'embrassa langoureusement avant de la pénétrer d'un seul coup de rein. De là, les bruits de leurs ébats remplirent toute la tente et Jabbar décida de bâillonner sa femme de ses lèvres et de sa main pour éviter que les gardes entendent ses gémissements. Après qu'ils aient monté le Nirvana ensemble, ils s'allongèrent l'un contre l'autre parlons de tout et de rien .

Après quelques minutes de l'agitation se fit entendre dehors suivie de coup de feu. Jabbar se leva précipitamment et s'habilla à la hâte en disant à sa femme d'en faire de même.
Un garde entra en trombe dans la tente :

_ Vos altesse, rejoignez la voiture immédiatement.  Nous sommes attaqués ...