Au-delà du masque

Chapitre n°15 : ❤🔥❤🔥❤🔥❤🔥❤🔥

Elle rompt les derniers centimètres restants et pose un baiser léger sur les lèvres du blond avant de recommencer plus passionnément, elle pose sa deuxième main sur le ventre du jeune homme et les remonte jusqu'au cou qu'elle entoure. La main de Chat Noir glisse de la joue de la brune à son cou, puis à sa clavicule jusqu'à arriver à sa taille. Leurs baisers deviennent rapidement plus intenses, Chat Noir demande l'accès à la bouche de Marinette et elle lui autorise tout de suite, leurs langues se rencontrent, se caressent. La brune resserre sa prise autour du cou du héros, faisant que leurs corps sont collés, ne laissant plus aucun espace entre eux. Elle lui ébouriffe les cheveux, le brasier dans son bas-ventre à elle et au jeune homme, au lieu de s'apaiser, ne font que s'intensifier, ils ont l'impression que le sang dans leurs veines s'est transformé en lave. Leurs bouches se quittent quelques secondes, ayant le besoin urgent de reprendre leur souffle, Chat Noir s'attaque alors au cou de la brune et cette dernière pousse un petit hoquet de surprise avant de lâcher un soupir de plaisir. Elle lui caresse le dos, comme pour en imprimer le relief au millimètre près dans son esprit, il la serre contre lui au niveau de la taille avec ses bras et elle ne peut s'empêcher de noter un renflement au niveau de l'aine, montrant que ses intentions sont appréciées.

« M-Mari... Marinette... Si on continue comme ça... Je... Je risque vraiment d'avoir du mal à me retenir... Tu es sûre de vouloir aller jusqu'au bout... Demande le blond essoufflé.

_ Oui... Et toi... Répond la brune tout aussi essoufflée.

_ Oui j'en ai envie... Mais je... je ne suis pas prêt... Je... Je n'ai pas de... de... protection...

_ Ne t'en fais pas... j'en ai toujours au cas où... J'ai aussi des pilules... pour être sûre qu'il n'y ait pas d'accident... si la protection se perce...

_ Tu penses vraiment à tout... La main de Chat Noir commence alors à glisser sous le haut de la jeune fille.

_ Par... Par contre... montons sur la mezzanine... Nous serons mieux... et c'est là que sont mes protections... Conseille la brune.

_ Tes désirs sont des ordres... »

Ils montent l'escalier, enlevant leurs chaussures au passage, en se prenant la main. Ils s'arrêtent devant le lit et recommencent à s'embrasser. Chat Noir serre Marinette contre lui en l'allongeant doucement et dépose des baisers son cou et sur sa clavicule pendant qu'elle sort une protection d'un tiroir de l'étagère servant de tête de lit. La jeune fille se cambre, s'accroche à son oreiller et retient des petits gémissements. Une main de Chat Noir glisse jusqu'à son genou nu, il jette un regard à Marinette pour avoir son accord, elle lui sourit et il reprend possession de la bouche de la jeune fille. Il remonte sa main sur la cuisse de la demoiselle qui commence à caresser son torse d'une main tout en passant un bras derrière le cou du jeune homme. La main de Chat Noir vient ensuite se poser sur le ventre de la jeune femme et commence lentement à glisser vers le haut, provoquant des frissons chez la jeune fille. Il retire sa main, se met à califourchon et commence à défaire les boutons de son chemisier. Il pose une main sur son épaule et fait glisser le tissu avant d'embrasser tout de suite la partie qu'il vient de découvrir. Il recommence ensuite sur l'autre épaule et après il reprend les lèvres de la jeune fille qui se débarrasse de son haut. Il descend sur le cou, puis les clavicules, la poitrine, sur le ventre, chaque partie maintenant nues, comme pour les marquer et dire que Marinette est à lui et à personne d'autre, cette dernière retenant toujours des gémissements de plaisir et s'accrochant à son oreiller.

« Hum... Princesse... Je suis bloqué... Il y a comme quelque chose... qui m'empêche d'aller plus loin... Déclare Chat Noir à bout de souffle en montrant la jupe de la demoiselle.

_ Et alors... ? Tu as une idée pour résoudre ce problème... ? Elle a les joues en feu et sa respiration est lourde, c'est un spectacle des plus merveilleux pour Chat Noir et ne faisant qu'attiser davantage le brasier dans son bas-ventre.