Sweet But Psycho 2 (WWE Fanfiction)

Chapitre XXXVII

~ Lundi 27 Janvier 2020, Houston, Texas, USA ~

*PDV de Drew McIntyre*

Je m'étais foutu dans une merde pas possible...

Le patron était plus que remonté contre moi et contre Daisy même si celle-ci venait d'être arrêter par les flics.
Je ne savais ni même où elle était et ce qui allait lui arriver.

Pense un peu à toi, c'est toi qui va sans doute te faire virer d'ici quelques secondes.

Mr. McMahon était assit entrain de signer les papiers pour l'incarcération de Daisy avec dédain et rage.
Je ne m'étais même pas assis, sachant que mon heure avait sonné et que je quitterais sans doute les lieux dans peu de temps.

Paul était à côté, tournant en rond alors que les officiels étaient tous là.

-"Je ne peux pas y croire une seconde. Je croyais en vous et tout ce que vous m'avez apporté ce sont des problèmes judiciaires et une tentative de meurtre." Cracha le patron avec colère.

Je ne disais rien.

-"J'ai fais attendre ce public pour que tu sois enfin couronné au moins une fois dans ta carrière mais tu t'es mis dans ce bourbier tout seul ! La vérité est que je savais que je n'aurais jamais dû la laisser avoir cette mallette ! Vous vous êtes bien fichus de moi !" Me cria-t-il avec en prime un regard des plus menaçant.

Je déglutiçais, ne sachant plus où me mettre.

-"Sauf qu'on ne peut pas les virer." Me sauva Paul.

Mr. McMahon regarda son genre et sans  connaître et traître mot de la suite, il le laissa terminer.

-"Vince, vous savez mieux que moi que ses deux là sont des perles mais surtout que personne n'a rien fait pour sauver Daisy du calvaire qu'elle menait chaque jours malgré ses plaintes. Vous dites que la justice s'en est mêlée mais si elle part, elle pourrait faire bien pire."

La patron était entrain de cogiter.

-"À la différence que lui n'avait rien à voir avec..."

-"Bien sûr que si. Je lui ai dis de la surveiller et de faire tout son possible pour garder cette petite en sécurité. Il l'a accueillit chez lui lorsqu'elle n'avait plus de logement car votre protéger nommé Stephen Farrelly lui a volé tout ce qu'elle avait y comprit sa dignité. Vous ne savez absolument rien sur elle et son histoire car tout ce que vous vouliez d'elle était son in-ring. Je ne parle pas de deux superstars mais de deux êtres humains qui se sont battus pour en arriver là. Qui ce sont acharnés nuit et jour au travail mais dont vous ne prêté même pas attention car le business est le business. Alors rendez moi un service et ne virez en aucun cas ses deux là pour les fautes que vous aviez pu commettre dans le passé."

Paul se tourna vers moi, mon regard s'était illuminé. Je ne savais plus si mon destin était sellé mais j'avais encore espoir après ce monologue.
Vince était prit au dépourvu. En effet, il n'avait rien fait pour la sortir de cette relation toxique ou même ! Il n'a rien fait quand elle se retrouvait sans doute avec des bleus sur le corps.

Ce dernier continua de fixer ses documents, voyant un changement à ses propos sans doute.

-"Bon écoutez... Certes je ne vire personne mais tu as voulu l'aider, Andrew. Tu as sa mallette et la tienne. Si tu peux être un réel champion, défends les à Elimination Chamber. Tu seras seul contre tous et tu n'auras pas d'autres choix que de faire avec. Si tu gagnes, les deux mallettes seront saines et sauves mais si tu perds, tu perdras ta mallette et celle de... Daisy."

Il me tendit sa main, je garda la tête haute en sachant que ma carrière reposait sur un match. Je lui seras la main en n'esquisant pas le moindre sourire.
Je sortis ensuite du bureau, me fessant suivre par Paul lui-même.

-"Andrew, il faut que je te parles."

Ses yeux étaient calmes et posés, il ne semblait en aucun cas stressé.

-"Tu dois savoir maintenant qu'Arizona..."

-"Daisy." Réctifiais-je.

-"Oui, Daisy pardon... Est en détention provisoire. Je ne peux pas te dire ce qu'il va se passer ou autre mais je pense surtout avoir un plan. Dans quelques jours, j'ai un rendez-vous avec une ancienne superstar. Quelqu'un qui a beaucoup compté pour elle mais qui ne connait pas tout ça. Vu que j'ai entièrement confiance en toi et que je sais que ce rendez-vous doit rester uniquement professionnel, je compte sur toi pour l'accueillir."

Je resta bouche bée.

-"Vous pouvez compter sur moi."

Il tourna les talons pour repartir dans son bureau, le laissant là à attendre que le reste de ma vie se fasse.
Je venais de passer d'un possible licenciement à une ovation de sa part. Vraiment il y avait des fois où je me demandais ce qu'il n'allait pas dans cette compagnie.