Chapitre 31.

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Une fois au temple, les filles se mettent à la recherche des garçons. Le lieu bondé de monde et il est difficile de s'y répéter. Heureusement pour elles, les cris menaçant de Katsuki viennent de signaler leurs positions. Au moment où elles les aperçoivent enfin, Kyoka et Mina reconnaissent la personne sur le blond est en train de gueuler.

– TAMAKIIIIIIII !!, s'écrient t'elles en se ruant vers lui.

– Non... s'il vous plaît partez... laissez moi tranquille par pitié...

– T'as entendue Kyoka ? Laisse le, il veut rester avec moi !

– Qu'est-ce que tu dis, c'est toi qu'il veut voir partir !

Pour ne pas changer elles s'accrochent fortement aux bras de l'étudiant. Les autres qui ne comprennent rien à ce qui se passe, observe la scène dans la plus grande incompréhension.

– Si ce sont mes bras que vous voulez... je vous les laisse... coupez les mais ne m'approchez plus...

– Vraiement on peut les avoir ?, demande Mina intéressée par son offre.

– J'en prendrai soin comme si c'était une de mes guitares !

– Dans ce cas ça peut s'arranger les filles, haha. Amenez le par ici que je m'en occupe, leurs dit Mirio pointant du doigt une hache poser près d'un tas de bûche.

– Mirio je te hais...

– Mais il va avoir mal non ?, questionne Nejire le plus naturellement du monde.

– Quand cet idiot en aura fini avec les bras, je me chargerai de la tête !, le préviens Katsuki le sourire aux lèvres.

– Oh et moi des jambes !, intervient Denki aussi enthousiasme que son ami.

– Vous allez vraiment pas bien..., soupir Eijiro devant la détresse de son sempai.

Les filles forcent donc l'adolescent à se diriger vers l'endroit indiqué. Celui-ci commence à regretter ses propos et tente de se débattre du mieux qu'il peut, sans succès. Mirio s'empare de l'arme, mais change vite d'idée quand il aperçoit Eri arriver, en compagnie de son père.

– Qu'est-ce que tu fais grand frère ?

– Rien du tout... on discute c'est tout...

– Papa je peux rester avec lui et les autres ?

– S'il n'y avait que ces trois là ça aurait été sans problème. Mais je n'ai pas confiance en la Bakusquad...

– Attendez, attendez !, s'exclame Toru qui ne comprend vraiment rien. Si j'ai bien compris, cette petite est la sœur de ce garçon un peu bizarre, jusque-là tout va bien. Mais ce que je voudrais savoir c'est... DEPUIS QUAND AVEZ-VOUS DES ENFANTS AIZAWA SENSEI !!

– Je n'ai pas d'enfants... et quand je vois votre niveau d'intelligence j'en suis bien heureux.

– Mais elle a pourtant dit que vous étiez son père, affirme Tsuyu.

– Elle vit avec moi et me considère comme tel, tout simplement. Maintenant excusez moi mais je vais partir, je suis pas venu ici pour voir vos tronches...

– Si vous continuez à être aussi méchant vous ne trouverez jamais de femme sensei, le provoque Ochaco.

– Tu peux répéter Uraraka ? Je n'ai pas entendu, dit il d'un regard meurtrier.

– Ah euh bah j'ai dis... que bah vous euh... j'ai dis que... j'ai dis que je vous souhaite d'obtenir une bonne chance qui vous permettra de garder la forme sensei... vous savez les... les Omikuji...

La Bakugo Squad Où les histoires vivent. Découvrez maintenant