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PDV Jungkook

Bordel de merde...

Concentre toi Jungkook

Fait chier....

Putain de bordel de merde, je bande....Fort et dur....Et en plein milieu de mon taff, en pleine opération....

Et tout ça à cause de ce petit con de Jimin, qui à décidé de mettre un pantalon putain de serré aujourd'hui. Encore ce ne serait que ça, ça passerait, mais vous connaissez la maladresse légendaire de Jimin nan ? 

Et bien monsieur, en voulant m'aider en préparant le plateau des matériaux chirurgicaux, s'est cassé la gueule juste devant le bloc, renversant une poche de sang sur lui. Ce ne serait que ça, ça passe encore, c'est juste une chute, qui m'a fait rire sur le moment vu que monsieur était devenu tout rouge. 

Mais lorsqu'il s'est relevé pour enlever sa blouse couverte de sang, pour ensuite se mettre à ramasser en s'accroupissant les ustensiles tombés au sol, j'ai tout de suite blêmis en voyant son joli gros boule mis en avant juste sous mes yeux. Et bordel, en voyant cette putain de grosse pêche, bien ferme et ronde à porter de main, j'ai pas pu m'empêcher de bander, et me voilà maintenant devant un patient dans les vapes à cause de l'anesthésiant, tout en essayant de me concentrer sur mon taff et non pas sur le cul de mon mec, que je rêverai de culbuter. 

Je vais le niquer ce petit con

En parlant de se sale nain aguicheur, il venait tout juste de rentrer dans le bloc, accompagné d'une nouvelle blouse, qui cachait de nouveau son joli fessier. 

Ouf déjà ça m'empêchera de mâter. 

Jm : Me revoilà, j'ai réussi à trouver une autre blouse le temps que l'autre se lave, je viens de la déposer à l'accueil, Marie m'a dit qu'elle s'occuperait de ma blouse et qu'elle serait comme neuf pour ce soir. Me souris-t-il tout heureux

Moi : T'es vraiment un boulet quand même, il va falloir que t'apprennes à marcher sans tomber un jour, soufflais-je un sourire caché derrière mon masque, alors que j'ouvrais le thorax du patient le plus calmement possible, essayant d'oublier la douleur de mon entre jambe.

Jm : C'est pas de ma faute, je ne voyais pas où j'avançais à cause du plateau dans les mains. Baragouine t-il une petite moue boudeuse aux lèvres. Tu as trouvé d'autres instruments du coup ? 

Moi: Ouais, j'ai ce qu'il me faut. Tu voudras recoudre ? Lui demandais-je en tournant mon regard vers lui, qui ouvrait les yeux en grand surpris de ce que je venais de lui demandais.

Jm : Vraiment ? Tu me laisserai faire ? Sérieusement ? S'exclame t-il des étoiles plein les yeux, ce qui me fis sourire attendris 

Moi: Bien sûr tu as fait des progrès considérables ces derniers temps, je pense que l'on peut retenter l'expérience, et si tu y arrives maintenant tu opéreras avec moi, tu en penses quoi ? 

Jm : OH MON DIEUUUU OUIIIII JE SUIS TROP CONTENT, hurle t-il en sautillant sur lui même, les yeux se fermant en demi lune, signe qu'il souriait derrière son masque. 

Je me retournais de nouveau vers mon patient pour m'occuper de lui ce qui dura une bonne heure et demi le temps de trouver la tumeur pour la retirer sans toucher d'organes, ce qui m'avais permis par la même occasion de ne plus avoir d'érection dans mon caleçon. 

Moi : Tiens, va s'y met toi à ma place béb...

Jm : Chuuuut, m'appelle pas comme ça au travail, les relations sont censés être interdites souffle t-il en posant sa main sur ma bouche, les yeux ouverts en grands

Moi : Et alors ? Qui veux tu qu'on nous entende ? A part nous deux et le patient inconscient il n'y a personne « bébé », soufflais-je en haussant des sourcils un sourire en coin, en appuyant bien sur le dernier mot. 

Jm : An....Andouille, baragouine t-il en me poussant pour s'installer en face du patient

Je suis sur qu'il rougit derrière son masque. Trop mignon, et dire que c'est mon mec. Bordel je l'aime 

Jm : Et puis quelqu'un d'inconscient peut nous entendre, imagine qu'il répète tout au directeur 

Moi: C'est mon oncle le dirlo, il ne me virera pas, même si je couchais avec tout le personnel baragouinais-je dans mon masque en me lavant mes mains gantés couvertes de sang

Il y eu un petit blanc, qui me fis retourner vers Jimin, et je le vis les sourcils froncés

Jm : Parce que tu comptes coucher avec tout le personnel ? 

Rooh merde la connerie que j'ai pas été dire 

Moi : Non bébé c'est pas ce que je voulais d...

Jm : Ouais bah tu l'as dit quand même, si t'en a marre de m'attendre, t'as qu'à aller voir ailleurs. Souffle t-il la voix un peu plus grave que d'habitude signe qu'il était vexé de ce que je venais de dire 

Putain je suis trop con. En plus je sais qu'il a du mal avec ça, on en a parlé ce week-end chez mes parents, lorsque j'ai failli aller plus loin que des bisous dans le lit.

J'avoue que j'avais un peu picolé ce jour là, et qu'en voyant mon mec en caleçon à mes côtés ça ne m'a pas trop aidé à retenir mes hormones. J'ai failli lui retirer son caleçon, mais il a paniqué en m'expliquant qu'il n'était pas encore prêt à passer à l'acte. Qu'il voulait attendre encore un peu avant de se lancer. Il s'est excusé je ne sais combien de fois, culpabilisant pour moi et je lui ai dit que je l'attendrai. Mais c'est sûr que si je lui sors des trucs comme je viens de dire, il va se renfermer encore plus et ce n'est pas demain la veille qu'on baisera. Il faut que je sois patient, que j'arrive à contrôler ma putain de kekette qui fait que de se lever en le voyant, jusqu'à ce qu'il se sente prêt. En tout cas, jamais je n'irais voir ailleurs, je ne suis pas comme ça. J'aime Jimin, et il n'y a que lui qui m'intéresse. Les autres sont des merdes, trop moches et trop nuls à côté de mon mec. 

Je le regardais recoudre le thorax du patient sans trembler, alors qu'il avait les yeux fixés, concentré sur ce qu'il faisait. Et je ne pu m'empêcher un sourire de prendre place sur mon faciès, étant vraiment fier de lui. 

J'entendis une grosse demi heure, qu'il finisse, et une fois fait, je n'attendis pas plus longtemps pour l'attraper et le serrer dans mes bras, son dos contre mon torse, le faisant sursauter.

Jm : Qu'est-ce-que tu fais ? Lâche moi on est au boulot je te signal. Grogne t-il me faisant sourire encore plus. 

Moi : Je t'aime bébé. 

Jm : J...je sais, lâche moi maintenant, on en a pas finit avec le patient, il faut le panser maintenant

Moi: Jamais je n'irais voir ailleurs, tu es mille fois...ou plutôt un milliard de fois mieux que les autres, il n'y a qu'avec toi que je veux faire l'amour bébé. Et tu peux me croire, j'ai bandé dur et fort en voyant ton cul juste avant l'opération. J'ai opéré le patient avec une putain d'érection dans le calbute par ta faute, tu peux demander au patient je suis sur qu'il m'a entendu grogner quand tu est parti te chercher une nouvelle blouse. Soufflais-je dans son oreille, tout en baissant mon masque pour poser mes lèvres sur sa nuque à découvert, le faisant frissonner. 

Jm : J....Je YYYYAAAAH DIT PASDES TRUCS PERVERS DEVANT UN PATIENT, t'es pas possible, sérieusement je te laisse quoi ? 5 minutes seul et voilà que tu t'amuses à....à.....AAAAAIIIISSH TROP GENANT. J....Je te laisse finir avec le patient sale pervers. Grogne-t-il tout rouge en courant vers la sorti du bloc. Mais avant de partir, je vis sa petite bouille rouge passer dans le pas de la porte, alors qu'il murmura un « Et moi aussi je t'aime » avant de disparaître de nouveau de l'autre côté de la porte. 

Je rigolais tout seul tout en me tournant vers mon patient pour regarder le travail de Jimin, et fus vraiment heureux de voir à quel point son travail était propre et appliqué. Je le pansais donc rapidement, toujours le sourire aux lèvres, ayant déjà hâte de revoir mon bébé. 

Moi : Et toi pas un mot au dirlo, sinon, je rouvre ton thorax pour y remettre ta tumeur. 

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Excusez moi pour ce court chapitre, promis le prochain sera plus long

Irrésistible connard Jikook (Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant