Prologue : Il y a un début à toutes histoires

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Heyyy ! Alors voilà je poste enfin une histoire que j'avais en tête depuis pas mal de temps. Elle parle comme vous vous en doutez des Maraudeurs ( oui oui, encore une ) et se passera pendant leur sixième et septième année à l'exception du prologue qui lui se déroule au tout début de leur première année. C'est un gros projet pour lequel j'ai parfois des gros manques de motivations mais que j'ai la ferme intention de finir un jour parce qu'elle me tient à cœur.    J'espère qu'elle vous plaira  autant que j'ai aimé l'écrire et si ce n'est pas le cas  n'hésitez pas à m'expliquer pourquoi. Bonne Lecture !

Merci à tous en tout cas d'avoir cliqué sur cette histoire, c'est déjà un début  !


PS : Ce prologue à été écrit après la fin de cette histoire, je viens seulement de le rajouter. Pour ceux qui viennent d'arriver ici, ça ne change strictement rien mais pour ceux qui ont déjà lu mon histoire et bien... Pas de spoil en commentaire ;) et attendez vous à quelques changements parce que je suis en pleine réécriture pour rendre tout ça plus clair, justement pour les nouveaux et je me concentre sur ça puisque j'ai un manque d'inspiration énorme pour le tome 2. ( d'ailleurs ne vous en faîtes pas, je ne sais pas quand arrivera la suite mais elle arrivera ).








Prologue : Il y a un début à toutes histoires.








7 Green Tree Street, Carbonnes Les Mines









- Lily dépêches toi ! On va être en retard !



- J'arrive ! Répondit d'une voix paniquée la dénommée Lily, onze ans, affairée dans les dernières préparations de sa valise.


Elle n'arrivait pas à croire qu'à onze ans seulement, elle quittait sa famille pour passer la totalité d'une année scolaire loin d'eux. C'était beaucoup trop tôt. Pourtant elle avait hâte d'être dans son école. Severus lui avait assuré que là bas, tous les élèves lui ressemblait. Qu'elle ne serait pas la seule personne capable de faire pousser une fleur dans sa petite main par exemple. Severus lui avait raconté des tas de choses plus incroyables les unes que les autres sur sa future école et elle ne le croyait qu'à moitié. Même si son ami manquait d'imagination et qu'il n'aurait pas été capable d'inventer ce qu'il lui avait dit, une école comme il la décrivait ne pouvait pas exister. Si ?


- Allez Lily ! Insista sa mère un soupçon d'impatience dans la voix.


La petite fille sortit de ses pensées et se redressa, se cognant au passage le coude dans sa table de chevet, puis elle dévala les escaliers en traînant derrière elle de son mieux une grande valise rouge.

En bas, sa mère l'attendait, le visage empli de fierté de douceur et d'angoisse. Elle lui fit un sourire en la voyant et murmura :


- Oh Lily, je suis tellement fière de toi...


Sa mère avait du répéter cette phrase une dizaine de fois déjà depuis que le professeur Dumbledore en personne était venu leur révéler l'existence de Poudlard. C'était tellement surréaliste pour eux d'avoir une fille dotée de telles capacités qu'ils ne pouvaient s'empêcher d'en être extrêmement fiers.


- Ton père et Tunie sont déjà dans la voiture ! Allons y !


Et elle entraîna une Lily qui sentait son nœud dans la poitrine se resserrer à sa suite.


Pétunia ne lui adressa pas un seul mot de tout le trajet et elle eut donc tout le loisir d'observer par la fenêtre les paysages qui s'étendaient. La gare de King Cross n'était pas tout prêt, et le trajet durait un bout de temps. Elle songea avec impatience qu'elle retrouverait sûrement Severus dans le train et espéra très fort qu'elle parviendrait à se faire d'autres amies. Tout allait être nouveau pour elle et elle appréhendait énormément que ce ne soit au final qu'une simple erreur et qu'elle n'ait pas sa place dans cet école magique. Elle appréhendait également que Severus lui ait menti et que cette école soit une sorte d'asile de fou ou les gens s'amuseraient à la pendre par les pieds et à la taper dans des cachots sales pour lui faire apprendre ses cours. Maudissant son imagination trop débordantes, la jeune fille se reconcentra sur ce qui comptait le plus pour elle : bien travailler. Avoir de bonnes notes pour montrer à ses parents et à Tunie qu'elle s'épanouissait très bien même dans un univers différent de leur. Elle était angoissée mais trépignait presque d'impatience.








Les Maraudeurs I : Pour Ceux Qui ViventOù les histoires vivent. Découvrez maintenant