CHAPITRE VIII.

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CHAPITRE 8 :

ANASTASIA

En me préparant pour ma sortie accompagné de Sarah, nous avons décidé d'aller au restaurant d'un coup de tête, cela faisait bien longtemps que nous n'avions plus fait de sortie toutes les deux.

Nous avons donc sorties nos plus belles robes, et étant des filles coquette nous nous sommes pomponnés sans trop en faire, ayant plutôt une main légère que lourde sur le maquillage.

- Toi, tu vas faire tourner des têtes, ça je te le dis ! Me confie t'elle

Je pouffe légèrement de rire en secouant ma tête de gauche à droite, doutant de ses dires.

- Mouais, j'en suis pas si sûre. Avouais-je

- T'inquiètes pas, moi je sais qui vas se retourner.

- Ah ouais ? Vas-y dis-moi qui, que l'on rigole un peu. Dis-je le sourire aux lèvres prête à exploser de rire

Mais le prénom qu'elle sortit me fît bloquer et rougir, je lui tourne donc le dos pour ne pas qu'elle ne le remarque avant de finir d'étaler mon gloss transparent sur mes lèvres.

- Tarik ? Mais tu n'es pas sérieuse ? Je ne sais pas qui t'as mis ça en tête mais c'est complétement absurde. Il doit avoir de plus belles femmes qui lui court après qu'une vulgaire prof' d'espagnol qui ne sait même pas aligner deux mots dans une phrase quand il est face à elle.

- Déjà arrête de te rabaisser a tout vas, bordel Ana', t'es une belle femme, alors arrête sinon tu vas te retrouver avec la marque de ma main sur ta si jolie face. Et doonc, si je résume tous ça, t'aimes bien notre cadet des Andrieu ? Essaye t'elle de me rassurer

- non ? Tentai-je

- Anastasia. Dit-elle plus durement

- Oui ? Osai-je dire comme un enfant prêt à se faire gronder par sa mère

- Ne joue pas au innocente avec moi. M'annonce t'elle

- Il se peut que qu'il me plaise ? Un peu. Dis-je en mimant un écart minime a l'aide mes doigts

Elle me lance un regard désapprobateur, voyant que je ne disais pas toute la vérité.

- Beaucoup.

Elle rigole avant de m'enlacer dans ses bras.

(...)

Nos talons claques sur le carrelage des escaliers, faisant relèverai tourner les têtes vers nous, ce qui me fait rougir légèrement. Habillé simplement d'une longue chemise a rayures noires, marrons et rouges, en guise de robe assortie à des cuissardes marron en daim, et d'une veste noire basique, je remets ma sacoche qui tomber légèrement de mon épaule avant de descendre les dernières marches.

- Pépépé, qu'elles beautés en sah. Nous dîmes Lucas, en fixant Sarah, le faisant comprendre qu'il ne parlait pas vraiment de moi

- Vous allez où comme ça ? Nous demande Nabil

C'est qu'à ce moment là que je remarque que deux jeunes femmes étaient au côtés des garçons.

| 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞́ | - [ ADEMO ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant