CHAPITRE LXVIII.

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CHAPITRE 68 :

TARIK

J'allume ma niaks encore sur les nerfs depuis plusieurs jours, depuis le fameux soir où Anastasia m'avait annoncé sa fausse grossesse. Et depuis j'arrivais pas à la regarde dans les yeux sans lui en vouloir, même si c'était pas voulu, elle avait perdue notre enfant, mon enfant. S'il a déjà existé un jour. Mais aussi le fait qu'elle me l'ai caché et qu'elle ai fait le test sans moi. Elle aurait dû m'en parler.
Je l'ai en travers la gorge de son comportement de salope qu'elle a eu.

En claquant la porte, je retire mes baskets avant de la chercher, lorsque je pousse la porte de la salle de bain. Un flux sanguin descend au même endroit lorsque je la vois en train de se coiffer les cheveux mouillés en sous vêtements.

Je me colle contre son dos avant de passer ses cheveux sur son épaule gauche, j'embrasse son cou en l'aspirant légèrement.

- Tarik ? Mais qu'est-ce que tu fais ? Demande-t-elle allaitante

Je ne lui réponds pas, collant mon éjection contre ses fesses. Elle agrippe le rebord de l'évier en se cambrant légèrement. Je la retourne avant d'attraper légèrement sa gorge pour l'embrasser. Je la sors de la salle de bain pour l'emmener dans sa chambre.

Lorsqu'elle fut allongée contre le lit, je ne perds pas de temps pour me déshabiller restant juste en caleçon à genoux devant elle. Lorsque je passe mes doigts contre l'une de ses hanches, je retire son string de deux doigts, le balançant dans la chambre.

Ne pouvant attendre plus longtemps, passant l'étape des préliminaires, je l'attrape par les hanches avant de la retourner pour qu'elle soit à quatre pattes. Je prends juste la peine d'abaisser légèrement le seul tissu qui me reste avant de la pénétrer brutalement, lui arrachant un gémissement de surprise.

- Putain... Grognais-je en laissant ma tête basculer en arrière

Ne me souciant que de cracher rapidement, j'accélère mes coups de butoir, laissant entendre notre peau qui s'entrechoquent entre elle.

- Tarik, vas plus doucement s'il te plaît... Couine t'elle en se redressant

Je lui incite à se mettre sur le dos, entourant mes hanches de ses jambes, je n'attends pas plus longtemps avant de recommencer mes coups de reins moins rapidement pour ne pas lui faire mal.

Alors que je sentait le point de non retour arrivé précipitamment, je me retire en crachant sur son ventre. La laissant haletante, essayant de se remettre de son orgasme, je me relève en reprenant ma respiration, remontant mon caleçon avant de m'asseoir sur le bord de lit. Je me relève avant d'attraper mon jogging et mon haut avant de les enfiler.

- Qu'est-ce que tu fais ? Tu pars ? Demande-t-elle en se relevant sur le lit, se cachant avec la couverture de son lit

- Fais pas zehma, j't'ai déjà vue à poil. Et ouais, j'dois aller au stud' là. On s'capte plus tard.

- Quoi ? Mais Tarik on s'est pas vue depuis trois jours. Et toi tu reviens juste tiré ton coup ? T'as cru que j'étais ta pute ou quoi ? S'écrie-t-elle en se levant du lit

- Bah tu sers à quoi sinon ? Et bah t'as qu'à venir si tu veux m'voir. Fait pas ta miskine s'te plaît.

- Mais t'es sérieux ? T'es vraiment sérieux dans ce que tu dis ?

- Bref, j'me casse. Dis-je en fermant la porte de sa chambre

Je remets mes chaussures avant de claquer sa porte d'entrée. Je dévale les escaliers pour m'engouffrer dans ma voiture, démarrant jusqu'au studio.

- Salem. Lançais-je avant de m'asseoir

- Encore ? Eh, mais tu t'arrêtes pas toi en ce moment. Me dit Moha en le saluant

- Faut bien charbonner. Répondais-je brièvement avant d'attraper mon téléphone pour gratter des idées de texte

- Ouais, mais là, c'est abusé frère. T'es la h24 en train de gratter. Laisse-toi le temps de respirer aussi frérot.

- J'ai pas besoin de me laisser de l'aise. Faut charbonner gros, tu veux l'payer comment le loyer hein ? Dis-je avant de partir dans la cabine d'enregistrement

| 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞́ | - [ ADEMO ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant