| 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞́ | - [ ADEMO ]

CHAPITRE XLX.

CHAPITRE 45 :

TARIK

Assis aux côtés d'Anastasia, je la regarde trifouiller son assiette sans rien dire, la tête poser contre son poing.

- Qu'est-ce t'as ? Dis-je en prenant une bouchée

- Oh... Trois fois rien. Me répond-elle en souriant légèrement

- Ana'. Dis-je plus durement

- C'est juste que... ton père me déteste Tarik, et je sais à quel point c'est important que tes parents apprécie la personne avec qui tu partages ta vie !

- C'est rien Ana', te montes pas la tête pour ça, sah, ça sert à rien d't'inquiéter comme ça.

- Mmh. Dit-elle en relevant les yeux vers moi

Je souffle avant de me lever et de mettre devant elle, j'attrape sa mâchoire entre mes doigts pour relever légèrement sa tête, en levant les yeux vers moi, elle passe sa langue doucement ses lèvres, laissant une légère brillance sur ses lèvres. Bordel, nan.

- Tarik. Gémit-elle ses lèvres sur les miennes

Je la lève rapidement avant d'attraper l'arrière de ses cuisses pour la plaquer contre le plan de travail plus loin dans la pièce. Mes mains remonte sur ses cuisses nues, avant de les serrer lorsqu'elle gémit contre mon oreille alors que j'ai les lèvres contre son cou.

- Maintenant on va finir ce qu'on a commencé. Dis-je en grognant contre sa peau

Elle s'écarte de moi brusquement avant d'attraper de ses deux mains le bord de mon t-shirt et de me le retirer.
Elle passe doucement ses mains contre mes abdos' avant de se morde la lèvre inférieure.

- Arrête ça tout de suite avant que je te prenne sur place. Dis-je d'une voix rauque brouiller par le plaisir

Sans lâcher sa lèvre d'entre ses dents, elle approche son visage vers le mien avant de déposer un baiser furtif sur les lèvres, puis de prendre cette fois-ci ma lèvre entre ses dents. J'attrape sa mâchoire avant de coller nos lèvres brutalement.
Elle écarte un peu plus les jambes, me permettant de me rapprocher d'elle encore plus, même jusqu'à pouvoir coller mon érection contre sa cuisse.

Je retire précipitamment le haut qu'elle porte, la laissant juste en string devant moi. J'embrasse son cou avant de remonter l'une de mes mains le long de sa cuisse, jouant avec la dentelle de son sous-vêtement. En glissant deux doigts sous le tissu, je le retire brusquement à tel point que le tissu cède contre mes doigts.

J'embrasse ses lèvres pour descendre de plus en plus bas, jusqu'à atteindre son bas ventre.

- Tarik... Souffle-t-elle la tête en arrière, lèvre entre les dents

J'écarte ses cuisses en les maintenant ouvertes, avant de donner mon premier coup de langue, la faisant resserrer ses cuisses, tout en gémissant. J'ajoute rapidement deux doigts en elle avant de faire des vas-et-viens affreusement lent, puis au fur et à mesure que la vitesse de mes coups de langue s'intensifient, Ana' passe une main dans mes cheveux se retenant de ne pas gémir, me plaquant un peu plus contre elle. Mais je m'écarte soudainement lorsqu'elle allait atteindre le point de non-retour.

- Tarik, non, continue. Dit-elle à moitié allongé sur le plan de travail

Je rigole légèrement avant de défaire la boucle de ma ceinture tout en continuant d'activer mes doigts contre son clito' et de descendre mon jean et mon boxeur jusqu'à mes chevilles.

En l'embrassant une dernière fois, j'écarte une nouvelle fois ses cuisses avant de me mettre devant elle, le chibre fièrement dresser.

- Attends Bé, j'ai pas de capotes. Dis-je alors que j'allais entrer en elle

- C'est rien querido, continue. Dit-elle en frottant son bassin contre mon membre

Je grogne légèrement en la regardant dans les yeux avant de la pénétrer brusquement
Son dos s'arque avant qu'elle agrippe les rebords de plan de travail entre ses doigts, se mouvant contre moi. J'accélère mes coups de reins tout en tripotant ses seins qui rebondissent à chacun de mes coups. Le dos cambrer contre le bois, Ana' pousse des gémissements de plus en plus fort, se serrant autour de moi.

- J'vais v'nir Bé'. Dis-je d'une voix rauque brouiller par le désir que me bouffe

- Tarik ! S'écrie-t-elle en jouissant

Je me déverse en elle après quelques brutaux coups de reins, restant en elle le temps de reprendre notre souffle.
J'embrasse doucement ses lèvres avant de remonter mon froc et de lui donner mon haut qu'elle enfile les joues rouges.