CHAPITRE XXXVI.

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CHAPITRE 36 :

TARIK
PARTIE DEUX :

La soirée se passer bien dans l'ensemble, mes gars et ma meuf rigole bien ensemble, une bonne ambiance s'était direct installé, mais quand la tête d'Anastasia heurta mon épaule, je me tournai vers elle, en voyant ses sourcils froncés je fronce automatiquement les miens.

- Ça va pas ? Demandais-je

- J'ai mal à la tête. Me répond t'elle d'une voix qui ne me passerai pas du tout malade

- Tu veux que j'te donne un doliprane ? Lui proposais-je gentiment

- Non c'est bon... Mais par contre tu peux m'emmener dans la salle de bain ? Je ne sais pas du tout où c'est.

Je hoche la tête et nous nous éclipsons sans même que quelqu'un ne le remarque et une fois devant la pièce, j'ouvre la porte, elle entre donc dedans en m'entraînent avec elle. Et sans comprendre quoique ce soit, elle ferme la porte à clé, m'embrassant à pleine bouche, mes mains tombe jusqu'à ses fesses tandis que les siennes descendent jusqu'à la boucle de ma ceinture, me faisant comprendre où elle voulait en venir.

- Bé' arrête, c'pas toi qui voulais rien faire parce qu'il y avait du monde à côté ? Demandai-je faussement

Mais elle ne me répond pas, défaisant la boucle de ma ceinture tout en continuant de m'embrasser, elle descend rapidement mon pantalon avant de s'abaisser à son tour pour tomber sur ses genoux, faisant remonter sa robe qui est beaucoup trop courte jusqu'en bas de son dos, me faisant voir son string blanc.

En faite j'avais pas réellement bien compris ses intentions.

D'un coup, je me sens serrer dans mon caleçon, en comprennent peut-être ce qu'elle voulait faire, elle ne se fait pas désirer pour abaisser mon caleçon, lui aussi restant à son tour à mes chevilles.

Elle prit mon membre redressait avant de faire de lent vas et viens, passant quelques fois sur mon gland, et sans même pouvoir faire quelque chose, elle prit en bouche mon membre déjà bien dresser, en réprimant un grognement, j'attrape sa mâchoire, ne voulant pas qu'elle se force pour quoique ce soit.

- Si tu ne veux pas te force pas Bé'.

Je me maudis d'avoir sorti cette phrase à la minute où je ne sentait plus ses lèvres autour de moi, mais je préfère qu'elle ne fasse rien qu'elle ne veut pas. Mais mon souffle se coupe en sentant sa langue lécher toute ma longueur. Elle enchaîne directement de lents vas et viens sur mon membre trouvant sûrement sa vitesse et ses repaires, mais en la sentant aller de plus en plus vite, j'attrape ses cheveux dans une queue de cheval, me retenant de ne pas mettre de coup de rein en plus.

Elle se retire en toussant légèrement, l'ayant sûrement pris trop profond, mais quand elle alla de plus en plus loin, j'ose la regarder dans les yeux, ce qui m'achève directement, ne pouvant me retenir de mettre quelques coups de rein, lâchant de plus en plus de grognements incontrôlés.

- Oh putain Bé'. Dis-je en faisant tomber ma tête en arrière quand elle me prit au plus profond dans sa gorge

Tout ce qu'elle ne pouvait pas prendre en bouche, elle le prit en main, me branlant d'une main et me caressant les couilles d'une autre.

Puis d'un coup, elle alla beaucoup plus vite que précédemment, gémissant elle aussi, me faisant durcir encore un peu plus entre ses lippes.

- Bordel Bé' j'vais v'nir. Grognais-je d'une voix rauque, brouillée par le plaisir

Je m'attendais à ce qu'elle se retire, mais non, elle alla une fois de plus, de plus en plus vite et de plus en plus loin, me faisant cracher au fond de sa gorge. Elle se retire en se remettant debout, crachant tout dans l'évier avant de se rincer la bouche.

Tandis que moi, je remonte mon caleçon et mon pantalon, toujours sur mon nuage, m'approchant d'elle en me collant à son dos pour lui embrasser l'épaule et le cou.

- Un jour, tu vas m'achever, Wallah que s'est vrai. Dis-je en la retournant

Ses joues sont rougies et ses lèvres gonflées après ce qu'elles viennent de faire, je m'approche d'elle avant de l'embrasser une nouvelle fois.

Elle était pas si malade que ça au final.

- C'était pas nul ? Me demande-t-elle d'une petite voix

- Mais tu dehek ? C'était l'unes des meilleures pipes d'ma vie Bé', là, t'es numéro uno bordel.

Elle baisse la tête en rougissant, avant d'embrasser rapidement mes lèvres, déverrouillant la porte, prête à partir, je rigole avant de la rattraper par les hanches.

- Tu veux aller où les ssef' a l'air toi ? Dis-je en lui abaissant sa robe qui était encore au-dessus de ses fesses, lui mettant une claque au passage

Elle se retourne vers moi en posant sa main sur sa bouche, en étant complètement rouge écarlate, puis rejoins vite les garçons dans le salon. Je la suis de près, m'asseyant à côté d'Ana' et de Mess.

- Ana' ça va mieux ta tête ? Lui demande Lucas après avoir interrompu sa conversation avec Pénika

- Oh O...Oui, oui, j'ai... Hum, avalais un doliprane. Bredouille-t-elle les joues rouges, en lui souriant ne voulant pas être démasquer

C'est ma bite que t'as avalais ouais.

| 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞́ | - [ ADEMO ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant