CHAPITRE LII.

2.4K 96 6
                                    

CHAPITRE 52 :

ANASTASIA
PARTIE DEUX :

Toujours coller contre l'évier dans la salle de bain, j'étais plongé dans les bras de Tarik. Même ce qu'il m'a fait n'est pas sympa, il m'a terriblement manquer.

- Redis-le-moi. Dit-il simplement

- De quoi ? Dis-je en feignant de ne pas comprendre

- Fais pas genre, t'sais de quoi je parle.

- Non ! Dis-je beaucoup trop précipitamment

Je ferme les yeux en retenant mon souffle lorsque ses lèvres rencontrent la peau fine et sensible de mon cou. Je roule des yeux en penchant la tête en arrière pour lui donner un accès dégager à mon cou.

- Dis-le. Dit-il en aspirant légèrement ma peau

- Tarik. Soufflais-je lorsqu'il mord gentiment la marque qu'il vient de faire

- Aller, dis-le. Vamos.

- Tarik, ça veux rien dire ce que t'as dit. Dis-je en rigolant légèrement

Il souffle en déposant un baisé furtif sur mes lèvres. Puis, il encadre mon visage de ses deux mains.

- J'm'en pète une couille, dis-le ta race.

- Non. Répondais-je simplement

Il hausse un sourcil avant de sourire malicieusement. Je ferme les yeux lorsque je sens son souffle chaud contre mon cou, puis lorsqu'il dépose des baisers mouiller contre la peau de mon cou. J'attrape son haut d'une main ferme avant de laisser tomber ma tête en arrière.

- C'est fou l'effet que j'te fais.

Il mord doucement ma peau avant d'attraper d'une poigne de main la base de mes cheveux avant qu'il ne m'embrasse vigoureusement.

- T'as quoi ce soir ? Dis-je malicieusement avant de poser mes mains froides sous son haut

Son regard se rembrunit directement avant qu'il ne me plaque doucement grâce à son bassin contre la machine à laver. Je remonte mes mains un peu plus haut avant de retracer les courbes de ses abdominaux avec mes doigts. Il me regarde faire dans les yeux sans rien dire, ayant un sourire satisfait au coin des lèvres.

- Dis-le. Dit-il plus férocement

Je rigole légèrement avant de descendre complètement mes mains jusqu'à la base de l'élastique de son jogging, laissant poser mes mains "innocemment".

- Te amo Tarik. Dis-je d'une voix mielleuse accentuant mon accent

Il sourit avant de se jeter littéralement contre mes lèvres, faisant claquer ses dents contre les miennes lorsqu'il fait passer sa langue. Je gémis aussitôt que ses mains se balade sur mon corps. Lorsque je joue diaboliquement avec la corde de son jogging jusqu'à la défaire, il quitte mes lèvres beaucoup trop précipitamment me faisant gémir de plainte.

Il me soulève grossièrement par les cuisses avant de me poser sur la machine à laver, retirant d'une incroyable lenteur mon haut, lui faisant découvrir une lingerie atrocement sexy, il sourit avant de plonger sa tête à la naissance de mes seins, caressant du bout des doigts ma cuisse recouverte d'un tissu fin. Je souffle d'aise en faisant tomber ma tête en arrière, priant pour que personne ne nous interrompe ou ne nous attrape.

De moi-même, je décide de faire tomber mon pantalon le trouvant beaucoup trop long à mon goût, il se recule légèrement avant de me regarder de haut en bas. Il abaisse son jogging d'un simple coup de main, le faisant tomber à ses chevilles, je caresse avec la naissance de mes doigts la naissante érection qui se distingue sans réel problème.
Je pose mes deux mains contre ses épaules, l'attirant vers moi avant de me jeter sur ses lèvres, je frotte doucement mon bassin habillé d'un simple string au sien.
J'avale son gémissement avant qu'il ne se décide à remonter ses mains sur mes cuisses, me caressant doucement à travers la dentelle.

Mon souffle se coupe lorsqu'il entre deux doigts en moi, me faisant remuer le bassin contre ses doigts.

- Tarik... Gémissais-je en le regardant dans les yeux

Ma vue se brouille à l'allure de ses mouvements, je me mords la lèvre pour ne laisser aucun gémissement passer la barrière de mes lèvres.

Je passe ma main dans son caleçon, caressant doucement sa verge tendus, il soupire avant de sortir ses doigts pour retirer complètement ma culotte. Je passe délicatement mes doigts contre son gland, le faisant complètement perdre pied.

Il attrape l'arrière de mes cuisses avant de les écarter pour me pénétrer d'un coup, je pose ma main sur ma bouche après un hoquet de surprise. Lorsque je noue mes jambes autour de son bassin accueillant des coups de reins beaucoup plus profond, je ferme les yeux lorsque ses coups de bassin brutaux se font beaucoup plus rapide.

- Tarik ! Dis-je dans un gémissement plutôt bruyant

- Bé', moins fort. Ils sont tous à côté. Dit-il en passant son pouce conte mes lèvres

Il s'arrête lorsque je me ressers contre lui, prise de légers spasmes, il se retire complètement de moi, me faisant froncer les sourcils d'incompréhension. Il me fait descendre de la machine à laver, faisant claquer mes talons contre le sol. Il me tourne avant de me plaquer le torse contre la machine, faisant ressortir mes fesses en arrière.

- Cambre bien Bé'. Dit-il en passant ses mains sur mes fesses

Je fais ce qu'il me dit, cambrant le plus possible, il entre délicatement en moi, me laissant le temps de m'habituer à une nouvelle position. J'encaisse ses coups de reins en m'empêchant de hurler d'extase.
Mais malgré tout mes efforts, je laisse entendre un gémissement beaucoup trop fort lorsque sa main tape vigoureusement ma chaire, annonçant un début d'enchaînements de vas-et-viens beaucoup plus fort et profond et le bruit de nos chaires qui s'entrechoquent, m'excitant encore plus.

- Bé', plus vite. Me plaignais-je

Je m'accroche fermement à l'aide de mes mains les coins de la machine, me cambrant un peu plus en recevant de rapides coups de reins.

- Putain Bé'. Gémis-t-il d'une voix rauque, brouillée par le plaisir

Je me resserre autour de lui, sentant le point de non-retour arriver, je pose l'une de mes mains sur ma bouche pour camoufler mes gémissements que je ne peux retenir, sa main s'abat une seconde fois contre la chaire, me faisant tourner les yeux de plaisir.

- Tarik ! Jouissais-je beaucoup trop fort

Il se retire de moi après avoir craché en moi, frottant de longues secondes sa verge contre mon clitoris, me faisant avoir encore quelques spams.

- Si on c'est fait choper c'est de ta faute. Dit-il en collant son tors contre mon dos, me laissant sentir son souffle contre mon oreille

| 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞́ | - [ ADEMO ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant