| 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞́ | - [ ADEMO ]

CHAPITRE XIX.

CHAPITRE 19 :

ANASTASIA

J'enfile un joli petit top rouge puis un jean bleu, avant de me maquiller légèrement, hier en fin d'après-midi, Tarik m'avait envoyé un message en me demandant si j'étais libre ce soir, j'avais directement accepter, heureuse de voir qu'il prenait des initiatives me montrant qu'il est vraiment sincère avec moi, voulant réellement avoir une relation sérieuse.

Après mettre parfumer, je me dirige vers mon entrée, cherchant quelle talons je pourrais mettre pour sortir. J'opte donc pour une paire de petite bottines à gros talons, ne voulant pas avoir mal aux pieds.

Après les avoir enfilé, je me dirige vers mon salon m'asseyant sur mon canapé, attendant un message de Tarik pour descendre le rejoindre. Fixant mon téléphone, prête à descendre a tout moment.

" - Tarik
- Descend, j'suis en bas"

Je me lève rapidement avant de prendre mon manteau et de le poser sur mes épaules, avant de me regarder dans le miroir, vérifiant si tout aller bien.

Après avoir fermé ma porte d'entrée doubles tours, je descends rapidement les escaliers faisant claquer mes talons contre le sol.

J'arrive rapidement devant sa voiture, je monte donc au côté passager avant de lui faire la bise lui demandant s'il va bien.

- Alors, on va faire quoi ? Demandai-je en me tournant vers lui après qu'il a démarré

- Tu verras quand on y sera. Me répond t'il en tournant sa tête légèrement vers moi

- Mais dis-moi ! M'écriai-je

Il ne me répond pas et rigole, se concentrant sur la route. Pendant le reste du trajet plus aucun de nous deux ne parles, me contentant de le regarder pendant tout ce temps.

Mais quelques minutes plus tard Tarik se gare dans un petit parking.

- Un grec ? Dis-je en me tournant vers lui

- Quoi ? Ça te plait pas ? Me demande-t-il en se tournant a son tour vers moi tout en fronçant les sourcils

- Bah clairement que si ! M'écriai-je

Nous sortons tout les deux de la voiture avant d'entrer dans le fast-food devant nous, il prend nos commendes et prends le sac en plastique avant qu'il ne m'attrape le poignet et de nous faire sortir du petit habitacle.

- Bah ? On ne mange pas à l'intérieur ? Demandai-je en fronçant les sourcils

- Nan, on va manger autre part. Me répond t'il, toujours la main dans la mienne

Je souris légèrement en voyant qu'il ne m'avait pas lâché, nous nous rasseyons sur les sièges de sa voiture. Il démarre rapidement après avoir posé le sac plastique sur les sièges arrière.

Il allume la radio, chantonnant les quelques musiques qui passent, sous mon œil aiguiser.

- Pourquoi tu me fixes comme ça wesh ? Me dit-il en tournant sa tête vers moi

- Je ne te fixe pas, tu abuses un peu là quand même. Dis-je en baissant la tête, sentant mes joues rougir

- Tu me kiffes trop toi. Me répond-il en tournant la route

Je ne réponds pas, rougissant encore un peu plus. Mais en voyant qu'il s'arrête dans une petite rue je tourne la tête.

- Bordel, t'as une putain de chance toi. Me répond t'il en se garant

En relevant la tête, je remarque que juste devant nous se trouve la Tour Eiffel, allumer dû aux rues sombres de Paris.

Je hausse les sourcils avant de me tourner vers lui, le sourire coller aux lèvres.

- Dios mio, Tarik ! Mais c'est magnifique ! M'écriai-je des étoiles pleins les yeux

Il me regarde en rigolant, se moquant de mon enthousiasme.

- Te moque pas de moi ! Et je ne te savais pas aussi romantique toi.

- Vas là-bas toi ! Dit-il en me poussant gentiment l'épaule

Je me détache en me tournant sur mon siège, attrapant le sac plastique, donnant la boite jaune à Tarik. Mangeant en rigolant, dans la bonne humeur. Après avoir fini de manger, je prends le sac plastique avant d'y glisser les deux boites.

- On va marcher ? Me propose-t-il

J'accepte volontiers en sortant juste après lui de sa voiture, juste avant de commencer notre petite balade nocturne, je jette le sac dans une des poubelles qui était près de nous.

En retournant à ses côtés, d'un élan soudain, Tarik passe son bras autour de mon cou, je fus étonné de son geste, sachant que Tarik n'était pas réellement le genre d'homme tactile.

J'en profite donc pour me coller un peu plus a lui, sentant son doux parfum chatouiller mes narines.