Chap34

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LYA

Jace- Mama ! Tu m'as fait peur ! Ta jambe était rouge et... s'écrit-il dès que j'ouvre mes yeux.

Moi- Tout va bien, filho. Le rassurais-je.

Je regarde partout autour de moi et reconnais l'hôpital de l'agence. Super...

Ma jambes me tire me donnant une douleur inconfortable mais jamais je le lui dirai.

Jace- Mama ?

Moi- Oui. Lui répondis-je.

Jace- Tu peux me promettre quelque chose ?

Oula...

Moi- ça dépend c'est quoi mais dit moi.

Jace- Jamais tu m'abandonneras. Promets-moi. S'il te plait ?

Oh...

Moi- Filho... Je ne peux pas te promettre ça... Un jour mama elle partiras. Mais ce que je peux te promettre c'est de toujours tout faire pour pouvoir jamais t'abandonner. En tout cas, le plus tard possible.

Jace- J'accepte.

Ont sourient et le docteur arrive.

Moi- Je peux sortir ?

Docteur- Oui. Vous allez beaucoup mieux. Ça fait deux jours que vous avez dormi.

QUOI ?! SIRINE !

Docteur- Fin vous vous êtes réveillé mais vous ne vous en rappelez plus. Je me trompe ?

Moi- Non.

Je me suis réveiller durant ce temps ? Et je ne m'en souviens même pas ?

Mais comment sa ce fait ? Ca veut dire que j'ai pu faire ou dire des choses dont je ne me souvient même pas ? Mais c'est horrible ce genre de chose !

Docteur- C'est normal ne vous en fait pas. Dit-elle en partant.

Je profites donc qu'il m'a dit que je pouvais sortir d'ici pour fuir avant qu'il ne me rattrape et m'informe que c'était une blague. Je rejoins rapidement la maison avec Jace. Anitta, toujours présente a l'accueil tel une très bonne femme de maison l'est, mais aucune trace de Sirine.

Anitta- Elle est enfermé dans sa chambre. M'informe-t-elle en sachant très bien ce que je cherche.

Je laisse Jace regarder la télé au salon et je courre (comme je le peux avec cette jambe qui me lance) et retrouve Sirine allongé dans son lit, pleurante.

Moi- Sirine...

Sirine- Dégage.

Moi- Sirine... Ecoute moi.

Sirine- Pourquoi tu l'as ramener ?

Moi- Tu peux pas me demander sa, Sirine. Elle était enfermer et exploiter comme nous même l'avons été ! Je ne vais pas dire que je regrette mon geste. Elle reste une humaine, une femme, elle n'a pas a vivre sa.

Sirine- Mais moi j'ai le droit de souffrir ?

Moi- Sirine... Je n'ai pas pensé à sa. Mais tu ne pouvais pas me demander de ne pas la chercher.

Sirine- Elle était morte ! Elle devais le rester.

Moi- Sirine ! C'est pas bien ce que tu dis et je suis sur que tu le sais mais que tu es beaucoup trop affecté par cet histoire que tu t'en rend pas encore bien compte.

Sirine- Laisse moi... Je suis ton amie depuis maintenant des années, Lya. Tu as préféré choisir une inconnue.

Moi- Sirine tu sais que c'est faux. Sinon je serais pas directement venu te voir toi après que je sois partie de l'hôpital.

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