D'amour et de larmes ...

Pour le respect de ton Maître, tu ne lui désobéiras pas...

Attention ! Scène à caractère sexuel... Pour public averti...

Andréas me fit étendre sur un lit dont je ne reconnaissais pas la douceur des draps. Comme pour la sortie au restaurant, je fus emmenée par cet ascenseur me montant aux étages et bien sûr, j'étais réellement intriguée par la configuration de son établissement. D'après mes souvenirs, ma chambre se situait plutôt dans les hauteurs... Il faudrait que je lui en parle à l'avenir... mais pas en ce moment car, je voulais me concentrer sur cette soirée dont je voulais profiter au maximum en offrant de la fierté à mon Maître. Souhaitant être irréprochable, malgré sa demande de me vêtir devant lui qui me chagrina, vu ma timidité, j'essayais de me détendre, même si l'angoisse entreprit de miner le peu de courage que je possédais au plus profond de moi.... Allongée, le regard masqué par cet éternel bandeau, je sentis de l'agitation tout autour de moi. Des mains, que je commençais à reconnaître pour être celles de mon Maître, me caressèrent et partirent à la conquête de mon corps, d'une douceur divine. Puis, vint le moment où il me demanda de poser mes lèvres sur les liens avec lesquels il m'attacherait, en le remerciant. Ne comprenant pas toujours la portée de ses paroles, ainsi que celles de ses actes, je m'empressai de lui obéir dans l'instant. Loin de moi, l'envie de me faire punir ou de le faire sortir de ses  gonds !!! Attentive à ses moindres mots et directives, je commençais sérieusement à m'apaiser, pour tirer un maximum de plaisir pendant ce moment privilégié où nous étions ensemble. Une fois attachée par les rubans que je supposais être en soie car, la délicatesse de la pression sur mes poignets était très agréable et douce comme les dessous très sexy qu'Andréas m'avait autorisés à porter, je tentai de respirer calmement. Percevant que quelqu'un se plaçait tout juste à côté de ma tête, le toucher doux et à la fois rugueux d'une main, m'indiqua que c'était Andréas.... Et là.... surprise... Je discernai des doigts se promener le long de mes jambes liées et ouvertes. Heureusement pour moi, ma minuscule culotte me protégeait mais je présumais qu'elle ne m'abriterait pas longtemps... Qui pouvait bien me toucher, à part Andréas ??? Réfléchissant vite à mon contrat, il me semblait que j'avais exclu tout autre dominant dans nos séances.... Tandis que le ballet des effleurements continuaient de plus belle, je me crispais à l'idée  qu'un autre puisse me toucher ou pire, me fasse l'amour devant mon Maître. Commençant à ne plus sentir les caresses comme telles, mais plutôt comme une brûlure me marquant les chairs d'un feu presque perceptible, je fus pris de tremblements inexpliqués qui informèrent Andréas, de mon état de tension immédiat.

" - Détendez-vous ma douce.... Effectivement, ce n'est pas moi qui vous caresse.... Prenez du plaisir.... Lâchez-vous  et surtout.... sachez que je suis près de vous.... " 

.... Même le velouté de sa voix avait du mal à me raisonner. Essayant à tout prix d'obtempérer, je pus calmer, un tant soit peu, mes soubresauts. A cet instant précis, Andréas me parla tout bas à l'oreille, comme si nous étions que deux dans la pièce. Cela eut l'effet immédiat de m'apaiser. Vert, la couleur que je donnais pour continuer la soirée commencée... Vert, le seul mot qu'il aurait pu m'arracher, alors que j'étais en position d'asservissement... Vert, la tonalité de l'espérance... Tout en continuant à me modérer, je sentis ma culotte se déplacer sur le côté. Un doigt puis deux s'introduisirent à l'intérieur de moi. L'autre main inconnue continuait à me prodiguer toute l'attention dont je devais avoir besoin pour laisser le passage à peut-être plus.... ???? Embarrassée et malgré les mots crûs et réconfortants de mon Maître, je commençais sincèrement à perdre le fil de mes pensées. Les encouragements, d'une part et les va-et-vient de l'autre, me rendirent dépendante de leurs actes en oubliant tout le reste. Je lâchais enfin prise... Le stress d'avant se transforma en désir puis en plaisir. Mon silence se convertit en gémissements discrets, devenant de plus en plus sonores au fur et à mesure de l'accélération des doigtés.... Puis, je sentis quelque chose de très doux tourmenter mon clitoris...