Auprès de moi, je la surveillerai...

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Refermant la porte de sa chambre, j'étais dans tous mes états. Je venais de lui livrer un de mes côtés les plus sombres, qui régissait mon existence. Maintenant, la balle était dans son camp. A elle de faire le bon choix. Je montai les escaliers m'emmenant à mon bureau. De là, je pouvais observer Aquilina à ma guise, dans sa chambre car, dans ma demande d'aménagement de cette pièce, je l'avais fait équiper de caméras high-tech indétectables à l'œil nu. Sur mes trois écrans, je pouvais l'admirer tranquillement, sous toutes ses coutures, sans être continuellement dérangé, comme à mon hôpital où elle résidait jusqu'à hier soir. Perdu dans mes pensées charnelles, je revins à la réalité avec le tour de force que j'accomplis pour transférer Aquilina, de mon établissement à ma demeure.... Simple comme un jeu d'enfants... Préparant le jour même, son dossier complet pour son examen factice, j'informai l'équipe de son changement d'établissement, en vue d'une autre thérapie. Son départ programmé par mes soins le soir tard, me permit de l'amener seul à l'accueil désert à cette heure-ci, prétextant que j'allais partir évitant ainsi qu'une infirmière quitte son poste de travail, afin qu'Aquilina soit prise en charge par son ambulance bidon. Seulement, aucune ambulance ne viendrait la chercher, puisque ma voiture personnelle se chargerait de l'emmener chez moi... Ma prisonnière ne se rendit compte de rien car elle dormait à poings fermés. Savourant le fait d'être maintenant le seul à pouvoir la contempler, je jubilais en me disant que c'était trop facile. Un verre d'alcool fort dans ma main, je dirigeais de l'autre les appareils, pour pouvoir couvrir toute la superficie dans son ensemble. Fantastique. J'attendis un moment avant de lui déposer son plateau-repas. Quand Aquilina entra sous la douche, je fonçai lui amener son déjeuner, commandé dans la matinée à la cuisine de l'hôpital. De retour dans mon antre, je souriais comme un dingue quand elle fit son apparition vêtue de gris et vit son plateau garni de nourriture. Aquilina parut troublée, en regardant partout autour d'elle. Avait-elle peur que je la surprenne à tout bout de champ ? Bien sûr qu'elle devait se méfier de moi car moi-même, je ne me faisais pas confiance... Jusqu'à aujourd'hui, je pus contrôler ma soif de sexe et de débauche mais maintenant que ma petite était sous mon toit, difficile encore de tenir des mois dans cet état quasi second. A la limite de ce que je pouvais endurer, il fallait au plus vite que je commence son dressage physique. 

D'amour et de larmes ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant