- Je t'aime Chaïma, je ne peux pas vivre sans toi, j'ai essayé. J'ai voulu lutter contre ça, me divertir dans les bras d'Ashanti mais dans la nuit, c'est ton visage qui me hantait, ta bouche, tes yeux et je devenais fou car je n'avais jamais ressenti ça. Avec toi, je suis différent, tu me fais vivre, tu es si simple, tu ne snobes personne, ne te la joues pas, tu es loyale et fidèle. Je te demande sincèrement pardon de t'avoir traité de pute, de tous ces noms d'oiseaux. Je te respecte énormément et je rends grâce à Dieu de m'avoir donné une femme au coeur pur comme toi, je m'excuse aussi de t'avoir violé, je m'en voudrai toute ma vie pour ça mais c'était la peur. Un homme n'aime pas aimer donc il essaie de lutter contre ça en poussant la fille à bout pour qu'elle même lui montre qu'elle n'était pas digne de son amour mais toi, tu es restée fidèle à toi même. Je ne te l'ai jamais demandé dans les règles de l'art, Chaïma veux-tu m'épouser au régime monogamique et à la communauté de biens ?
Les larmes coulaient seulement le long de mes joues, je n'arrivais pas à y croire.
- Oui bébé, oui je veux t'épouser. Tarik venait de me dire qu'il n'épouserait que moi à l'état civil ... Bye bye Ashanti ! Chaïma 3 Ashanti 1.
Après cette belle demande, Tarik et moi avons marché au bord de l'eau main dans la main, ma bague pesait oh. Comme la voix dirait, ce n'est pas de la gnognotte hein.
- Bébé tu as déjà volé dans les airs ? Me demanda Tarik.
- Bah oui, tout à l'heure en hélicoptère, on a volé non.
- Non bébé, je te parle de voler pour de vrai.
- Aka je vais faire ça comment ?
- Mets ton bras autour de mon cou, colles toi bien à moi..
C'est ce je fis, Tarik commença à s'élever avec moi, je fermais les yeux, j'avais peur. Avant que je réalise, on était déjà dans le ciel, on volait dans le ciel, c'était génial. Je n'arrêtais pas d'hurler parce que parfois Tarik devenait transparent, il voulait déjà se transformer en vent pour bien délirer comme quand il est seul, Barré pas avec moi sur son dos deh. C'était magnifique, on voyait tout du ciel mais je commençais à être épuisée sérieux sérieux. Tarik s'en rendit compte, on revint sur terre, on s'embrassait déjà. A l'atterrissage, on marchait en s'embrassant jusqu'à la maison.
Dès qu'on est rentré dans la maison, on s'embrassait de plus en plus passionnément, j'enlevais déjà mon tee-shirt, Tarik aussi. On se déshabillait mutuellement en titubant car nos lèvres ne voulaient plus se quitter. On cassait tout, j'avais une jambe bloqué dans mon jogging, Tarik était déjà en caleçon blanc Calvin Klein, on ne regardait même plus où on allait. On se cognait au mur, Tarik m'embrassait, me léchait le dos, m'agrippait les fesses.
Sa déclaration, le champagne, la fatigue, l'amour, les cadeaux, tout ça là me firent oublier ma peur d'avoir encore mal. Il embrassait chaque partie de mon corps, semait des bisous sur mes jambes, mes fesses, mon ventre, mes bras, sa bouche, ses lèvres, ses mains étaient partout. Je tremblais de désir, j'étais inondée. Il était d'une délicatesse, d'une tendresse, il me regardait avec tant d'amour, je me liquéfiais encore surtout quand il mit sa langue dans mon biz. Une décharge me traversait tout le corps, je ne savais pas que c'était possible qu'on puisse mettre sa bouche à cet endroit, je tirais sa tête, je ne savais pas ce qui m'arrivait cette chaleur dans mes reins.
Quand enfin il rentra en moi, ce fut cm par cm, il avait collé son front au mien et me regardait dans les yeux pendant qu'il entrait lentement. Au début, j'ai eu un tout petit peu mal mais j'étais tellement détendue que le gout était déjà là. Il rentrait, ressortait complètement, m'embrassait, me regardait. Moi, je voulais qu'il revienne, je m'énervais de ces jeux, il rigolait en disant que pendant trois jours, on allait le faire partout dans toutes les pièces et qu'on allait tout tester. Je ne sais pas combien de fois il m'a prise, rendue folle, fait jouir, je sais juste qu'à un moment, on était dans les bras l'un de l'autre et je me suis endormie.
- Debout paresseuse, il est 13h viens manger.
- Non je vais d'abord me doucher et me brosser les dents toi aussi.
- Hum oui c'est vrai que tu as une haleine de bouc hein, dit-il en faisant semblant de ne plus pouvoir respirer. Je me mis à lui taper le coussin, il était déjà sur le lit en train de jouer avec moi quand je sentis encore son érection.
- Mais tu es un vrai malade hein ? Pardon c'est comment ? Non ça chauffe, il faut me laisser.
Quand soudain, on frappa à la porte, Tarik se leva énervé.
- Qui oses me déranger ? J'avais dit pas de coups de fil rien non ?
La personne continuait à tambouriner à la porte. Tarik me fit signe de me couvrir, il prit une arme dans le tiroir, il trouvait ça suspect. Quand il ouvrit la porte, ce fut un déchainement de violence...
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L'étoile de la mer gaboma
General FictionCeci n'est pas une histoire que j'ai conçue. C'est l'actualisation d'une chronique pré-écrite par une anonyme sur Facebook. J'ai décidé de la reprendre pour lui donner une nouvelle exposition et actualiser l'histoire. En espérant que l'auteure de c...