Chapitre 8 : Tentation sans compassion.

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Il refermait la porte derrière lui avant de m'attraper par la taille et de me pousser contre une étagère. Il plongea son regard dans le mien pendant quelques secondes avant de m'embrasser. 

Avait-il un dédoublement de personnalité ?

Je répondis à son baiser et infiltrai ma langue dans sa bouche, il émit quelques soupirs de satisfaction avant de me soulever et de me poser sur le canapé . En quelques secondes je me retrouvais avec le chemisier complètement déboutonné et le bas du corps entièrement nues.


Il se coucha sur moi et commença à m'embrasser dans le cou en touchant ma poitrine. Machinalement, j'écartais mes jambes pour y laisse les siennes se frayer un chemin. De mon cou, il descendit ses baisers jusqu'au bas de mon ventre. J'avais du mal à respirer, tout était si intense. J'étais inondé par son odeur et sa chaleur et je ne voulais qu'une seule chose ; m'y noyer.


Alors qu'il déboutonnait son pantalon, je me relevai et l'agrippai par le cou pour le refaire plonger sur moi, en l'embrassant.


- Oh, tu veux déjà passer aux choses sérieuses ? Demandait-il entre deux soupirs enivrés.


J'étais beaucoup trop excité pour penser à quoi que ce soit, je le voulais tout de suite.
Il inséra l'un de ses doigts en moi pour s'assurer que j'étais suffisamment préparée, je compris à son regard, soudainement assombri que oui.

Il m'écarta totalement les jambes et posa son gland sur mes lèvres. Là, il commença à les caresser avec de haut en bas, je me cambrais de plaisir sous les sensations délicieuse qu'il me donnait.


- Mhmmm, tu en as vraiment envie ? M'interrogea-t-il.

Je hochais ma tête pour lui dire oui.


- Dis-le. Ordonna-t-il en s'approcha de mon visage.

- Oui...

- Oui, qui ? insista-il.

- Oui, Caporal Chef...

- Vraiment ?


Je lui répondis à nouveau.

- Alors dis-moi la vérité.


Pardon ? Il était vraiment en train de faire ça ?

- Caporal je-

- Dis-moi la vérité, t/p ! Répèta-t-il en se couchant sur moi en posant les mains de part et d'autre de mon visage.

J'étais une cause perdue, mes pensées étaient totalement embrouillées, je savais qu'il était en train de me menacer mais, la seule chose que je voyais c'était un homme magnifique au-dessus de moi.

- Caporal, prenez-moi, suppliais-je, en l'agrippant par la taille.

- T/p, si tu en veux plus il va falloir m'en donner plus !


J'étais prête à craquer, prête à tout dire rien que pour lui. Je repris mes esprits péniblement, secouais la tête de gauche à droite avant de le pousser pour me relever. J'avais besoin d'une douche glacée.
Il paraissait surpris par mon self-control, honnêtement, je l'étais aussi.


- Vous savez quoi, vous n'êtes pas le seul homme dans ce QG, alors, je vais en chercher un qui acceptera sans me demander quelque chose en échange.

Il n'apprécia pas cette remarque, il me força à me rassoir et s'assit derrière moi en encadrant mes jambes des siennes.


- Ah, oui ? A qui tu vas demander ? À un des ami de ta sœur peut être ? Murmura-t-il, près de mes oreilles.

Je sentais son souffle chaud dans ma nuque.

- Je suis sûre qu'ils accepteraient.


Il dégagea les cheveux de ma nuque et commença à m'embrasser le cou avant d'attraper ma poitrine avec ses deux mains. Il massait mes seins avec une telle douceur, comme s'il activait des capteurs de plaisir dont je n'avais jamais connu l'existence.

Je soupirais, alors qu'il passait furtivement ses index sur mes tétons en me faisant frissonner avec son souffle chaud dans mon cou.

Plus il pressait sur ma poitrine plus je me cambrais, je tournais la tête vers lui pour réclamer un baiser qu'il me donnait du bout des lèvres avant de les lécher.


- Mais est-ce qu'ils te feraient vibrer comme je peux le faire ?

Non.
- Évidemment...

- Vraiment ? Moi, je n'ai qu'à te frôler pour t'exciter.

Il avait raison.
- Vous avez tort, Caporal.


Il souffla du nez , il savait pertinemment que je mentais et continua de me caresser les seins. Je gémissais de plus en plus fort et étais obligée de poser ma tête contre son épaule. Il fallait qu'il me lâche, mais je n'en avais pas envie, pas envie du tout.


- Alors on va reprendre. Affirma-t-il en me mordillant l'oreille.


J'étais tellement électrisée par ce qu'il me faisait que j'avais l'impression d'être ivre. Le contact de ses mains sur chaque parcelle de mon corps irradiait chaque cellule de mon être de plaisir. Je ne savais pas pourquoi je ne savais comment, mais il avait un pouvoir sur moi que personne n'avait déjà eu. Son odeur, sa voix, sa gestuelle tout était hypnotisant.


- Comment as-tu eu cet argent ?


Je me contentais de soupirait d'extase en serrant les dents.



Je finis par agripper ses mains pour le faire arrêter, ce qu'il fit immédiatement. Je me relevais, mais il se releva aussi et m'attrapa par la taille. Il était collé contre moi et je sentais son membre rigide contre mes fesses. Il n'avait pas envie que je parte parce qu'il me désirait aussi. C'est pour cela que je devais l'arrêter, nous arrêter. Je devais le rendre fou pour qu'il abandonne sa quête de vérité.



- Je dois reprendre le ménage de la grange avec Jean, demain. Je dois avoir toute mon énergie pour ça. Expliquais-je, avant de me rhabiller et quitter la pièce.



Levi ne répondit pas, mais je savais qu'il était furieux.











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Petit chapitre bonus pour vous remercier d'avoir été aussi actif sur cette histoire ! 
Vous êtes géniaux <3  Ça me touche beaucoup et vos commentaires me font énormément rire !
Je sais que la chanson n'a rien à voir mais le rythme état vraiment trop sexy pour ne pas que je l'ajoute.

La Princesse des Rues  - LEVI X READEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant