{24} Maria

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- A ta place je rirais pas trop, tu ne sais pas de quoi elle est capable l'informe Lucio

- Laisse nous s'il te plaît je lui demande

Il s'exécute.

- Alors, alors, alors, comme ça tu as osé me poignarder

Il sourit de toutes ses dents.

- D'ailleurs ça va tu ne souffres pas trop?

- Ne t'inquiètes pas pour moi, tu devrais plutôt le faire pour toi. Dit moi c'est que tu as de belles dents

Je m'approche de lui et le force à ouvrir la bouche.

- Je vais arranger ça

Je saisis une pince mais il se débat donc impossible pour moi d'attraper quoi que ce soit. Je me munis du truc que les dentistes utilisent pour écarter notre bouche et lui met. Je lui tient la tête avec une main tandis qu'avec l'autre je saisis une première dent a l'aide de la pince. Puis je tire d'un coup sec. Il grimace mais se retient de crier. J'en saisit une deuxième et fait de même. Puis une troisième, une quatrième et une cinquième. Il ne crie toujours pas ce qui a le don de l'agacer. Au bout de la sixième il pousse un petit gémissement ce qui me redonne le sourire. Une fois toutes les dents arrachées je me saisis d'un coup de poing américain et le frappe au visage. Je le frappe, déverse tout mon énervement, il ne m'a pas seulement poignardé mais il a aussi tenté de nous la faire à l'envers et de nous tuer. Le sang coule, son nez est certainement cassé tout comme ses cotes. Je me saisis d'un marteau et lui casse les deux genoux. Je frappe jusqu'à qu'il ne reste que des débris d'os, de cartilage. Il hurle de douleurs.

- Ca va tu ne souffres pas trop ? je l'imite

Une fois terminé je le laisse souffrir encore un peu avant de passer à la suite, histoire qu'il souffre le plus longtemps possible. Dehors, je retrouve le capo.

- Je n'en ai pas finit avec lui mais je le laisse mijoter un peu je l'informe

Je remonte au salon et m'installe sur le canapé. Hugo ne tarde pas à me rejoindre.

- Tu ne devrais pas être en train de te reposer toi?

- Avant tout je voulais m'occuper de l'autre

- Tu sais qu'on ne parle plus que de toi depuis ce matin. Avant, beaucoup de gens disaient que tu es entré dans la Cosa Nostra parce que tu es la petite fille de Roberto et que tu n'avais pas ta place ici, tu ne la méritais pas mais aujourd'hui, tout le monde a compris ce que tu valais et ils te respectent désormais

- Je paris que Paolo et le premier à penser que je n'ai rien à faire ici

Il ne nie pas.

- Sinon ton épaule ça va ?

- Ca va c'est douloureux mais c'est supportable

- Je me disais...

- Tu te disais ?

- Non rien

- Ba si dit moi maintenant

- Tu pourrais me passer le snap de Camille

- Tu veux le snap de Camille?

- Oui

- Avoue tu l'aimes bien

- Oui je l'aime bien il rougis ce qui me fait rire

Je prend mon téléphone et lui envoie ce qu'il m'a demandé.

Le ressuscité et ma nouvelle vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant