➙ [ ᴋɪʀɪꜱʜɪᴍᴀ ᴇɪᴊɪʀᴏ x ʙᴀᴋᴜɢᴏ ᴋᴀᴛꜱᴜᴋɪ ] :: Masaru Bakugo travaille dans l'entreprise de Haiko Kirishima depuis longtemps, il fait de bonne chose son entreprise, et ça, le directeur l'a remarqué.
C'est pour cela que Haiko lui propose d'être promu...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
────────── GDR ──────────
Une semaine... Une semaine et un jour pour être plus précis. Une semaine et un jour qu'Eijiro avait encore une fois disparu de la circulation.
Aucune nouvelle, aucun message - car oui il s'envoyait des messages même s'il n'avait plus le droit, mais ils effaçaient la conversation à chaque fois après - et aucun appel. Rien du tout.
Et puis merde ! Ce gars avait totalement changé Katsuki, ça l'énervait ! Katsuki se choquait lui même a sourire devant cet abruti et à attendre des heures pour avoir un message.
Comment un type blindé de thune avait pu le rendre si vulnérable ? C'était pas normal !
Il descendit en bas ou se trouvait sa mère, dès qu'elle le vit elle savait déjà ce qui le tourmentait. Elle connaissait bien l'affection que portait son fils pour le rouge depuis un moment déjà.
Il s'assit en face d'elle, en regardant ailleurs ne sachant pas quoi dire. Mais il savait que sa mère savait ce qui le frustrait alors autant la laisser parler en première. Mitsuki se mit à regarder son fils d'une façon bienveillante.
— Combien de temps ? questiona-t-elle.
— Une semaine.
— Hm... Je vois.
Elle se mit à réfléchir, elle essayait de trouver une solution qui aiderait son fils. Si elle avait bien compris, Eijiro pouvait de moins en moins voir Katsuki, mais elle ne savait pas la raison.
— Je devrais peut-être inviter leur famille ici demain soir ? Tu en penses quoi ?
— Je m'en fous, j'veux juste le voir.
Mitsuki commença à regarder son fils pour ce qu'il venait de dire. Elle savait qu'il se considérait comme meilleur ami maintenant mais ça restait bizarre d'entendre ça de la part de son fils. Katsuki se tourna vers sa mère et vit qu'elle le fixait. Il comprit directement pourquoi elle le regardait, ses joues prirent une teinte rosées.
— Me regarde pas comme ça, t'imagine pas des trucs, sale sorcière ! s'énerva-t-il.
— Celle que tu traites de sorcière, elle essaye de t'aider, alors baisse d'un ton, imbécile !
— Roh c'est bon, ta gueule ! Invite-les.
Et sur ses mots, Katsuki alla s'enfermer dans sa chambre. Il disait de plus en plus de truc chelou et c'était lourd ! À chaque fois ses vieux le regardaient en mode : « Tu ne serais pas amoureux ? »