➙ [ ᴋɪʀɪꜱʜɪᴍᴀ ᴇɪᴊɪʀᴏ x ʙᴀᴋᴜɢᴏ ᴋᴀᴛꜱᴜᴋɪ ] :: Masaru Bakugo travaille dans l'entreprise de Haiko Kirishima depuis longtemps, il fait de bonne chose son entreprise, et ça, le directeur l'a remarqué.
C'est pour cela que Haiko lui propose d'être promu...
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— Allô ?
La voix d'Eijiro retentit dans le téléphone du blond qui venait de l'appeler et qui était assez content de voir qu'il avait répondu si vite.
— Ouais, s'lut Shitty Hair.
— Salut, Explosion Boy ! Tu vas bien ?
— Mh.
— Pourquoi tu m'appelles, au fait ?
Katsuki ne répondit rien car il ne voulait pas lui dire la raison. Ça faisait trois jours qu'il avait vu Eijiro, et durant ces trois jours il avait attendu un appel ou un foutu message de sa part ! Mais ce con avait sûrement oublié, alors c'était lui qui avait du faire le premier pas.
— Tu te souviens pas de ce que je t'avais dis ducon ?! Je t'avais demandé de pas disparaître sans donner de nouvelles, abruti !
— Oh... Oui c'est vrai je suis désolé, Katsuki ! J'aurais dû t'appeler ! C'est juste que je dois aller à l'hôpital pour mon œil tu vois, donc j'ai pas trop eu le temps.
— Et... Et ton œil... Enfin..
— Oui ça va, t'inquiètes ! Je suis un vrai mec, je fais avec.
— Mh.
— Sinon aujourd'hui je suis libre, tu veux venir au cinéma avec moi et mes potes ? Tu vois ceux de la dernières fois ?
— Avec ces tocards ?! Tu rêves ! Je vais pas traîner avec des abrutis dans votre genre au cinéma.
— Je suis pas un abruti, et mes amis non plus ! Et puis je suis sûr que s'ils n'étaient pas là tu serais venu.
Eijiro marquait un point, s'il ne voulait pas venir c'était juste à cause de ces idiots qui sont amis avec le carmin. Sinon, ouais, il y serait aller.
— Katsuki ? Du coup tu viens ou pas ?
Devrait-il vraiment y aller..? Ce serait une occasion de voir Eijiro sans que sa putain de soeur soit là. Mais de l'autre côté il y avait cette folle qui avait parler d'alchimie la dernière fois.
— Ouais, je viens. Mais par dépit parce que j'avais rien a foutre !
Il avait mentit, il venait par envie et non par dépit, mais bon c'était pas comme s'il allait l'assumer.
— Genial mec ! On se rejoint là bas à quatorze heures trente, salut !
Eijiro raccrocha directement après avoir dit ces mots. Le blond avant de déposer son téléphone regarda l'heure, il était midi quarante-sept. Il avait quand même le temps de se préparer.
