➙ [ ᴋɪʀɪꜱʜɪᴍᴀ ᴇɪᴊɪʀᴏ x ʙᴀᴋᴜɢᴏ ᴋᴀᴛꜱᴜᴋɪ ] :: Masaru Bakugo travaille dans l'entreprise de Haiko Kirishima depuis longtemps, il fait de bonne chose son entreprise, et ça, le directeur l'a remarqué.
C'est pour cela que Haiko lui propose d'être promu...
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Eijiro touchait sans cesse son cartilage, c'était tellement bizarre d'avoir des boucles d'oreilles... Il touchait aussi son lobe. Mais au moins il était content, ça lui allait bien, enfin il trouvait que ça lui allait bien et Katsuki aussi l'avait complimenté là dessus. Il se demandait vraiment comment allait réagir ses parents, il espérait juste qu'ils n'en fassent pas un scandale.
Pendant que le carmin continuait de toucher ses nouvelles boucles d'oreilles noires, Katsuki tournait la clé dans la serrure pour ouvrir la porte de sa maison.
Le blond ouvrit la porte, il laissa passer Eijiro avant lui, puis il rentra dans la maison refermant la porte derrière lui.
Mitsuki et Masaru étaient dans la cuisine, ils cuisinaient ensemble - ça faisait longtemps qu'ils n'avaient plus fait ça -, la femme blonde attendait avec hâte son fils et le petit ami de celui-ci. Elle voulait absolument voir leurs boucles d'oreilles. Masaru avait envie de voir, mais il n'avait pas aussi hâte que sa femme.
Eijiro rentra dans la cuisine, il salua les parents du blond cendré, et Mitsuki s'approcha de lui, elle examina scrupuleusement ses oreilles. Elle recula après avoir fini.
— Ça te va bien, finit-elle par dire, en esquissant un sourire sincère.
— Merci !
Katsuki arriva dans la pièce, il s'adossa contre un mur, ayant tout bonnement la flemme d'approcher la sorcière qui lui servait de mère. La mère du garçon aux cheveux blonds s'avança vers son fils, elle prit son visage dans le creux de ses mains et se mit à regarder des deux côtés de sa tête.
— Mais lâche moi ! ordonna le cendré.
— Pourquoi tu as pris du noir ? Il n'y avait pas d'autres couleurs ?
— Lâche. Moi.
— Tu veux que j'aille t'acheter des boucles d'oreilles couleur argent, ou or ? Qu'est-ce que tu préfères ?
Elle avait totalement ignoré son fils, ce qui le fit rager, il dégagea donc avec sa main les grandes mains froides de sa mère qui étaient posées sur ses joues.
— J'veux pas que tu m'achètes ces merdes, j'irai en acheter seul.
— Ce que tu appelles merdes, tu en as littéralement sur tes oreilles, elle fit la remarque en lui lançant un regard blasé.
