➙ [ ᴋɪʀɪꜱʜɪᴍᴀ ᴇɪᴊɪʀᴏ x ʙᴀᴋᴜɢᴏ ᴋᴀᴛꜱᴜᴋɪ ] :: Masaru Bakugo travaille dans l'entreprise de Haiko Kirishima depuis longtemps, il fait de bonne chose son entreprise, et ça, le directeur l'a remarqué.
C'est pour cela que Haiko lui propose d'être promu...
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Qui aurait la garde des enfants ?
C'était la question que se posaient tout les membres de la famille Kirishima.
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Eijiro posa son doigt sur la sonnette de la maison de Katsuki, il allait dormir chez lui. Cela faisait trois jours que ses parents s'étaient séparé et rester chez lui était clairement invivable. Il avait donc décidé d'aller chez Katsuki pendant une nuit.
Il tomba sur Mitsuki, qui avait été mise au courant de la rupture de ses parents, Eijiro l'avait dit à son petit ami qui l'avait dit à sa mère - bien sur le rouge n'était pas contre le fait que les parents de son copain soient mis au courant -.
La femme blonde lui sourit avant de lui faire une étreinte, le rouquin la serra en retour, il avait vraiment besoin d'affection.
— On est là pour te soutenir, le rassura Mitsuki.
— Merci.
Ils se lâchèrent et la femme aux yeux rouges le laissa rentrer, elle lui indiqua ensuite que son fils se trouvait dans sa chambre, Eijiro salua rapidement Masaru, puis monta pour rejoindre son copain.
En train de gribouiller n'importe quoi sur une feuille, Katsuki entendit la porte s'ouvrir, il avait totalement oublié que son petit ami devait venir chez lui, alors il pensait que c'était sa mère, il s'apprêtait à lui demander avec agressivité de sortir, il se retourna et vit Eijiro.
— Salut...
— Eiji...
Le blond se leva de sa chaise pour venir serrer dans ses bras son copain. Il n'était pas spécialement sentimental mais cette fois-ci c'était différent. Le soir même ou les parents d'Eijiro s'étaient séparés celui-ci l'avait appelé et il avait entendu dans sa voix qu'il se retenait de pleurer. Eijiro avait besoin d'affection et de soutien, c'était absolument pas le moment de jouer au gros dur et d'être froid.
— Est-ce que ça va ?
— On peut dire ça..., répondit Eijiro en essuyant un de ses yeux.
— J'suis vraiment désolé pour toi.
— T'excuse pas, c'est pas de ta faute.
Le blond recula légèrement son visage pour voir celui du rouquin. Il avait vraiment l'air triste. Ça faisait bizarre de le voir comme ça, il était toujours souriant...
Katsuki posa ses deux mains sur les joues d'Eijiro pour déposer ses lèvres sur les siennes. Il lui prit ensuite la main et les deux garçons partirent s'asseoir sur le lit du cendré.
