CHAPITRE 7.

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TARIK

Après avoir salué le public, moi et mon p'tit reuf rentrons dans l'truc qui nous sert de loge, je souffle de soulagement grâce au calme que je n'avais pas il y quelques secondes auparavant, à cause des groupies qui crier nos nom de scène. Tout nos shrabs nous attendaient à l'intérieur de la loge, la plupart assis sur les fauteuils ou d'autres par terre par manque de place, mais on se fait rapidement couper par le patron de la boîte. Il tend un enveloppe à Nabil avant de lui serrer la main et de partir. Je lance un regard bref à toute la salle avant de souffler.

- Les gars, j'vais m'nashave. Dis-je en me levant de ma chaise

- Quoi ? Déjà ? Demande Mess en me regardant

- Ouais, j'suis claquer Wallah.

- Dit plutôt que ta hâte d'aller retrouver ta minche.

- Genre Tarik à une meuf ? J'te crois même pas un peu. Repond Nader en rigolant

- C'est bien, pour une fois qu't'ai pas con putain.

Les gars s'esclaffent en rigolant avant de charrier Nader, je leurs dit au revoir d'un faible tapement dans la main de chacun avant de m'engouffrer dans ma gov'. Pour une fois depuis une perd de temps j'arrive rapidement chez moi grâce à la fluidité des routes de Paris.

Je grimpe les escaliers deux par deux avant d'ouvrir la porte le plus doucement possible, mais ce putain de verrou en a décider autrement et fait un bruit pas possible. Par contre je rentre doucement pour faire le moin de bruit possible pour pas réveiller le p'tit. Je rentre dans le salon m'attendant d'y voir Anaya assise sur le canapé, mais personne, je fais rapidement le tour de l'appart', mais il n'y a personne dans aucunes des pièces, j'ouvre la porte de la chambre de Naël, mais il y a putain de personnes.

J'ouvre la dernière porte comme un bourain, ma chambre, mais jure rapidement en les voyants tout les deux endormi dans mon lit, je souffle de soulagement après mettre fait trente-six milles scénarios dans la tête. Je m'approche d'eux pour embrasser le front de mon fils qui est couvert dans les bras d'Anaya, qui lui souffle d'aise à mon toucher puis remet la couverture sur Anaya. Je les regardes quelques secondes tout en me disant que c'était bien la première fois que mon fils dormait dans les bras d'une femme, puis je décide rapidement de partir dans la cuisine me faire un truc à manger vite fait. Mais un post-it était coller contre mon microonde : "Je ne sais pas si t'as déjà manger mais je t'ai quand même préparer une assiette au cas où. Bonne appétit.". Je souris légèrement avant réchauffer mon assiette.

En sortant de la douche, serviette à la taille, je me dépêche d'aller discrètement dans ma chambre, téléphone dans la main pour m'éclairer grâce au flash, en ouvrant mon armoire, je prends qu'un jogging et l'enfile. Je me pose dans mon canapé après avoir rangé le bordel que j'avais mis, j'allume la télé, puis souffle en voyant toutes les conneries qu'ils disent. Je l'éteins rapidement en soufflant tout en jetant la télécommande sur le fauteuil à côté de moi. M'allongeant en prenant la couette qui était sur le canapé, éclairer grâce à la lumière de mon téléphone.

grâce à toi mon cœur ne sera pas toujours vide. - ademoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant