CHAPITRE 14.

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TARIK

Poussant la porte d'entrée, j'entends des petits pas courir vers moi.

- PAPA ! Crie-t-il en se jetant dans mes bras

- Tu m'as manqué ! Dit-il en me serrant fort dans ses bras

- J'vois ça. Rigolais-je

Je le sers à mon tour tout en retirant mes baskets, alors qu'il m'énumère tout ce qu'il a fait ce week-end.

- J'ai pas réussi à le faire dormir, il était trop impatient de te voir, il voulait pas dormir sans que tu sois là. Nous interromps une petite voix douce

Lorsque je me retourne j'humidifie mes lèvres quand je la détaille, un short noir long serrer, avec un simple teeshirt avec des motifs, me laissant clairement voir ses tétons fièrement dresser.

- Il a durée autant de temps ? Il est déjà deux heures.

- Je sais, mais c'est une tête de mule ton fils. Dit-elle en souriant. Bon, du coup, je vais aller me changer et je vais te laisser.

- Nan, vas-y reste. Je vais aller le coucher, vas te poser dans le salon.

- D'accord. Chuchote-t-elle

Lorsque j'entre dans la chambre, je pose directement Naël sur son lit, l'écoutant me racontait, c'est histoire.

- Tu repars plus aussi longtemps ok ? M'ordonne-t-il

Je rigole légèrement avant de lui embrasser le front.

- D'accord. Chuchotais-je

- Je t'aime papa.

- Moi aussi je t'aime mon fils.

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Regardant mon canapé, j'y retrouve Anaya qui est assise en tailleur dessus, elle sourit en tournant la tête vers moi.

- Il a était long à coucher dit donc.

- Ouais, il m'a raconté tout ce que j'ai loupé.

- Il était triste de pas de voir, il me demandait toutes les deux minutes quand est-ce que t'arrives.

- À Ouais ? Depuis quand ?

- Depuis que t'es partis, quand t'as fermé la porte, il me le demandait tout le temps. Et malgré les coups de fil que tu faisais ça lui a pas suffi.

———

Assis sur le canapé devant un film, je regarde Anaya bouger dans tous les sens en essayant désespérément de trouver une bonne position.
J'attrape rapidement sa cheville avant de la tirer pour qu'elle glisse.

- Owh ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Dit-elle en se redressant tandis que son téléphone sonne

- Tu m'fais pitié à tourner dans tous les sens comme ça.

Elle hoche légèrement la tête avant de retomber sur le canapé, elle passe discrètement ses jambes sur les miennes.

- Ça va ? Tranquille ? J'te dérange pas ?

- Non, pas plus que ça. Rigole-t-elle en s'allongeant sur le ventre, repliant seulement une jambe.

Je me lève en reposant ses jambes sur le canapé, je me redresse avant de m'allonger sur elle.

- Mais ! Tarik ! S'exclame-t-elle en rigolant

- Bah quoi ? J'fais comme toi, j'prends mes aises.

- Mais Tarik, t'es lourds. Dit-elle en gigotant

- Arrêtes wesh ! L'exclamais-je en maintenant ses hanches pour ne plus qu'elle bouge, sentant le truc monter.

Elle rigole légèrement avant de se couper lorsque son téléphone sonne à nouveau, elle tend le bras avant de l'attraper, soufflant en voyant le nom de la personne avant de le reposer face contre la table.

- C'est qui ?

- Personne d'important.

Je réponds pas et pose ma tête sur le haut de son dos. Mais quelques minutes plus tard, c'est à mon tour de souffler quand son téléphone sonne à nouveau.

- Vas-y j'repond il m'soule. Dis-je en l'attrapant

- Nan Tarik ! Arrête !

Je me rassois tandis qu'elle se redresse pour s'asseoir sur ses jambes, je fronce les sourcils en voyant le nom inscrit.

- C'est qui Enzo ?

- C'est un de mes collègues, mais ne répond pas Tarik. Lundi, il va y avoir pleins de rumeurs !

- S'il te fait chier j'lui règle son compte à lui.

- Mais nan Tarik ! S'il te plaît.

Je tends mon bras pour pas qu'elle attrape le téléphone, elle se redresse en voulant l'attraper.

- Mais ! Tarik rend le moi ! Dit-elle en tombant sur mon torse

Elle rigole avant de se mettre à califourchon sur moi.

- Tarik... Souffle-t-elle en s'affaissant sur mon torse

Elle se redresse d'un coup avant de tendre son bras en gigotant.

- Mais arrête de bouger toi. Dis-je en la plaquant contre mes hanches

- Donne le moi Tarik. Dit-elle en posant son menton sur mon torse, me regardant dans les yeux

Je repose son téléphone à coter de moi, posant l'une de mes mains sur ses côtes pour la redresser, elle passe ses mains autour de mon cou, elle se rapproche légèrement en bougeant ses hanches me faisant réprimer un grognement. Et en voyant son sourire, j'capte qu'elle est pas si innocente que ça dans ses mouvements.

Elle se penche légèrement vers moi, remontrant ses mains jusqu'à mon cou, je plaque ses hanches contre les miennes avant de plaquer ses lèvres contre les siennes.

Elle souffle d'aise avant de répondre en insérant sa langue, je passe ma main dans ses cheveux en la plaquant un peu plus contre moi tandis qu'elle bouge ses hanches contre les miennes, gémissant en me sentant durcir. Elle se retire gentiment en attrapant ma lèvre inférieure entre ses dents, embrassant furtivement mes lèvres plusieurs fois.
Elle descend ses baisées jusque dans mon cou, mordillant légèrement ma peau, bougeant doucement en ses hanches contre moi.

grâce à toi mon cœur ne sera pas toujours vide. - ademoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant