- Alors ? Ça ce passe comment ton nouveau travail ? Toujours pas renvoyée ? Demande-t-elle
- Ça va ! Franchement, c'est nickel, ça fais un peu plus d'une semaine que je garde le petit et il est vraiment top. Il fait pas trop de bêtises et il écoute bien. Il est vraiment trop mignon comme petit. Et le papa est cool.
- Bien... Mais est là maman ? Elle est comment ?
- Je l'ai jamais vue, et j'ose pas trop poser des questions intime, je suis juste là pour travailler.
- Tu devrais. T'as le droit de savoir pour qui tu travailles. S'écrie-t-elle
- Mais maman, c'est sa vie privée, je n'ai pas à savoir sa vie comme il n'a pas à savoir la mienne. Je travaille juste pour lui, c'est tout. C'est pas comme ci on était ami ou autres.
- Si tu le dis, et si tu n'oses pas demander à son père, demande au petit, il te répondra sans s'en rendre compte.
- Maman ! C'est vicieux ça, je suis pas comme ça.
- Comme quoi ? Me dit-elle méchamment
- Comme toi... je n'ai pas le droit de m'immiscer dans sa vie s'il ne m'a pas invité.
- Si t'appelle ça du vice, nous n'avons pas la même définition.
Je lève les yeux au ciel avant de me lever et de poser ma tasse de café dans l'évier de sa cuisine.
- Tu as couchée avec lui, c'est pour ça qu'il t'a embauchée. C'est évident ! Pourquoi je n'y ai pas pensée plus tôt ?
- Quoi ?! Mais je n'ai jamais coucher avec lui ! T'es complètement folle !
- Ça m'étonnerait pas de toi, je savais que t'étais ce genre de femme.
- Bon, je vais m'en aller, j'ai pas envie de m'énerver avec toi, crois ce que t'as envie de croire, mais je n'ai jamais rien fais avec lui. Au revoir maman.
J'attrape mon sac à main et ma veste pour enfiler rapidement mes chaussures puis calque la porte de l'entrée de l'appartement de ma mère, je souffle lorsque le vent frais caresse mon visage.
Peiner, je rentre dans ma voiture d'humeur, je claque ma portière avant de démarrer pour m'engouffrer rapidement sur l'autoroute ayant pas mal de temps route pour arriver chez moi.
Mais peu de temps avant que j'arrive chez moi, mon téléphone se met à sonner, je ne réponds pas, mais le sors de mon sac à main, étonner de voir qui m'avait appelé.« - Tarik ?
- Ouais Salem Ana', smeh si j'te dérange, mais j'ai besoin de toi ce soir.
- Oui dis-moi ?
- Ce soir j'ai un rendez-vous, et j'voulais savoir si tu pouvais me garder Naël ? J'vais rentrer tard, et j'ai personne pour l'garder.
- Oui, je dois être là pour quelle heure ?
- Putain, tu m'sauves. Viens pour vingt heures. Et je sais pas trop à quelle heure j'vais rentrer donc si tu veux, tu dors à la maison.
- Non t'inquiètes pas ça va aller, je vais rentrer.
- Comme tu le sens, mais ça serait mieux que tu restes, j'suis pas trop serein pour que tu rentres en plein milieu de la nuit.
- Oh, t'inquiète pas, j'ai l'habitude.
- Ouais, bon je dois te laisser on m'attend, Salem.
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grâce à toi mon cœur ne sera pas toujours vide. - ademo
FanfictionAnaya, une jeune femme essayant tant bien que mal de guérir ses blessures du passé fera la rencontre d'une âme plus brisée que la sienne. Abandonner par sa mère, le petit Naël arrivera à lié d'amour, deux personnes qui en sont dégoûtées. Entre amou...