Chapitre 44 : Se faire violer c'est tromper

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Nda : Le média c'est cadeau, parce que j'avoue j'ai pas été tendre avec les perso de la fanfic les pauvres je les tortures x) Du coup pour me faire pardonner je vous ai fait un petit fanart des quatre gugusses (et svp n'oubliez pas Thatch personne le vois le pauvre)

Alors certes, la romance est depuis 2 chapitres beaucoup délaissée mais cela ne sera que temporaire. Puisque oui, il est compliqué de faire vivre une histoire d'amour dans la situation dans lequel se retrouve les personnages. Pour l'instant je juge plus nécessaire de développer la partie 'aventure' et 'action' de l'histoire pour ralentir les relations entre les personnages car celles-ci tournent beaucoup en rond, en tout cas j'en ai l'impression.

Mais ne vous en faites pas, l'amour reviendra à la charge au meilleur moment possible ;) ouais moi aussi je veux retrouver les petits moment d'amour qu'ont les personnages parce que je reste une guimauve x)

Bref, je vous souhaite une bonne lecture !

Pdv Izou :

Le temps m'échappait complètement... Ça faisait combien de temps que j'étais là ? Quelques heures ? Quelques jours ? En réalité ça n'avait plus vraiment de sens. Le monde extérieur était désormais pour moi un concept superflu, que je ne connaissais plus d'ailleurs.

J'étais allongé sur ce sol humide et froid depuis maintenant bien trop longtemps. Dans l'obscurité de la pièce je n'avais pu apercevoir que quelques prisonniers dans les cellules jonchant la mienne. Enfin, cellule était encore bien trop luxueux pour définir l'endroit où je me trouvais. Mes mains étaient enchainées, tout mon corps criait au martyr. J'étais vidé de mon énergie mais étrangement nous étions suffisamment nourris. En tout cas de sorte à ce que nous perdions pas de poids.

Mais à ce moment là, j'avais cru comprendre dans quel endroit je me trouvais. J'étais maintenant presque convaincu que j'étais à bord d'un navire. Dans les couloirs parcourant les cellules, j'avais vu une personne en uniforme de la Marine. D'ordinaire, je n'avais pas assez de visibilité pour reconnaitre mes bourreaux mais ce jour-ci j'en étais sûr. Malgré cette découverte, je ne me rappelais plus des circonstances qui avaient pu m'amener ici. J'étais démuni attendant simplement qu'un miracle me libère de cette enfer. Je ne croyais qu'en un seul espoir, une seule lumière : Thatch.

Soudain, quelqu'un ouvrit la trappe de la porte de ma cellule pour y faire glisser mon plateau, le repas était servi sans un mot ni un bruit. Je regardais mon plat, je n'avais pas faim, j'en avais plus l'envie non plus.

Pdv Marco :

Dans la salle des communications, je me glissais entre les bureaux envahis par les archives triées par quelques soldats pour atteindre ceux en charge des appels par escargophone. Je remarquais qu'un sous chef de la Marine prenait soin de surveiller chaque communications passées par les soldats présentant à leur tour leur matricule. Ça semblait suicidaire de se tourner vers les escargophone.

Je me retournais une nouvelle fois vers les archives avant d'avoir une idée. Je m'approchais des bureaux puis me mis à aider les quelques soldats à trier et ranger les dossiers. J'en profitais alors pour lire entre les lignes les feuilles des rapports résumant les appels.

Soldat 1 : Pourquoi c'est toujours nous qui triions ces foutus dossiers de merde hein ? J'aimerais bien savoir !

Soldat 2 : Arrête de te plaindre pour une fois tu veux ?

Soldat 1 : Ah ça non ! Y'en a que pour la première division les trucs cool, comme sortir de ce foutu rafiot.

Soldat 2 : Peut être que si tu étais un meilleur soldat tu ne serais pas affilié au rangement des archives. D'ailleurs je ne comprends même pas pourquoi il gardent tout ça, ça date d'il y a au moins 10 ans.

Marco X AceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant