Chapitre 47 : Le fruit du vice amiral

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Nda : Euh salam les khouyas :') ouais on est de retour avec plus d'un mois de retard, je sais c'est énorme, mais bon c'est la vie hein. Donc voilà on peut enfin sortir quelques chapitres... Je ne sais pas combien vont sortir, ça dépendra de notre productivité. Dans tous les cas, je veux absolument terminer cet arc qui touche à sa fin avant d'entamer le dernier, qui sera aussi le plus long, donc il faudra être patients.es je suis désolée. Surtout que je compte faire une nouvelle pause à la fin de celui-ci...

Il est probable qu'il y ai beaucoup de faux raccords puisque je me suis pas faite chier à tout relire, genre flemme (j'ai quand même relus le dernier chap faut pas déconner), tout ça pour dire qu'il ne faudra pas hésiter à nous les signaler ;)

Récap (pdv Marco) :

Il n'y avait aucun garde, mais au vu de l'ambiance je compris aisément pourquoi personne n'y restait. Contrairement au couloir précédant, les cellules n'étaient que des grosses portes coupe-feu avec pour seule ouverture de quoi passer un plateau repas, et encore. Les noms des esclaves étaient marqués sur des dossiers accrochés près des portes. Je passais rapidement un coup d'œil de cellule en cellule jusqu'à ce que je trouve finalement ce qui m'intéressait : la cellule de Izou.

Il y avait bien évidemment un verrou nous empêchant d'ouvrir la porte comme nous n'avions pas la clé... Mais elle semblait condamnée.

Pdv Marco :

Je passai ma main le long de la porte et sur la serrure pour la scruter dans l'obscurité du couloir, elle était drôlement texturée. Ces portes ne s'ouvraient pas de façon ordinaire, j'en étais presque certain. Je regardais autour de moi cherchant à trouver un moyen de les ouvrir. J'allumais une flamme puis commençai à fouiller aux alentours.

La porte par laquelle j'étais arrivée s'ouvrit soudainement laissant entrer un gradé de la Marine ainsi que deux subordonnées. Par réflexe, je fis quelques battements d'ailes pour atteindre le plafond et dissimuler ma présence. J'espérais du fond du cœur que mes flammes n'aient pas attirés leur attention lorsque je m'étais envolé.

Malheureusement pour moi, ils n'étaient que de passage. Ils récupérèrent un dossier parmi les cellules des prisonniers.

Soldat : Commandant, que fait-on de celui-là ?

Commandant : On était censé l'emmener pour le début des ventes aux enchères mais sans le vice-amiral, il ne pourra pas sortir.

Soldat 2 : Il sera vendu aux enchères ? Mais ne vaudrait-il pas mieux l'emmener à Impel Down ?

Commandant : Son sort ne nous concerne pas. Nous avons pour mission de protéger les dragons célestes, ni plus ni moins.

Le premier soldat se pencha légèrement vers l'orifice de la porte permettant de faire passer les repas afin de distinguer le prisonnier à l'intérieur, sûrement en vain vu la luminosité de la pièce.

Soldat : Remarque, être esclave est un sort tout aussi horrible que Impel Down.

Commandant : Détrompe toi, celui-là serait enfermé dans le 5ème cercle alors être esclave se résume plus à des vacances si tu veux mon avis.

Soldat 2 : Le 5ème cercle... Il est si dangereux que ça ce pirate ?

Soldat : Bien sûr, tiens regarde.

Je me penchai à mon tour pour observer le dossier que lui tendait le soldat, ils parlaient d'Izou, c'est bien ce que je craignais. Captivé par ce qui se trouvait sur le rapport, je glissais légèrement de mon perchoir ce qui interpela les Marines.

Marco X AceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant