Chapitre 20

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Le bruit de ses talons résonnant sur le sol de la salle de réception, Aria avancer, impatiente de rencontrer l'homme qu'elle idolâtrait. Adam lui, marchait derrière elle, une coupe de champagne à la main.

Aria était tout excitée à l'idée de rencontre Mikaël Jefords. Son coeur manqua un battement quand elle le vit discutant avec deux hommes à la carrure imposante. Elle décida d'attendre que ce dernier finisse sa conversation pour aller ensuite le saluer.

La discussion des hommes s'éternisait et Aria perdait espoir de réussir à l'approcher un jour.

Elle devait le rencontrer!

Elle n'était venue que pour ça parce que, soyons honnête, cette fête était chiante à mourir. La musique en fond sonore endormait Aria, les gens méprisant qui regardaient tout le monde de haut, présents à cette fête l'agaçait, le champagne était immonde et super fort de plus, mise à part Adam, il n'y avait personne de son âge.

Enfin, Mikaël s'éclipsa, elle en profita donc pour aller à sa rencontre.

«Bonjour» Dit-elle timidement.

«Bonjour ma jolie» Dit-il d'une voix mielleuse.

Il l'a dévoré du regard, elle essaya de ne pas y prêter attention.

«Je suis une grande fan de tout ce que vous avez accompli» Dit-elle admirative en essayant de cacher son embarras.

«Merci» Dit-il avec un sourire qu'il voulait charmeur.

Il avait les yeux qui louchaient sur la poitrine de la jeune femme avec insistance, ce qui énerva fortement la jeune femme.

«Je pourrais peut-être vous donner un cours particulier. Dans ma chambre, en intimé »

Elle rêvait ou son idole était en train de la draguer avec une technique de vieux pervers en manque?

Le pire était qu'il se croyait beau gosse...

Aria était tellement dégoûtée qu'elle prétexta un appel pour s'éclipser.

Elle but d'une traite plusieurs coupes de champagne, cette fête était un calvaire.

Adam arriva derrière elle.

«Wow sacré descente Gabrieli» Rigola t-il.

Elle ne lui répondit pas, au lieu de ça elle se contenta de lui proposer quelque chose d'insensé, qu'elle n'aurait pas fait sobre.

«Cette fête est chiante à mourir, ça te dit de partir?»

Adam fut pris de court par cette proposition, mais accepta.

«Très bien suit moi, j'ai repéré une boite de nuit pas loin »

«Je te suis Gabrieli»

Les deux s éclipsèrent, un fou rire à la bouche. Elle avait l'impression d'être libre.

Ils arrivèrent devant la fameuse boite de nuit et leur bonne humeur se décomposa en voyant la longue fille d'attente pour entrer.

«Viens j'ai une idée Gonzalez»

Bien qu'intrigué, il la suivit sans broncher.

Elle s'approcha du videur, un gros nounours baraqué, bâti comme une armoire à glace.

«Salut» Dit-elle d'une voix mielleuse.

Le videur esquissa un sourire et lui répondit:

«Salut ma jolie»

Il rêvait ou Gabrieli était en train de faire un numéro de charme au videur ?

Il devait avouer qu'il était impressionné.

«J'ai super froid» Fit-elle en mimant une moue.

«Ne reste pas là, rentre alors.»

Wow, songea-t-il.

Elle le prit par la main et l'entraîna à l'intérieur.

«Que la fête commence!» S'écria-t-elle.

Une pincée de haine ( histoire non-corrigée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant