Chapitre 22

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Marianne m'amène vers l'une des chambres de l'hôpital, elle pousse la porte et la je met directement mes mains sur la bouche, George est la bien sur, assis sur le fauteuil près d'elle. Victoire à des machines relié à elle de partout, des tubes qui lui sorte de la bouche. Je regarde la mère de Chloé horrifié.

- Elle va devoir être transplanté, c'est ces machines la qui la maintienne en vie pour l'instant, dit-elle en baissant la tête triste.

Je ne dis rien me contente de verser des larmes, je pars tenir compagnie à George et Victoire une bonne heure avant que mon portable se mette à sonner.

- Excuse moi, dis-je à George en me précipitant.

Je sors de la chambre à toute vitesse pour arrêter la sonnerie incessante. Je décroche sans même regarder qui c'est qui m'appelle.

- Allô, dis-je la voix pleine de sanglots.

- C'est moi ça va ? Tu es ou la ? Me demande Meryl alarmé par ma voix.

- Oh mon cœur. Dis-je en pleurant ça me fait du bien de l'entendre. Je suis à l'hôpital c'est Victoire, continuais-je en pleurant toujours autant.

- Attend calme toi, il s'est passé quoi ? Dit-il en panique.

- Elle a fait un arrêt cardiaque.

- Putain j'arrive tout de suite. Dit-il en s'activant.

- D'accord, dis-je simplement en reniflant.

On raccroche simultanément, je retourne dans la chambre près de mes amis.

- Je suis désolé, dis-je à George pour la sonnerie de tout à l'heure.

- C'est pas grave c'était qui ? Me demande-t-il gentiment.

- Mon copain Meryl, il vient. Ça te gêne pas ?

- Non ne t'inquiète pas ! Il connaît Victoire ?

- Je sais pas, je pleurais au téléphone je pense qu'il vient surtout pour moi mais peut être qu'il l'a connaît. Dis-je en touchant les jambes de Victoire à travers les draps.

George acquiesce simplement avant de se remettre à la fixer.

Point de vue de Meryl

Je saute dans ma voiture, je roule à une allure folle, je met pas longtemps à arriver à l'hôpital. Quand j'arrive je sais même pas ou il faut que j'aille, je pars vers le guichet.

- Excusez moi, je dois voir Victoire. Dis-je paniqué.

- Vous êtes de la famille ? Me demande une femme complétement au ralenti.

Ça commence à me taper sur le système.

- Non ma copine est avec elle, elle est mal je dois la voir au plus vite ou est la chambre ? Haussais-je le ton.

- Désolé si vous n'êtes pas de la famille je peux rien faire. Dit-elle me faisant royalement chier.

- Putain vous allez me le dire oui, m'énervais-je devant elle.

Si je pouvais la cravater je crois que je serais capable de le faire.

- Qu'es-ce qu'il se passe la ? Demande Chrystelle Moreno dans mon dos.

- Je dois voir Victoire, Lexa ma copine est avec elle et elle va pas bien, la chambre s'il vous plaît ! Dis-je pressé.

- Bah oui, dit-elle simplement en passant derrière son écran.

Demain nous appartient et LexaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant