Chapitre 8

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Il est 4h du matin environ. Je descends voir si l'autre a bu la bouteille.
Je descends doucement et entre dans le salon. Il est là il dort toujours.
Je regarde si la bouteille possède le même contenu que tout à l'heure.
Elle est vide.
Je suis satisfaite.
Je m'approche et lui met une gifle pour voir si il dort. Il ne bronche pas.
Vient maintenant le moment le plus compliqué. Je dois le déplacer.
J'avais envie de le mettre à la cave.
Il devait peser environ 90kg.
Je ne perds pas de temps et l'attrape par ses chevilles.
Je manque de vomir lorsque l'odeur de ses pieds atteignent mes narines.
Je tire d'un coup sur ses chevilles et il glisse du canapé pour atterrir au sol. Un peu brusquement. Je le fait rouler sur une couverture, pour me faciliter son transport.
Je continu de tirer de toute mes forces jusqu'à arriver devant la porte de la cave. Si il se réveille maintenant je meurs.
J'ouvre la porte et met son corps en avant dans les escaliers. Je le pousse doucement en tenant fermement ses chevilles. Je le fait glisser dans les escaliers. Son crâne tape sur les marches mais la drogue accompagnée des deux autres bouteilles de vodka qu'il a bu l'on un peu plus assommé apparemment.
Je finis par le lâcher complètement vers la fin des escaliers où il glisse et vient claquer son crâne contre le sol en béton. Aie, ça doit faire mal.
Je passe devant et installe la chaise que j'avais préparé. Je lève le con et l'installe sur la chaise. Il manque de tomber à plusieurs reprises mais je l'attrape juste à temps. J'attrape les bouts de tissus que j'ai pris en haut avant de descendre à la cave.
Je l'attache avec. Je serre au maximum tout ses membres à la chaise. Une fois que j'ai tout bien attaché. Je fouille dans la cave pour trouver une corde ou je ne sais quoi mais un truc qui pourrait m'aider à bien l'attacher. Je tombe sur une chaîne et un cadenas.
C'est parfait.
Je cherche comment l'attacher et décide de relier ses pieds et ses mains derrière son dos en passant sous la chaise. Je ferme le cadenas.
Je me place devant lui et lui met une énorme baffe. Il ne bouge toujours pas. Il est mort où quoi le con ?!
Je le vois se réveiller petit à petit.
Je crois que je n'ai juste pas de force enfaite.
Il prend conscience de ce qu'il se passe.
- Coucou toi ! Lâchais-je un sourire aux lèvres.
Il compris directement et essaya de se libérer.
- Sale petite garce ! Relâche moi si tu veux pas que je t'attrape et que je te défonce.
- J'ai pas très bien entendu tu vas quoi ?
- TE DÉFONCER SALOPE !
J'attrape un marteau qui traînait là sur une des étagères et tapa très fort sur son genoux gauche.
Il hurla de douleur.
- Ba alors ? On a mal ? Il faut pas ! Lui dis-je.
Je tapai une seconde fois au même endroit. Il hurle deux fois plus et se débat de toute ses forces pour se détacher.
- Alors ça fait quoi de se faire tabasser sans pouvoir ne rien faire ?
Il se met à pleurer.
- Non mais je rêve ! Tu pleures ?! Mais t'es une grosse merde enfaite ! J'eus un fou rire.
Il pleurait et criait de douleur.
- Et dit toi que c'est juste le début sale bâtard. Tu vas regretter un par un tout ce que tu m'as fais. Jusqu'à ce que tout tes os se brisent.
Il se mit à s'excuser en pleurant.
- Tu crois que je vais te pardonner en plus ?! À cause de toi je n'arrive même plus à me doucher et tu oses t'excuser sale fils de pute ?!
Je tape cette fois-ci avec le marteau de toutes mes forces, ses parties génitales.
Lorsque je l'entends hurler de toutes ses forces et de le voir saigner, cela satisfait en moi un désir puissant, celui de le voir souffrir.
Je remonte à l'étage et ferme la porte à clé. Je m'empare de quelques accessoires et redescends.
- Je regrette de t'avoir fais du mal Valentina... je t'en supplie relâche moi je te laisserais tranquille et je te donnerais tout ton argent.
Me supplia t-il.
- Mais y'a même pas deux secondes je t'ai dis que t'allais pourrir ici. C'est quoi que tu comprends pas ? T'es sourd ou quoi ?
Je pris une pince dans une des boîtes à outils.
- Dents ou ongles d'après toi ?
- Arrête Val s'il te plaît ne fais pas ça. Même si je t'ai fais souffrir je t'ai hébergé et nourris...
- Nourris ? Hébergé? Je ris. Je savais pas que t'étais aussi drôle putain qu'est-ce qu'on s'éclate ! Tu trouve pas fils de pute ?!
Il me regardait la peur aux yeux.
Je saisis une de ses dents de force et lui arracha brusquement.
Il saignait tellement qu'on aurait pu croire que c'était une fontaine.
- Si tu savais comme ça fait du bien de te parler enfin comme il se doit !
Je lui brisai par la suite les deux tibias pour m'assurer que même si il arriverait à se libérer il n'irait pas loin.
Je le laisse la, éteins la lumière et remonte à l'étage. Je ferme la porte de la cave à clé et me dirige vers la salle de bain où je pris la meilleure douche de ma vie pour essuyais le sang qui avait giclé. Je sors et m'enferme dans ma chambre où Gandja me rejoint. J'étais tellement fatiguée que le sommeil m'envahit très vite...

Ça ira mieux demain...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant