Point de vue : Hyleko.
Date : Inconnu.J'étalais Shûmi sur le canapé de la maison dans laquelle je venais d'entrer, puis, je regardais tout autour de moi, analysant le décor dans lequel nous nous trouvions. Une maison de vieux. Tout simplement. Aux vu des murs, du reste du mobilier et du décor, ça ne pouvait pas être chose. Je poussais un profond soupire et regardais la chose que j'avais foutue sur le canapé, dormir le plus paisiblement au monde. Si encombrant.
Je continuais à le fixer quelques secondes avant de poser au sol nos sacs. En plus de le porter lui, je m'étais trimballé son sac qu'il aurait oublié au centre commercial si je n'y avais pas pensé. Comment un gosse comme lui a-t-il pu survivre jusqu'à maintenant ? Il était faible, peureux, pleurnichard et sans aucun cardio. Sérieusement, s'évanouir juste car on se fait baiser. Qu'il ne pense même pas pouvoir y échapper à son réveille.
Je mettais mon couteau de chasse à ma ceinture, attrapais les premiers trucs qui me tombaient sous la main et barricadais la porte principale par laquelle nous étions entré. Toutes les autres entrés étaient barricadées, alors, soit les occupants sont mort et cette maison avait été habité par des survivants, soit, ils étaient à l'étage.
Je levais les yeux vers la porte qui était juste face du canapé ou dormais l'inutile. Je m'y avançais tout en prenant mon couteau de chasse en main. Posait une main sur la poignée de la porte et la tournait en tirant en même temps vers moi. Rien. Juste des escaliers montant vers le haut, vide. Je restais silencieux quelques secondes, à écouter le moindre bruit qui pourrait venir de quelque part dans la maison. "Clic, clic".
J'esquissais un sourire en coin et montais les escaliers en fermant la porte derrière moi. En regardant la poignée de l'intérieur, je remarquais un verrou à pression. J'appuyais dessus et montais ensuite les escaliers. Cette maison était une vieille maison. Le rez-de-chaussée était un premier appartement et l'étage d'au-dessus un autre, mais tous réuni dans une seule maison, avec une seule boîte aux lettres et une seule adresse.
Je commençais à faire le tour de l'étage en commençant par les chambres. Les lits étaient défaits, les couvertures étaient sales et les draps, n'en parlons pas. Entre traces de sperme et traces de sang, j'avais le choix. J'ouvrais les placards et prenais la première couverture qui me tombait sous la main puis, je passais à la pièce suivante qui était la salle de bain. Rien d'intéressant dedans. C'était une salle de bain basique, avec une baignoire, des toilettes puants et un évier crade. Tout le contenu des placards était déversé par terre. "Clic, clic".
Je tournais la tête derrière moi en entendant à nouveau ce clic, clic. Sortais de la pièce et m'immobilisais pour savoir d'où ça pouvait bien provenir. Plus aucun bruit. Je fronçais légèrement les sourcils, gardais fermement mon couteau dans ma main et passais encore à la prochaine pièce qui était cette fois-ci une cuisine à l'américain. Je fouillais les placards. Des épices, des choses moisis, des pates crues, du sel, et, des conserves, cachées tout au fond du placard derrière les épices et les choses moisies. Je souriais en les sortants. Trois conserves de haricots blancs, deux de lentilles ainsi qu'une de soupe en boîte. Je les prenaient et les mettaient dans la couverture pour m'en faire un balluchon temporaire le temps de finir mon tour ici et de redescendre.
"Clic, clic, clic".
Je me tournais à nouveau. Le bruit était proche. Je regardais en direction des canapés. M'avançais, couteau en main et regardais ce qui se trouvait derrière eux.
Un zombie.
Une femme zombie. Ligotté, bâillonné, est retenu au sol avec des chaînes.
Je tapais mon couteau contre la table. Sa réaction fut directe, elle tournait la tête vers moi et s'agitait. "Clic, clic, clic, clic" c'était bien elle qui faisait tous ces bruits. Je m'avançais, me mettais sur elle et la regardait s'agiter dans tous les sens. Cette vision me rappelait celle de toutes les femmes que j'avais tuées et violées. Elles étaient si répugnantes. Débiles. Inutiles. Ces choses étaient des créatures manipulatrices et orgueilleuses.
Mes yeux fixés sur elle, je sentais le dégoût monter dans mon corps, je posais ma main sur son front et enfonçais rapidement mon couteau dans son crâne avant de commencer à m'acharner sur son corps. 1 coup. 2 coups. 10. 20. 50.
Je m'arrêtais que lorsque, ce qui restait de son corps, était complètement en charpie. Que chacun de ses membres étaient découpés, que plus aucun de ses lambeaux de chair ne tienne aux restes. Je fixais son corps méconnaissable. Je souriais et frottais mes mains sur mon visage. Je fixais mes mains. Du sang.
Je tournais la tête vers un miroir, me relevais et me regardais dedans. J'étalais le sang restant sur mes mains sur le miroir puis, je descendais à nouveau, couteau à la ceinture, et baluchons sur l'épaule. Déverrouillais et regardais l'inutile, toujours endormi. Quelqu'un pouvait être en train d'assassiner quelqu'un d'autre à côté de lui pendant qu'il dormait, il ne se réveillerait même pas malgré les cris.
J'allais dans la cuisine du rez-de-chaussée, je fus directement frappé par une odeur épouvantable, même les zombies ne sentaient pas aussi mauvais.
Je mettais mon bras devant mon visage au niveau de mon nez et regardais d'où provenait cette odeur.
Sur le sols de la cuisine, pleins d'aliments étaient étalé en une couche de déchets, puant et repoussant. Juste devant un placard. Je levais un sourcil et regardais le reste de la cuisine puis, où était le frigo. Je regardais ensuite à nouveau où était posé exactement le tas et marchais dessus avant d'ouvrir le placard devant moi, me révélant ainsi plusieurs bidons de plusieurs litres d'eau potable chacun. Je souriais et les sortais un à un en les comptant minutieusement. Juste derrière c'est six, gros bidons de cinq litres chacun, se trouvaient six bouteilles d'eau de 75 cl chacune. Il fallait vraiment être le plus débile des hommes pour laisser un tel trésor juste comme ça, avec comme simple protection, un tas d'ordures. Auquel il était facile de comprendre qu'il avait simplement été posé là pour essayer de dissuader ceux s'approchant trop de la cuisine.
Je posais la nourriture que j'avais trouvé en haut à côté des bouteilles d'eau puis, je jetais la couverture sur l'autre. Cela non plus ne semblait pas le déranger. Tu me dira, il arrivait bien à tomber dans les pommes avec une bite dans le cul.
Je tirais les bidons d'eaux avec moi à la recherche de la salle de bain. Le rez-de-chaussée avait exactement la même construction que l'étage alors je ne mettais pas très longtemps à la trouver. En plus d'être au même emplacement que celle d'en haut, elle était dans un tout aussi mauvaise état. Dans une tentative que je savais déjà inutile, je tournais le robinet de la baignoire, et comme prévu, rien ne sortais.
Je posais tous les bidons d'eau dans la baignoire et allais dans le salon ou je retirais tous mes vêtements avant de les poser sur la table basse. Une fois nu, je prenais un savon sec qui était dans mon sac puis, je retournais dans la salle de bain, dévissais un des bidons, mouillais le savon puis, je soulevais le bidon et m'en renversais une partie sur tout le corps. Même si c'était de l'eau froide, cela faisait un bien fou de sentir de l'eau couler sur mon corps. Même si l'apocalypse m'avait permis de retrouver ma liberté, je regrettais tout de même la prison pour pas mal de chose, enfin, surtout pour l'eau courante et la bouffe qui n'était pas si dégueulasse que ça.
Après avoir fait couler l'eau sur moi, je me savonnais de partout. De A à Z, de haut en bas, de bas en haut, dans les moindres recoins de mes muscles et de mon corps, tout y passait sans le moindre oublie. Ensuite, je soulevais à nouveau le bidon d'eau pour me rincer le corps et les cheveux que j'avais aussi lavés. Ça faisait tellement de biens de ne plus se sentir collant et puant.
Je sortais de la baignoire et retournais jusqu'à mon sac pour en sortir une serviette de toilette grise que je posais sur mes cheveux. Je sortais aussi un boxeur propre que je balançais sur la table basse. J'attrapais ensuite tous mes vêtements sauf ma veste et retournais dans la salle de bain. Bouché les tuyaux d'évacuation de l'évier avec du papier journal puis, le remplissaient avec la fin du premier bidon. Je jetais mes vêtements dedans et commençais à les frotter à la main avec mon savon pour les laver. Le papier journal fut rapidement dissous avec l'eau, et je du le reboucher et le re remplir trois fois avant d'avoir fini de faire ma lessive, si on pouvait appeler ça une lessive. J'allais ensuite étendre tout ça sur des objets en hauteur pour que ça sèche puis, je retournais dans le salon, pour trouver l'inutile entrain de regarder dans la cuisine. J'en profitais pour m'approcher et au même moment, il se tournait net, manquant d'enfoncer sa tête dans mon torse. Je le voyais sursauter légèrement avant de lever la tête vers moi.
- Tu es enfin réveillé? Tu as vraiment un don pour t'endormir dans les pires moments toi. Dis-je en faisant demi-tour vers la table basse, pour attraper le boxeur propre que j'y avais posé.
Alors que j'allais le mettre, je sentais un regard très insistant sur l'entièreté de mon corps. Je m'arrêtais de bouger pendant quelques secondes avant de le regarder à nouveau.
Ses yeux fixaient ma bite avec insistance alors que son visage affichait une mine choquée, comme s'il ne l'avait jamais prise dans le cul.
- Pourquoi tu la regardes comme ça ? Tu veux recommencer ou tu t'es arrêté hier ?
Il levait la tête vers moi, son regard se demandant de quoi je pouvais bien parler. Je m'approchais de lui, à peine m'étais-je totalement tourné vers lui pour m'approcher, que ses yeux s'étaient de nouveau bloqués en bas.
- Hier ? Arrêté ? Hein ? Dit-il surprit, avec les yeux toujours bloqués.
Ce n'est pas très poli de regarder la bite de quelqu'un quand on lui parle.
J'attrapais ses deux poignets pour les bloquaient contre le mur juste derrière lui. Son regard faisait un rapide va et vient entre mon visage et ma bite. Je levais un sourcil et collais mon corps au sien.
- Oui hier. Tu ne te souviens pas être tombé dans les vapes pendant qu'ont baisait ?
Là, j'avais attiré son attention. Il avait immédiatement levé la tête vers moi, ses joues complètement rouges alors qu'il semblait enfin capter ce qui était arrivé hier. À le voir ainsi, je ressentais l'envie de l'enfoncer encore un peu plus.
- Hier soir, pendant que je te baisais, tu prenais tellement ton pied que tu n'arrivais même plus à faire sortir un son de ta bouche, tu as joui puis, tu t'es évanoui. Pendant que j'étais encore en toi, dur. Dis-je en affichant un grand sourire sur mon visage alors que je le voyais devenir de plus en plus gêné. Donc maintenant dit moi. Comment vas-tu rattraper le fait de t'être évanoui hier, et me payer pour aujourd'hui ?
Il était au bout de sa vie. Il me suffirait juste de rajouter une phrase pour que cette fois-ci il tombe dans les pommes de gênes.
- Je...
Alors que j'attendais la fin de sa phrase, son ventre fît un bruit de tous les diables. À ce stade, il faisait même compétition aux zombies. Je baissais les yeux vers son ventre qu'il serrait avec ses bras, avant de soupirer et de mettre mon boxeur tout en allant prendre les deux premières boîtes qui me tombaient sous la main ainsi que deux cuillères qui traînaient dans mon sac. J'allais ensuite me poser sur le canapé en ouvrant les boîtes avant de jeter sa cuillère ainsi que sa conserve sur la table. Je gardais ma conserve et ma cuillère avec moi pour commencer à manger. Pas si mauvais finalement.
- À table. Dis-je en même temps de continuer à manger tranquillement ma conserve.
Je me sentais observé quelques secondes avant d'entendre à nouveau son ventre grogner de faim et qu'il se jette littéralement sur ce que contenait la conserve et la dévore comme un affamé. Eh bien, si j'avais su qu'il avait aussi faim je me serais un peu amusé à lui faire tourner la bouffe devant les yeux.
Je le fixais manger du coin des yeux tout en mangeant ma nourriture. Je posais ma conserve lorsque j'en atteignais la moitié et le regardais avaler sa dernière bouchée. Un sourire en coin, j'attrapais le bas de sa mâchoire et tournais sa tête vers moi.
- Je sais comment tu vas te rattraper. Cette bouche à l'air de savoir s'ouvrir assez largement.
Dès qu'il eut entendu et compris ma phrase, son visage devenait livide et ses yeux s'échappèrent sur tous les côtés possible pour échapper à mon regard. C'est ça, fait mine que tu n'as pas compris.
- Mais on vient de manger...
- Justement, je vais te donner le dessert.
Il mordillait sa lèvre inférieure alors que je commençais à serrer sa mâchoire dans ma main d'impatience. J'ai déjà supporté qu'il s'endorme avec ma bite dans son cul hier, alors aujourd'hui il avait intérêt à faire les choses correctement.
- Dépêches-toi avant que je ne décide de te faire dormir avec nos amis qui apprécient la fraîcheur de la nuit dehors. Ma patience a pas mal baissé depuis hier soir. Dis-je tout en tirant son visage entre mes cuisses.
Je le voyais me jeter un rapide coup d'œil avant de descendre du canapé et de se mettre entre mes cuisses que j'avais écarté en le voyant commencer à descendre. Ses mains tremblaient légèrement alors qu'il descendait mon boxeur. Ses yeux la regardaient comme s'ils étaient devant un puzzle. Je levais un sourcil en la prenant en main et en la posant devant sa bouche.
- Ouvre ta bouche. Si tu vomis ou si je sens tes dents, tu iras prendre des cours de fellation avec ceux dehors. Compris ?
Il hochait tout doucement la tête en avalant sa salive avant d'ouvrir la bouche comme je lui avais demandé. Mon Dieu, j'ai l'impression de dresser un esclave qui ne sait rien de la vie, même Atsuko ne la regardait pas comme ça. Bien, puisque c'est comme ça, commençons le dressage.
- Je ne vais pas la tenir tout le long, prends-la dans une main et branle la avant de commencer à la sucer.
Je regardais ses mains s'approcher avant de la saisir et de commencer à la branler à un rythme moyen. Ses yeux ne la quittaient pas une seule seconde. Je le regardais se concentrer à sa tâche comme si sa vie en dépendait.
Je poussais un soupire profond quand au bout de quelques minutes, il ne m'avait toujours pas fait atteindre ne serait-ce qu'une demi-molle. Je posais une main sur mon visage et me le frottais. Mon Dieu mais qu'est-ce que c'était que ça ? Même en mettant déjà fait sucé avec les dents, j'arrivais à bander. Si, par miracle, il avait déjà eu des partenaires au lit, et bien je leur accorde toute ma pitié et prie pour eux qu'ils soient allé aux putes juste après.
- Tu te branles comme ça ?
Il sursautait légèrement et tournait rapidement les yeux sur le côté, tout en s'arrêtant et en la serrant un peu plus dans sa main.
- Non...
Je soupirais en penchant ma tête en arrière pendant quelques secondes avant de le regarder à nouveau, de me lever en remettant correctement mon boxeur pour me diriger ensuite vers la salle de bain pour me passer de l'eau sur le visage.
Au moment même où je lui tournais le dos pour aller à la salle de bain, je le sentais m'attraper par les hanches en passant ses bras autour pour me retenir. Je m'arrêtais et le regardais.
- Ne pars pas ! Je peux le faire correctement je te le promets ! Ne me met pas dehors... Dit-il avant d'éclater en sanglots, toujours les bras serré au tour de mes hanches.
Je le regardais pleurer et sangloter pendant quelques secondes alors qu'il frottait son visage contre ma jambe. Cette vision me faisait étrangement penser à celle d'un chiot pleurant pour se faire pardonner d'une bêtise auprès de son maitre par peur de se faire abandonner.
Je souriais en coin alors qu'une idée venait d'immerger dans ma tête. Je le regardais pleurer pendant encore quelques secondes avant de passer ma main gauche sur son front et sur ses cheveux pour lui faire relever la tête vers moi. Ce qui marcha parfaitement puisqu'il levait immédiatement la tête vers moi.
- Très bien. Si tu arrives à reformuler ta demande en m'appelant "Maître", alors je veux bien te laisser une autre chance de me montrer ce que tu vaux.
Ses joues devenaient un peu plus rouges alors qu'il comprenait ma demande et commençait à rapidement chercher une idée de comment reformuler ce qu'il avait dit. De base, je comptais juste aller me mettre de l'eau sur le visage pour me calmer avant d'aller dormir et de reprendre tout ça demain, mais, il avait donné une bonne tournure aux choses sans vraiment le vouloir.
- S'il te plaît... Ne part pas... maître...? Dit-il alors que son visage s'empourprait complètement de rouge.
Je souriais en coin et me tournais un peu plus face à lui en caressant légèrement ses cheveux.
- Il ne me semble pas que ta phrase était aussi courte.
Il se mordillait à nouveau légèrement la lèvre inférieure. Il faisait ça à chaque fois qu'il commençait à être gêné en faite. Une sorte de tic nerveux ?
- S'il te plaît... Ne pars pas... Je peux le faire correctement maître... Je te le promets...?
Je me léchais les lèvres en serrant légèrement son crâne dans ma main gauche, toujours en le regardant attentivement.
- Faire quoi correctement ?
Ses yeux descendaient de mon visage à ma bite, qui était devenue un peu plus dure. En une phrase, il avait réussi à me faire avoir la demi-molle qu'il attendait en me branlant. Comme quoi il est vraiment plus doué avec sa bouche qu'avec ses mains.
Il avalait légèrement sa salive avant de l'attraper par-dessus mon boxeur avec une de ses mains.
- Je peux te sucer correctement...
- Qui ?
- Maître...
Je me rasseyais sur le canapé à nouveau écartant les jambes, lui faisant signe de venir se mettre entre au passage. Il me regardait rapidement avant d'aller se mettre là où je lui avais dit et de la sortir à nouveau.
Je posais ma tête sur mon poing. Le regardais ouvrir la bouche. S'arrêter quelques secondes. Puis plonger la tête la première dessus. Je fronçais légèrement le nez alors que je sentais le bout de ses dents frotter légèrement la base.
- Tes dents. Dis-je en appuyant ma main gauche sur l'arrière de sa tête.
Il levait un œil vers moi avant de commencer à me sucer lentement tout en essayant de s'appliquer le plus possible. Je le regardais faire pendant quelques secondes avant de soupirer et d'attraper sa tête avec mes deux mains.
- Je vais te guider. Alors ouvre bien ta bouche et ta gorge et agrippes-toi à mes jambes.
Il avait fermé les yeux à l'instant même où j'avais posé mes mains sur ses tempes. Après quelques secondes d'hésitation, il posait ses mains sur mes cuisses en ouvrant plus grand la bouche.
- Tire la langue et retrousse tes lèvres du haut sur tes dents.
Je le regardais faire sagement ce que je lui avais demandé, puis, tout en le guidant avec mes mains, je la remettais dans sa bouche en bougeant sa tête lentement. Je sentais ses mains trembler au fur et à mesure que je continuais à guider ses mouvements de tête. Sa langue bougeait légèrement, comme s'il hésitait à en faire autre chose que ce que je lui avais dit d'en faire. Mais ce n'était pas si mal que ça. Le plat de sa langue frottait sur les veines de ma bite tandis que sa bouche et sa gorge commençaient à l'avaler de plus en plus loin et profondément.
Une sensation de froid commençait à apparaître dans mon corps alors que tout mon sang affluait entre mes cuisses. Je me léchais les lèvres alors que je le regardais commencer à bouger la tête de lui-même de plus en plus rapidement, tout en faisant attention à ses dents. De la salive coulait sur les coins de sa bouche. Finalement, il ne semblait plus aussi retissant à me sucer la bite d'un coup.
J'enlevais doucement mes mains de sa tête pour le laisser bouger tranquillement. Ma respiration commençant à être saccadé au fur et à mesure que je devenais de plus en plus excité à la vue et aux sensations qui s'offraient à moi. Ses mains s'agrippaient plus fort à mes cuisses alors qu'il se replaçait avant de reprendre un peu plus rapidement.
Je penchais la tête en arrière afin de profiter un maximum des sensations et des bruits que cela faisait. J'adorais entendre ces bruits. C'était si obscène qu'ils m'excitaient presque autant que la fellation en elle même. Je gardais la tête penchée en arrière pendant une ou deux petites minutes avant de le regarder à nouveau. Sa tête commençait à avoir du mal à bouger malgré toute la bonne volonté qu'il y mettait. Il a bien travaillé tout de même, non ?
- Arrêtes-toi. Dis-je en posant ma main sur l'arrière de sa tête pour le faire s'arrêter.
Il s'arrêtait doucement, sans pour autant la sortir de sa bouche.
- Cette vu me plaît beaucoup. Je ne pensais pas que tu aimais autant l'avoir dans ta bouche finalement.
Ses joues devenaient encore plus rouges quelles ne l'étaient déjà, puis, il reculait doucement la tête, la langue toujours sortie.
- Déshabilles-toi et allonges-toi sur le canapé. Dis-je en même temps de me lever et d'aller jusqu'à mon sac pour en sortir une capote.
- Je...
- Tu ?
Je me tournais vers lui, il était toujours assis sur le sols, les cuisses serré entre elles, et les bras coincés entre les deux. Je souriais et m'approchais de lui avant de le soulever et de le balancer sur le canapé en écartant ses cuisses. Ah, voilà donc son petit souci.
- Ça t'a autant excitée que ça que de me tailler une pipe ?
- Non ce n'est pas...!
J'appuyais ma main sur la bosse apparente par-dessus son pantalon. Son corps se crispait alors que, au moment même où je glissais ma main dans son boxeur, je sentais un liquide chaud et gluant gicler sur mes doigts. Je m'arrêtais net et levais un sourcil en retirant doucement ma main pour observer le liquide sur mes doigts. Ça, c'était fait. Je ricanais légèrement et le regardais enfoncer son visage dans le canapé, certainement mort de honte. Je regardais à nouveau ma main puis, avec ma main propre, je déboutonnais son pantalon et le lui retirais avant de le balancer sur le sols, accompagné par son boxeur.
- Écarte tes cuisses.
Il enfonçait encore un peu plus sa tête dans le canapé, tout en écartant gentiment les cuisses.
Je regardais son trou avant de venir étaler son sperme dessus pour m'en servir comme lubrifiant, puis, je rentrais un doigt. Voyant qu'il rentrait plus que facilement, j'en rentrais un deuxième.
- Doucement...!
Je levais un sourcil et me collais à son corps en commençant à bouger ma main dans un rythme irrégulier tout en écartant bien mes doigts à chaque fois que je les sortaient.
- "Doucement" ? Ton cul les avales si facilement et tu oses me dire doucement ? Je suis sur que je pourrais très facilement en mettre un troisième que ça ne te ferait même pas mal. Dis-je en les enfonçant un peu plus loin à l'intérieur.
Son corps se crispait alors que son trou se serrait au tour de mes doigts. Son intérieur était chaud et palpitait d'impatience à chaque fois que je les bougeait, les rentrant et les sortant un peu plus rapidement qu'au début.
- En tout cas, ton corps est plus honnête que toi... J'ai comme l'impression qu'il attend autre chose que simplement deux doigts... Est-ce que je me trompe ?
- Non... Ce n'est pas encore assez...! Dit-il alors que ses gémissements se faisaient de plus en plus intenses et que son trou s'écartait de plus en plus largement au tour de mes doigts.
- Pas encore assez hein... Tu voudrais que je puisse y rentrer ma main pour que ce soit bon ? Non car ton trou se dilate tellement que j'en suis pas loin.
Je regardais ses jambes trembler alors que je continuais encore de taquiner son trou avec mes doigts. Les sortants et les entrants à des rythmes différents à chaque fois pour pas que son corps s'habitue. Son visage était enfoui si loin dans le canapé que l'on pourrait croire qu'il essayait de se suicider par asphyxie.
Je souriais et retirais mes doigts avant de mettre la capote et de me placer en cuillère dans son dos, tout en le pénétrant lentement et de toute ma longueur. Je sentais et voyais son corps se tendre net alors que je commençais à bouger les reins pour aller plus loin en lui. Mes mains posées sur ses hanches, je mordais son oreille alors que je commençais à toucher son fond.
- Si tu tombes encore dans les pommes, je te promets que cette fois-ci je continue, que tu sois conscient ou pas. Alors tu as intérêt à garder tes yeux ouverts. Dis-je en tirant sur son oreille avec mes dents, juste avant de serrer ses hanches dans mes mains et de commencer à bien bouger les reins.
Ses gémissements ne se firent pas attendre. Dès que je tapais dans le fond, sa bouche s'ouvrait aussi largement que pour me sucer, alors que ses yeux se fermaient sous l'effet du plaisir. Je m'enfonçais un peu plus, lui répétant de garder les yeux ouverts, que je sois sûr qu'il soit bien conscient de ce qu'il se passait et de ce qu'il ressentait, pour qu'il n'en loupe pas une miette. Lui rappelant par la même occasion, tout le plaisir qu'il avait ressenti hier. Cela avait l'air de lui plaire même si sa bouche essayait de dire le contraire. Son trou se resserrait au tour de ma bite, pendant que son intérieur palpitait de plaisir au fur et à mesure que je bougeais en lui.
J'enlevais ma main droite de ses hanches pour la lever au niveau de son visage, afin de lui enfoncer de deux doigts la bouche. Dès que j'eus mis mes doigts dans sa bouche, je sentais sa langue les lécher et sa bouche les sucer comme si c'était tout autre chose. Je regardais ses épaules et mordais son épaule gauche alors qu'en passant mon bras gauche au tour de ses hanches, je nous redressais pour nous mettre en position assise. Son corps s'empalait de lui-même sur moi, me faisant être encore plus profondément en lui que tout à l'heure. Ses jambes tremblaient alors que sa bouche et sa gorge réprimaient des cris de plaisir. Je sortais mes doigts de sa bouche et couvrais sa bouche avec ma main avant de recommencer à bouger plus rapidement mes reins dans un rythme saccadé, le faisant sauter et s'empaler à chaque fois que mes reins frappaient contre son fessier. Il ne restait plus que les bruits de nos corps l'un contre l'autre, ainsi que les gémissements et grognement de plaisir que nous ressentions.
Ma main toujours posée sur sa bouche, je sentais sa tête vaciller légèrement d'avant en arrière et de droite à gauche alors que le plaisir commençait à nouveau à lui monter à la tête comme hier. Je fronçais les sourcils et écartais ses cuisses avec mes jambes, avant de poser mes pieds en appui sur le rebord de la table basse qui m'avait l'air assez proche et assez résistante, me faisant ainsi relever nos bassins et me faisant m'enfoncer à nouveau profondément en lui. À ce léger changement de position, je l'entendais gémir plus fort dans ma main, avant de sentir quelque chose de chaud et de visqueux me couler sur l'avant-bras. Je plaquais sa tête vers l'arrière et regardais par-dessus son épaule ce qui venait de tomber sur mon bras.
- Et bien ? Tu jouis à nouveau avant moi ? J'espère que cette fois-ci tu ne t'es pas évanoui. Dis-je tout en accélérant mes coups de reins.
Ses gémissements étouffés me faisaient comprendre que non, il ne s'était pas évanoui et était toujours bien conscient de ce qu'il se passait.
Je plaquais avec mon avant-bras ses hanches sur les miennes, appuyant par la même occasion sur son bas-ventre. Son intérieur était devenu encore plus chaud et plus mouillé. À chaque mouvement de reins, je voyais ses jambes trembler de plus en plus en frissonnants. Ses gémissements toujours étouffés par ma main se faisaient de plus en plus fort alors que, je commençais enfin à atteindre le point de non-retour. Je continuais mes mouvements de reins plus rapides et plus fort, sentant mon sang affluer vers le bas, je penchais nos corps vers l'avant juste avant de jouir. M'arrachant un léger soupire de plaisir.
Je laissais ma tête tomber sur son dos alors que je retirais ma main de sa bouche. Je l'entendais prendre une grande respiration avant de sentir son corps s'effondrer dans mes bras.
Je restais comme ça quelques minutes le temps de reprendre mon souffle et mes forces puis, je soulevais son corps, l'allongeant sur le canapé, alors qu'il venait à nouveau de perdre connaissance. Au moins cette fois-ci, il avait tenu jusqu'à la fin.
Je me levais, retirais la capote en faisant un nœud en haut puis, la balançais sur le tas d'ordure dans la cuisine. Je lui jetais un coup d'œil et regardais nos deux corps dégoulinants de sueur. Ça avait bien servi à quelque chose que je prenne une douche avant tout ça tient. Je soupirais et ramassais ses vêtements pour aller les mettre à tremper dans l'eau savonneuse afin qu'eux aussi soit propre, puis, je portais son corps et allais nous laver rapidement avant de le recoucher dans le canapé. Quant à moi, je finissais la lessive et d'étendre ses vêtements pour aller me coucher à mon tour dans le canapé après avoir remis mon boxeur.
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Survie est moi.
Science Fiction" Si tu écartes tes cuisses autant que je le veux, alors je veux bien t'accompagner et te protéger des zombies. " Shûmi qui jusque-là, pensait que dans ce monde dévasté par les zombies, rien ne pouvait être pire, venait de réaliser à l'instante que...